Elle est dans mes bras, toute calme et sereine. Nous sommes entrain de danser sur un rythme très lent, elle a alors posé sa tête sur mon torse d'elle même. J'en suis ravi mais je ne comprend toujours pas pourquoi tous c'est petit moment me rende heureux. Ça devrai me passer au dessus pourtant ce n'est pas le cas.
En revenant de ma réunion confidentiel avec tous les fondateurs de Washington, j'ai été surpris de la découvrir entrain de discuter avec les femmes de Pierre et Raphaël. Je pensais plutôt qu'elle allait rester dans son coin même si plus tôt je lui ai dit que ça lui été autorisé.
-Ça m'a fait plaisir que tu es réussi à discuter avec Malory et Lidia. Je pense que sa pourra t'aider pour ta nouvelle vie ici, à Washington, je commence à lui dire
C'est vrai. J'apprécie le faite qu'elle puisse se faire des amies ici. Raphaël et Pierre m'ont déjà informé que leurs femmes été très amies et sa permettait une bonne atmosphère dans le groupe si elles acceptent de faire de même avec Sophia. Ça ne pourrait que nous réjouir davantage. Avoir en plus de nos obligations, des femmes qui ne se supporte pas est assez compliqué.
Ça a été le cas pour Frédéric Brimons le plus ancien dès fondateurs actuellement de Washington. Sa femme ne s'entend mais alors pas du tout avec les plus jeune épouses, se qui a créé quelques petites disputes au début car elle se sentait supérieure de part son âge. Maintenant ça s'est calmé car Frédéric a su gérer son épouse.
-Oui elles sont très gentilles. Elles m'ont mise à l'aise. Je l'ai apprécie vraiment, me répond-elle
-J'en suis très content
Nous continuons de danser en silence. Je profite de pouvoir l'avoir dans mes bras. Après quelques danses, je décide de retourner nous mêler aux invités. A peine sorti de la piste de danse qu'un couple s'approche déjà de nous. Nous saluons respectivement avec Sophia puis nous entamons une conversation avec L'homme.
-Va me chercher un verre de Whisky au bar, dis-je en direction de Sophia
Elle ne se fait pas attendre. Elle me répond un léger oui puis s'éclipse vers le bar. Je ne fais pas plus attention et continue ma conversation.
Ça fait maintenant plusieurs minutes qu'elle est parti. Elle devrait déjà être de retour. Alors je me retourne et je peux voir qu'elle n'est pas au bar. La colère commence à me monter. Elle n'a pas suivie mes instructions...
Je fais en sorte que ma colère ne se décèle pas dans ma voix n'y dans mon comportement.
J'espère pour elle, qu'elle va très vite arrivé. D'un coup, je l'entends crier mon nom en détresses. Il ne m'en faut pas plus pour à peine écourter la discutions avec l'homme devant moi que je suis déjà partie. Ce crie est bien sur tout sauf discret alors tous les regards se tourne vers moi.
Je me précipite vers l'arrière du bar où se trouve un couloir caché d'un rideau. J'ai l'horreur de découvrir derrière celui-ci ma promise avec sa robe révéler jusqu'à la cuisse par un vieux pervers. Je remarque tout de suite que je le connais, c'est l'un des fondateurs du Michigan.
Je me précipite vers lui et lui colle mon point en pleine figure. Il se retrouve par terre et s'en faire quoi que se soit Sophia se réfugie dans mes bras.
-Mon pauvre, tu viens de t'attaquer à la mauvaise personne, cette femme est la mienne. Tu le savais très bien étant donné que se soir à eu lieu sa présentation donc aucune excuse n'est accordable. Attends toi à trouver dans ton agenda une conférence entre tous les fondateurs à ton sujet. Je ne compte pas en rester là, crois moi !
A ce moment j'expulse ma colère. Je lui fait bien comprendre qu'en s'attaquant à se qui m'appartient, il a commit une grave erreur.
J'entraîne avec moi Sophia. Dans la salle, tous les regard sont tournés vers nous. J'ai horreur que l'attention soit autant tournée vers nous à cause d'un drame. Avant de partir, Pierre s'approche en me demandant se qu'il se passe, alors je lui glisse quelques mots :
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Amour Attirant - La dépendance
RomanceC'est un homme de pouvoir, qui ne crois pas en l'amour. Pour lui une femme ne sert qu'à le servir pour le mettre en valeur et le satisfaire. On ne peut pas totalement lui en vouloir d'avoir de telles pensées, elles viennent de son éducation. Tout b...