Jus de pomme | Kuroko no basket (Murasakibara x OC)

13. Explications Hurlantes

Bonjour ! je m'excuse le chapitre est bizarre et court mais voilà voilà. J'ai eu beau broder comme je pouvais mais rien a faire il restait court.

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Cela faisait déjà une ou deux semaines que la pseudo-groupie se ramenait aux entraînements. Elle ne dérangeait pas Murasakibara personnellement, c'est juste que sa présence l'énervé. Cet air à toujours sourire sans rechigner aux ordres commençait à l'horripiler. Il l'avait bien observer, il y avait des choses qui ne collaient pas, elle était bizarre. Après chaque entraînement elle aidait à ranger et en profitait pour parler avec l'équipe, surtout avec Himuro.

Le pire pour le géant n'était pas cette liste de détails qu'il pourrait allonger si il voulait. La chose la plus horrible était qu'il ressentait une certaine contradiction tout de même. Il ne faut pas oublier que tout les Vendredis Isabelle ramener des pâtisseries et il fallait avouer qu'elles étaient bonnes... (1)

Tout ce qu'il pouvait faire est de la fusillait du regard et de marmonner à son sujet dans un coin.

De son coté Gaultier était tout de même attristé, elle voyait bien que Murasakibara ne l'aimait pas du tout. C'était dommage car elle s'entendait bien avec un peu tout le monde. Il fallait qu'elle fasse quelque chose, au moins pour comprendre !

Après les cours elle suivit de loin Himuro et son ami. (2)

Elle fallait qu'elle prenne le géant à part. Là un miracle se produisit. Murasakibara entra dans une confiserie et Himuro continua son chemin. Le violacé ressortit 15 min plus tard pour passer par un parc. Gaultier se lança et l'interpella. Il fit la grimace en la voyant. Elle se montra poli et lui demanda où il allait, comment il allait et réussi avec bien du mal à mettre la conversation sur le tapis.

_Murasakibara-san, je sais que tu ne m'aimes pas vraiment, je ne sais pas pourquoi mais je ne t'en veux pas non plus. On peut pas plaire à tout le monde pas vrai ?

_T'es bizarre.

La blonde était un peu perplexe. On lui avait déjà dis et ça ne la vexer pas du tout, elle avait l'habitude. La façon d'on l'avait prononcé le géant l'intrigué un peu, c'était un ton particulier. Serait-il enfin ouvert à la conversation ?

_Ah pourquoi ?

Il ne répondit rien et commença à s'éloigner. Ce n'était pas un vent qu'elle venait de se prendre mais une vrai bourrasque. Elle voulait bien supporter ces menaces glaçantes, ses regards foudroyants et son caractère de cochon mais alors se faire ignorer, pas question !

Sans trop réfléchir elle couru après lui et lui tira le bras de toute sa force. Le violacé fut emporté lourdement et se retrouva face à elle. Son visage se crispa en une moue de colère. Isabelle ne laissa pas la peur l'envahir, elle avait survécu d'une dépression alors ce n'était pas un gamin de deux mètres qui allait l'effrayer. Quoique un coup sur la caboche et pas sur qu'elle se relève. «Allez Isa' ! cria son courage. Maman est encore plus effrayante que ça ! »

_Écoute moi bien, je veux bien que tu me détestes mais je veux savoir pourquoi ! Et si tu ne me répond pas je te suis en hurlant.

Pour illustrer son propos, elle poussa un crie aigu qui lui fit mal à la gorge. Quand Alain ne voulait pas l'écouter, elle utilisait la même technique elle a déjà tenu presque plus d'une demi heure comme ça. Comme elle s'y attendait il mit ses mains sur ses oreilles au bout du troisième cris. Il aurait bien voulut la faire taire car ils était tout de même au milieu du parc mais il ne voulait non plus discuter avec elle. Au bout de 2min46 il craqua.