11. Beignets ?

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Coucou ! J'ai réussi a écrire un chapitre avec bien du mal désolé d'avance si il n'est pas génial.

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Isabelle appliqua ce qu'elle avait prévu ! Ce n'était pas simple au début. Isabelle ne cessa de redoubler d'effort. Une des premières étapes étaient la plus compliqué. Elle devait faire face à sa propre mère. Elle voulait des réponses au question qu'ils l'a travailler depuis le divorce de ses parents. Un vendredi soir alors qu'elle était déjà fatigué par sa semaine, elle attendit. Sa mère rentra à 23h00. Elle était surprise de voir sa fille en chemise de nuit dans la cuisine. Isabelle ne mâcha pas ses mots. Elle lui expliqua la situation. Lui expliqua qu'elle était fatigué de ne jamais la voir. Que même si elle n'avait rien dit au sujet du divorce,elle aurait préféré être prévenu. Qu'on lui explique pourquoi elle n'avait pas droit de voir son père alors que sa mère se barrait toute les 5 minutes à droite puis à gauche. La mère en fit tomber ses sacs et serra sa fille dans ses bras. Elle la serra comme quand elle était enfant. Un fois consolé Isabelle posa une questions qui lui brûler les lèvre depuis longtemps :

_Tu as un amant ?

La mère garda le silence mais Isa' ne fut pas dupe.

_Depuis comb-

_Un ans ma chéries, je suis désolé...

Isabelle sourit à travers ses larmes : Hugo (1) était bien son frère. La semaine qui suivit Isa' s'isola dans la bibliothèque. Dans un coin elle lut le livre que son père lui avait donner. C'était un livre bizarre mais il avait l'avantage de faire passait le temps. Dans un passage un des personnage parle de méditation. Il fallait qu'elle essaye.

Un jour elle visita donc son quartier pour la première fois. Elle alla au parque, seul avec son sac. Il faisait bon et claire. Isabelle bu du jus de pommes et se mit à dessiner. Elle sentait le soleil lui chauffé calmement la peau et le vents la caresser. Les arbres chantaient tout comme les oiseaux. Elle ferma les yeux quelques instant. Elle avait l'impression d'être dans un tout. Tout était connecté paisiblement dans un cercle parfait. C'était réconfortant. La blonde inspira toute les odeurs qui passaient pour ensuite les rejeter. Elle faisait partit de ce tout parfait. Il est vrai que si elle partait le tout serait toujours là, mais partir pour où ? Et pourquoi partir maintenant ? Plus elle y pensait plus elle s'encrait dans l'esprit que le monde était un tout (2). On vit avec le temps, la nature, les bruits et les gens. Qu'on soit au japon ou au pieds de la tour Eiffel c'était la même chose. Son équilibre personnel à était certes briser, mais pas perdu. Pourquoi n'avait-elle pas essayer d'y réfléchir avant ? Elle pouvait bien essayait d'en créer un autre. Il fallait juste qu'elle regarde les choses en face en excluant le négatif. Se dire que même si les journées se passe mal, il y aurait au moins du positif au soir. C'est pour se positif qu'il faut se lever le matin.

Un Jeudi matin Isabelle je regarda dans longuement dans son miroir. Son uniforme était si triste. Si elle voulait garder le morale elle ne pouvait pas partir comme ça. Ni une ni deux elle sortit toute ses boites à bijoux et a élastique de sa commode. Elle retrouva une petite broche avec un pinceaux et un tube de peinture. Elle l'avait eu pour ses 5 ans. Elle faisait si petite à présent que ça faisait ridicule de la porter sur la poitrine. Par contre elle habillait à merveille son col blanc ! Isabelle continua sur sa lancé en fixant sur son sac des badges coloré et amusant. Elle ouvrit sa boite à élastique pour en prendre un doré avec des fleurs blanches dessus pour faire son chignon habituel. Avant de refermer la boite elle clipsa deux barrettes colorés sur la poche de son gilet gris. Elle enfila ses chaussures blanches prit son adorable petit frère et partit pour le lycée. Elle alla directement à la gare. Comme tout les matins il y avait du monde. Isabelle mit ses écouteurs but une gorgé de jus et s'enfonça dans la foule. Elle sourit en voyant des enfants se courir après. Un peu plus loin un groupe de collégiennes observait un garçon à quelques mètres d'elles. Isabelle crut qu'elle allait exploser de rire. On dirait une histoire à l'eau de rose !

Jus de pomme | Kuroko no basket (Murasakibara x OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant