CHAPITRE 12

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PVD de Kabir:

Suite du FlashBack:

Tout en parlant mon pére me regardait en pleurant et j'avoue que ça me touchait de voir mon géniteur dans un tel état, en même temps j'avais pitié de ma petite sœur.

Pére Maodo: Pardonnez moi mes chers enfants, de vous avoir menti pendant tout ce temps, pardonnez moi, dit-il en versant des larmes.

Aïsha: Je suis toujours fiér de toi, tu ne dois pas nous demander pardon car tu nous as toujours soutenu.

PVD de Fatou Maodo:

J'avais le cœur remplie de joie de voir mes enfants unis et compliçes avec leur pére, si seulement je pouvais revenir en arriére pour éviter quelques évenements comme d'avoir allé a ce séminaire qui a présenté le début de mes malheurs.

J'ai même constaté qu'ils ne me regardaient pas alors je décide de partir et les laisser car je pense qu'ils ne sont pas heureux de me voir.

J'étais à la porte pout partir, mais je fus arreté par la voix de ma fille Aïsha.

Aïsha: Ne partez pas, j'ai toujours rêvé de voir ma mére un jour, la prendre dans mes bras pour lui dire le mot magique "Je T'aime", discuter avec elle sur la vie pour qu'elle me conseille et me protéger sur beaucoup de choses mais je peux dire que aujourd'hui Dieu a réalisé mon rêve donc pourquoi ne pas en profité, dit-elle en prenant sa mére dans ses bras.

Kabir: Je peux juré que le mot coïncidence n'éxiste pas car lorsque je t'ai vu a l'Hôtel j'avais senti quelques chose de bizarre comme si nous sommes liés.

Fatou Maodo: Bal léine maa akk (pardonnez moi) dit-elle en pleurant.

A un moment donné j'avais tellement honte d'avoir ratée beaucoup de choses sur la vie de mes enfants comme leurs éducation, études etc, mais je suis ravie de voir qu'ils sont bien éduqué par leur pére.

En parlant de ce dernier, il est assis sur une fauteuil avec les yeux baissés comme s'il avait peur de me regarder, aprés nos pleurs nous regagnons tous le salon pour discuter.

Kabir: Vraiment je suis béat de savoir que tu est heureuse.

Aïsha: Moi aussi je le suis, mais Maman qui avais tué ta défunte meilleur ami?

Fatou Maodo: Ce jour la nous étions parti en seminaire à Mbour mais pendant la fin du séminaire à 21h moi et mon ami Ndoumbé Ndiaye étions dans notre chambre pour preparer nos affaires pour partir trés tôt le lendemain mais soudain deux malfaiteurs avec les visages masquéss sont entré dans notre chambre en nous poingtant leurs armes, deux secondes plus tard ils avaient tiré sur Ndoumbé.
Jamais au plus grand jamais je n'oublierai pas ce jour, et le comble mon propre mari ne m'avait pas cru et pour couronner le tout il m'avait répudié en prison en croyant que j'ai assassiné ma copine, dit-elle en pleure.

Pére Maodo: Je voulais te croire mais c'était impossible car toutes les preuves étaient contre toi mais n'empêche que j'avais choisi des avocats pour te défendre.

Fatou Maodo: Même si les preuves étaient contre moi, tu aurais du me croire car tu me connais mieux que quiconque, parfois je me demande même si tu m'avais réellement aimer, dit-elle hors d'elle en criant.

Pére Maodo: Avant tout d'abord baisse le ton car je ne suis pas ton égal en plus je suis le pére de tes enfants.
Sache que oui je t'ai aimé c'est pour cela que depuis 25ans j'ai pas chérché a épousé une autre, j'ai élevé mes enfants sans l'aide d'une belle mére pour eux.

TRAHISON (Les Surprises De La Vie)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant