Chapitre 22 - Sophia

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Au moment où il s'approche de mon visage, je commence à prendre peur. J'essaie malgré tout de me ressaisir en me disant que ce qui va arriver est normal. C'est la poursuite normale d'une relation de couple.

Il pose ses lèvres sur les miennes. La sensation est agréable. Je ne sais pas tout de suite quoi faire. Je n'ai jamais embrasser de garçon avant. Je décide de me lancer en lui rendant à mon tour.

Cette action lui convient pleinement. Cette fois le baiser s'approfondit et devient bien plus intense. Je le suis totalement. Il me domine complètement.

Ses main quitte mon visage pour trouver mes hanches. Il profite à un moment donné de faufiler sa langue dans ma bouche. A partir de se moment là, le baiser est tellement plein de passion que j'ai du mal à respirer.

Il s'arrête d'un coup. Ça me permet de reprendre mon souffle. Pourtant je me sens délaissé et je ne sais pas vraiment, il y a un autre sentiment qui m'envahit. Il est centré vers mon intimité. D'ailleurs je me rends compte que ma culotte est humide. Je me trémousse légèrement me sentant gêné ne sachant pas ce qu'il se passe.

Son regard transperce toujours le mien. Je peux voir également qu'à se moment précis il a pris une décision. Je ne tarde pas à la connaître quand je me sens soulevée telle une princesse.

Il m'emmène jusqu'à notre chambre pour me poser à terre devant notre lit. Je ne gère plus rien, comme si je le pouvais avec cette homme.

Je reste là à attendre. Je le regarde entrain d'enlever sa chemise bouton après bouton ensuite son pantalon suit. Voilà qu'il se retrouve devant moi plus que vêtu d'un caleçon.

J'ai déjà eu l'occasion de le voir vêtu de cette façon même avec moins que ça. Mais à ce moment précis, voir son corps tout musclé, exacerbe mon sentiment que je ne comprends pas. Ça doit être de l'attirance peut être.

-Tourne toi, m'ordonne-t-il

Je ne me fais pas attendre pour m'exécuter. Je le sens s'approcher dans mon dos. Il est tout près de moi mais nos corps ne se touche pas.

L'une de ses mains se pose au niveau de ma taille et la deuxième vient trouver la tirette de la fermeture éclaire. Il l'a fait descendre tout doucement. Elle s'arrête au bas de mes reins. De là il peut découvrir mon tanga blanc tout en dentelle. Il ne tarde pas pour faire tomber la robe à mes pieds. Je prends alors l'initiative de me pousser un peu plus sur le côté.

-Tu es tellement belle Sophia. Tu ne t'en rends pas compte je le sais bien mais tu as un corps de déesse avec un visage d'ange. Tout simplement parfaite, me dit-il les yeux brillant scrutant la moindre partie de mon corps

Nous sommes à égalité désormais. Tous les deux plus que vêtu de nos sous vêtement. Il s'approche de moi pour un baiser tendre mais avec un côté bestial, je peux ressentir qu'il se retient tout de même.

Je pense qu'il le fait pour ne pas me brusquer. Je dois dire qu'il est très doux et patient avec moi. Je pensais que lorsqu'il voudrait passer à l'étape supérieur, qu'il ne prendrait pas de pincette et irai droit au but.

J'ai cette idée parce que ça vient de là seul fois où ma mère m'en a parlé : « quand ton mari aura décidé que c'est le moment, tu ouvriras les cuisses et tu te laisseras faire ». Voilà pourquoi je ne m'attendais pas à cette longue attente mais qui me ravi. Si je suis complètement honnête avec moi même, j'adore ce moment.

Tout en continuons à m'embrasser, ils nous entraînent sur le lit. Je me retrouve couché sur les coussins décoratifs et Mathieu sur moi. Il arrête de nouveau notre baiser.

-Ne t'arrête pas s'il te plaît, dis-je

Je ne me reconnais plus. Je ne connaissais pas se sentiment étrange il y a quelque semaine et maintenant je ne veux plus qu'il s'arrête.

-Ne t'inquiète pas ma belle, tu vas encore plus apprécier la suite

Sa bouche se dirige cette fois vers mon coup. Il n'a pas tord. J'adore les sensations en plus qu'il me procure. Tout en m'embrasant, il fait descendre les bretelles de mon soutien gorge puis passe ses mains dans mon dos pour le dégrafer. Je n'oppose aucune résidence, je l'aide même en cambrant mon dos. A ce moment là, j'ai l'impression que pour ressentir encore et encore se sentiment je serais prête à tout.

Il jette cette fois-ci son dévolu sur la poitrine. A ce moment, se n'est pas un baiser que je ressent mais une légère morsure alors je me mets à gémir. Gémissement que je retiens depuis un moment. Je ne sais vraiment plus se qui m'arrive.

-Mathieu... je me sens toute drôle, je ne sais pas ce qui m'arrive, lui dis-je du mieux que je peux

Il descend toujours plus bas en posant à chaque fois des baiser partout sur mon corps.

-Tu es exciter ma belle. Tu as envie de jouir, d'expulser toute cette excitation. Ne t'inquiète pas je vais t'y aider...

Tout en me donnant sa réponse, il a fait glisser mon tanga le long de mes jambes. Instinctivement, j'écarte un peu plus les cuisses.

-Je préfère les femmes épiler alors tu iras voir tes nouvelles amies pour qu'elle te communique l'adresse de leur esthéticienne

Je me sens soudain gêné par ces paroles mais malgré ça rien ne pourrait me sortir de se moment de bien être.

A l'instant où il pose sa bouche sur mon clitoris, je lève mon bassin.

-Non ma belle. Laisse moi faire. Je m'occupe de toi

Sa voix est à la fois tendre mais aussi dominante. A peine ces quelques mots dit que je fais mon possible pour faire ce qu'il me dit.

-Dit moi tu es déjà bien mouillée. Je vais tenter quelque chose, si tu as mal, tu me le dis d'accord ?

Tout en parlant il joue de ses doigts avec mon clitoris, ce qui me rend complément folle. J'hoche la tête rapidement pour qu'il accélère et qu'il me donne toujours plus.

-Tu sais très bien que je veux te l'entendre dire, tu préfères peut être que j'arrête ?

-Non n'arrête pas s'il te plaît ! Je suis d'accord, je te dirais si j'ai mal, rappliquais-je directement suppliante

Ma réponse lui convient alors ses doigts descendent encore plus bas alors que sa bouche prend le relais pour titiller mon clitoris.

L'un de ses doigts commence à glisser en moi. Je commence alors à convulser, je me sens tellement bien à se moment précis que j'aimerai que ça ne s'arrête jamais.

Son doigts est maintenant pratiquement entièrement en moi que je me mets à crier son nom tout en continuons à convulser. Je sais à se moment précis que je suis arrivé au point de non retour.

Dès que je me calme, Mathieu retire son doigt et arrête de sucer mon clitoris. Je suis toujours dans mon état de bien être mais je ressens aussi une immense fatigue.

-Je reviens tout de suite, dit-il rapidement tout en allant à la même allure pour rejoindre la salle de bain

Je jette les coussins au sol et me mets rapidement sous la couette. Je ne prends pas la peine de mettre un pyjama. Je suis bien trop fatigué.

J'entends à peine l'eau commencer à couler en fond que déjà je pars dans un sommeil profonds.

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