76. La confession d'Okuda

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Pdv Akisa

J'étais dans la voiture, direction la colline DE L'ENFER.

Soit, mon retour en classe E.

J'avoue ne pas avoir réfléchi à comment réagir devant Karma.

Je suppose que je vais simplement l'ignorer.

Quelques minutes plus tard, j'alla voir le poulpe pour l'informer de ma présence, accompagnée par Karasuma qui se rendait juste à son bureau.

- Akisa !!!! Tu es revenue !!!
- Oui, malheureusement.
- Je suis sûr de t'avoir manqué !

Je leva un sourcil.

- Ouais, avoir un poulpe qui menace d'exploser la terre, c'est sûr qu'on a envie de le voir.

Le jaune s'arrêta et me fit une face palme.

- Tu vas bien ?
- Mmh ? Demandais-je sans conviction.
- Tu es bien plus cynique que d'habitude !
- Je me suis juste levée du mauvais poil.

Mauvais poil rouge, si vous voyez ce que je veux dire.

- Je vois... Mais ma présence va te redonner le sourire, n'est-ce pas ?

Je l'ignora et m'avança pour découvrir un paquet de gateau. Je le pris et m'en alla.

- Ne m'ignore pas ! Bouhouh... Mes élèves ne m'aiment pas...
- Merci pour les gâteaux. Lâchais-je simplement.
- Les... Gâteaux..? AKISA-SAN !!!!

Je souris dans le couloir en profitant de mon gâteau.
Je jeta le papier dans la poubelle.

Bon. Est-ce que je rentre maintenant ou j'ère dans le couloir.
J'ai pas trop envie d'aller dehors par ce froid d'automne.

Je décida donc d'entrer.


Et il n'y avait personne !

Je regarda ma montre : 07:34.

Ouais, il est encore tôt.

Je m'installa donc à ma place et mis mes écouteurs.

Quelques minutes après, la porte s'ouvrit sur Okuda.
Elle fouilla la classe du regard et tomba sur moi.

Okuda ? C'est étrange qu'elle soit ici aussi tôt.

07:41.

Elle s'approcha timidement.

- B-Bonjour, Akisa-san... Bredouilla-t-elle.
- Heu... Salut.

Elle regarda autour d'elle.

- Tu veux me dire quelque chose ? Tentais-je.
- Heu oui... en fait j-je... heu...

Okuda pris une grande inspiration.

- Est-ce qu'il se passe quelque chose entre Karma-kun et toi ?

Oh. C'est donc ça, sa question.

Je soupira et m'allongea au fond de ma chaise.

- Je ne sais pas, je ne pense pas, je n'en sais rien.

Plus flou, tu meurs.

Sable d'automneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant