chap18

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Habibatou

Enfin je viens de terminer mon examen, sacré Bac j'espère que je l'aurai,en tout cas les épreuves n'étaient pas du tout difficile.
j'ai hâte de rentrer chez moi ,mon mari me manque tellement ces derniers jours on se voit seulement le matin et le soir, je passais tout mon temps à réviser. Arrivée à la maison y'a personne alors j'ai décidé de me reposer un peu attendant sagement mon mari. Je n'arrive pas à retrouver le sommeil, mon corps engourdi et le battement de mon coeur qui augmente sans raison veux dire qu'il se passe quelque chose de grave pour ne pas trop réfléchir j'ai pris des somnifères et suis tombée dans morphée. 15h quand je me suis réveillée avec des tonnes d'appel en absence venant de mes parents, je me demande bien qu'est qui se passe.

Ibrahima ndiaye

Comme je vous l'avais dit je ne laisse personne toucher ma femme et cette farfelue de kya je vais régler son compte tout de suite. Vu que j'avais son numéro je l'ai appelé pour qu'on se voit et ce n'était pas une chose difficile, donc on s'est rencontré dans un coin de la ville pour discuter calmement. Je l'a vois venir avec sa démarche de merde on dirait une dinde, déjà à première vu d'œil elle m'énerve, arrivée à mon niveau elle essaie de me faire la bise mais je l'ai esquivé à temps en plus elle est audacieuse celle la donc je suis passé droit au but je n'ai pas de temps à perdre

Moi: bon je ne vais pas tourner au tour du pot , je veux que tu laisses tranquillement ma femme, je te promets que je suis pire qu'un monstre quand il s'agit de l'a protéger alors pour le moment je laisse passer mais la prochaine fois tu me sentira bien.

Kya: tu crois que j'ai peur de toi, espèce d'enfoiré tu sais quoi tes menaces à deux balles là tu les gardes pour toi, j'en ai rien foutre si je te sentirai ou pas, ça se voit que tu ne me connais pas touche à une de mes cheveux et tu sauras avec qui tu as affaire, connard.......

Elle prend son sac et se dirige vers la sortie non je ne vais pas me laisser faire, il faut que je l'a montre qui je suis, cette petite impolie elle mérite une correction donc à pas géant je l'ai suivi arrivé à son niveau je l'a tire vers ma voiture devant tout le monde elle crie comme une hystérique, je tiens fermement ces cheveux et réussis à la faire entrer dans la voiture, les gens qui essayent de s'en mêler pour l'aider je leurs ai dit que c'est un problème entre ma petite sœur et moi donc j'ai pris la route direction un endroit inconnu, une heure après je gare ma voiture dans un endroit loin de la ou je vais l'amener, comme c'est une mal élevée ,elle ne voulais pas descendre de la voiture je lui donne deux coups super chaud qu'elle risque de ne pas oublier tout de suite en cas, elle commence à pleurer ,pleure bien ma belle tu n'as encore rien vu, nous sommes dans un endroit loin de la ville, on y trouve une maison abandonnée, elle entre sans pipée un mot ça me fait mal de l'a voir ainsi mais elle le mérite quand même avec mon chicote elle me regarde les yeux larmoyants, je m'en foutait après lui avoir verser un seau d'eau bien froid je m'avance vers elle envahi d'une colère noire plus je m'avance plus je sens des pas derrière moi et kya qui me suppliait de l'a pardonner qu'elle ne recommencera plus, qu'elle laisserai habi en paix, ça je le sais très bien quand j'aurai terminé à ma cravache je pense que tu sortiras du pays. La cravache et le coup de feu sont parties ensemble, le cri de kya n'étais pas dû à la douleur que je lui ai infligé mais de la balle que j'ai reçu deux même je ne sens plus mon corps, je vois plus rien baaam trou noir.

Inconnu

Ce matin lorsque j'ai vu ce jeune homme tiré cette fille et l'humilier devant tout le monde je n'ai pas hésiter à le suivre pour lui casser sa gueule comment un homme ose faire ça donc discrètement je le suis jusqu'à ce qu'il se gare je n'ai jamais connu cet endroit, j'ai pris mon arme et petit à petit je marche derrière eux, les pleures de la fille me brise le cœur, ça me rappelle les pleures de ma mère à chaque fois que mon papa l'a battais devant nous, ces images m'avaient traumatisées jusqu'à ce que j'ai tué mon père de mes propres mains depuis lors j'ai fugué étant rechercher par la police je fais tout pour les fuir donc comme je disais je les suis jusqu'à ce qu'ils entrent dans une maison en état piteux, plus j'approche plus les cris augmentent c'est comme ça que j'ai tiré sur lui sans réfléchir tellement que j'avais l'image de ma mère puis un autre il est tombé ohhh merde et s'il meurt qu'est que je vais faire, je cours à son secours, il perd beaucoup de sang mon Dieu mon sang n'a fait qu'un tour quand je me suis rendu compte que j'ai Ibrahima ndiaye devant moi, mon sang mon cousin, le père de Ibrahima et mon père ont le même père et la même mère. Ibrahima a été mon seul et unique ami, on a grandi ensemble ensuite il est parti en France et suis resté seul à subir les misères de ma mère. Mon Dieu je ne mérites pas de vivre, je viens de tuer mon frère mon sang, ce qui me paraît bizarre quel lien existe entre Ibrahima et cette fille, ibou n'est pas comme ça, il n'est pas agressif et n'ose pas faire du mal à une mouche,  la seule coupable c'est cette fille alors je lui assène une gifle bien forte elle s'est évanouie au même moment, je cours prendre ma voiture et direction hôpital*** pour la fille j'ai appelé une ambulance pour venir l'a cherché. A notre arrivé Ibrahima a été vite amener aux urgences, il a perdu beaucoup de sang beaucoup même et d'après le médecin si dans moins de 24h on ne lui donne pas du sang il va mourir. Là je ne sais plus quoi, il faut que je sauve mon frère or je n'ai pas le numéro d'aucun membre de la famille, cela fait 5 ans qu'ils ne m'ont pas vu. La seule personne à qui je peux voir sans avoir de problème c'est maman Rama cette femme elle m'aimait inconditionnellement elle me disait tout le temps que je suis son fils qu'il n'a jamais eu, d'ailleurs beaucoup de personnes pensaient qu'elle  est ma mère et habibatou et Leïla mes soeurs donc je n'ai pas hésité à y aller pour l'avertir. ça fait quelques minutes que je suis dans ma voiture mais je n'ai pas la force de descendre, pensé à mon frère m'a donné le courage d'y aller, j'appuie sur la sonnette c'est Leïla qui m'a ouvert ma petite princesse elle ne me reconnait pas par contre quand sa maman m'a aperçu la tasse qu'elle avait entre ses mains s'est écrasée, elle ouvrit grande la bouche et quelques larmes sur son beau visage sans que je n'y m'attend elle me prend dans ses bras chose qui m'avait trop manqué pour ne perdre du temps je lui annonce la triste nouvelle paniquée elle ne savait plus quoi faire moi j'en ai profité pour quitter cette demeure avant qu'elle me retient.

l'amour ne se cache pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant