𝘵𝘢𝘦𝘯𝘯𝘪𝘦
'je reverrai sa gueule d'ange directement en enfers.'
jennie kim est ce qu'on appelle une star des réseaux sociaux. obsédée par son image et la richesse, elle sait exactement comment se servir des gens pour arriver à ses fins. mais to...
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- Tu ne devineras jamais qui j'ai retrouvé l'autre jour, fis-je en posant la tasse fumante sur la table en bois.
Seokjin me remercia et je m'assis en face de lui, poussant les quelques partitions qui encombraient la table au passage. Il attendait que je poursuive mais les éléments se bousculaient dans ma tête, j'avais un mal de crâne horrible. Tout ça, c'était à cause d'elle.
- Un vieux pote d'enfance, Min Yoongi.
- Son nom me dit quelque chose, fit mon ami en remuant son café noir.
- Ouais, c'est devenu un rappeur et un millionnaire par dessus le marché. Il était déjà doué à l'époque, et il est devenu ce type dont tout le monde parle à la télé, AgustD.
Seokjin ricana en m'envoyant un regard joueur.
- Tu vois, si t'étais dans ton temps tu aurais capté qu'il s'agissait de ton pote depuis tout ce temps.
- Je déteste le rap, Jin', vraiment, grimaçai-je. Évidemment que je ne m'y suis pas intéressé.
- Tu aurais dû. Certaines fois, ses chansons les plus connues passent à la radio. Il a beaucoup de talent.
- Je n'écoute pas la radio, Jin', dis-je, lassé.
Seokjin éclata de rire en tapant dans ses mains comme un gamin.
- Tae', tu devrais sortir un peu et te sortir la tête de tes partitions. Pas que je n'aime pas ta musique, loin de là et tu le sais, mais je pense que ça te ferait du bien, ça te changerait les idées.
Je soupirai, il s'inquiétait toujours trop. Il avait affublé son masque inquiet et son regard ne déviait pas de ma personne, certaines fois c'était étouffant d'être ami avec lui.
- Je vais bien, je t'assure. Ça va beaucoup mieux depuis que je peux recommencer à jouer.
Seokjin ne fut pas convaincu. Il fallait dire qu'il m'avait connu plus bas que Terre, la première fois que nous nous étions rencontrés. C'était seulement grâce à lui que ma vie ne s'était pas arrêtée à cette époque-là, alors il était normal qu'il s'inquiète tout le temps pour moi et ma santé.
- Comme tu veux... finit-il par dire en buvant une gorgée de son café.
