102. Plus rapide

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Bonjour, bonsoir ! Avant de débuter, je pense que vous avez remarqué mon manque d'activité sur wattpad ! J'en suis désolé mais c'est simplement car je n'ai plus le temps d'écrire 😭
Je fais de mon mieux mais je posterais sûrement aléatoirement, désolé.


Pdv Akisa

Nous étions désormais en cours.

Cours bien trop calme depuis qu'on a décidé de sauver Koro.

Ce cours était tellement silencieux et lent...

Que j'ai fini par m'endormir sur la table.

J'entendais la voix de Koro s'en aller loin
De plus en plus loin.
Pour totalement disparaître.

J'apparus tout d'un coup dans un espace blanc.

What the...

Puis des murs, un sol et un plafond vinrent se dessiner.

Il y eu un bruit sourd qui me fit sursauter.
Je regarda derrière moi : Rien.

Lorsque je me retourna, les murs avant blanc immaculés, était désormais tachés de sang.

Ou de la confiture de fraise.

Mais le sang est plus probable, vu mon esprit.

J'allais m'approcher pour estimer une date à ce sang, mais un autre bruit sourd me fit sursauter.

Je me retourna, encore, et vit une boite en carton.
Boite qui n'était pas là avant.

Je fronça les sourcils puis les marques de sang tournèrent et bougèrent.

Je sentis une angoisse monter au fur et a mesure que les marques se déplaçaient.

Elles finirent leurs parcours sur un seul mir et formèrent une flèche qui designait la boite.
Les 3 autres murs étaient redevenus étonnamment blanc, comme si rien ne s'était passé.

La boite commença à bouger et j'entendis des cris à l'intérieur.

Ouvre

Ouvre

Ouvre

Ouvre

Je tourna autour de moi pour voir d'où venait cette voix.

Rien.

Je m'approcha du carton qui sautillait de plus en plus.
Les cris résonnèrent de plus en plus fort.

Je sentis une sensation de mal être et d'étouffement grandir en moi. Ma respiration commençait à se saccader. C'est quelque peu stressant...

J'hésita à ouvrir ce colis, mais au moment où mon doigt toucha la matière, la boite s'arrêta de bouger. Les cris cessèrent.
Et l'atmosphère lourde s'en alla, d'un coup. Laissant un silence assourdissant prendre possession de la pièce.

Je pris un grande inspiration et l'ouvris.

Une âme sorti et cria.

Un cris strident et douloureux qui me poignarda la poitrine.

Je mis mes mains sur mes oreilles et recula.

Sauf qu'à chaque pas en arrière fait, cette âme s'avançait vers moi.
Elle était noire, les yeux vides et la bouche grande ouverte.

Sable d'automneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant