Chapitre 17

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"And from the chaos of her soul there flowed beauty" Louise Alexandra Erskine.

Pdv de Fran

Après que Dylan soit sorti, je repensais a ce qu'il avait dit. Je sais que j'apprécie Ariana mais de la a avoir des sentiments, faudrait pas exagérer. Je ne pouvais pas non plus resté toute la nuit sans lui avoir parlé. Alors j'allais vers sa chambre et tapait à sa porte.

Ari : Fran ? Dit-elle en ouvrant sa porte, qu'est-ce que tu fais là ?
Moi : On va faire un tour ?

Elle me regardait, hésitante.

Moi : s'il te plaît, insistais-je.
Ari : Bon okay.

On sortit cote à cote de la maison. On marchait pendant au moins dix bonnes minutes quand je cherchais quoi lui dire. J'avais improvisé cette sortie et maintenant je ne savais pas quoi lui dire, quel débile.

Ari : c'est tellement beau ici, merci pour ça Fran, t'as tenu ta promesse, dit-elle en me souriant.

On s'arrêtait de marcher pour se faire face, son sourire était timide et elle était magnifique, comme toujours.

Moi : Je tiens toujours mes promesses Ari, surtout quand je t'en fais à toi.
Ari : j'ai... comment dire ça... j'ai quelque chose à te dire...
Moi : Ça tombe bien moi aussi.
Ari : Ah, bon vas-y... je t'écoute.

Merde, qu'est-ce que j'allais lui dire maintenant ?

Moi : Euh, je voulais te dire...que... commençais je hésitant, je suis vraiment content que ces vacances t'ait plu, et j'espère que quand on rentrera on passera plus de temps ensemble parce que j'ai vraiment envie de passer du temps avec toi, enfin, je veux dire nous tous, tu nous quittes pas maintenant n'est-ce pas ?

Elle me regardait avec une lueur de nervosité dans ses yeux, ou tout simplement qu'elle ne voulait pas répondre.

Pdv d'Ari

Fran : Pas vrai ? Dit-il en me regardant, suspicieux.
Moi : oui oui, je suis désolée j'étais un peu dans les nuages, mais oui bien sûr haha, t'as totalement raison.

Il me fit son plus beau sourire. Celui qui me faisait craquer. Et comment j'allais lui dire maintenant ? Comment lui dire que je partais ? Mieux vaut pas penser à ça pour l'instant, il était là et c'est ce qui comptait. Ça faisait un moment maintenant qu'on se regardait, et il s'approchait de plus en plus de moi. Je savais ce qu'il allait faire. Je sais que je devrai m'éloigner, c'était sûrement un jeu pour lui, mais mon envie prenait le dessus. Il n'était qu'à quelques centimètres de moi, et se baissait encore plus du à sa taille plus imposante que moi. Je posais alors mes mains sur son torse.

Moi : Fran....
Il ne me laissait pas finir ma phrase et collait ses lèvres aux miennes

Il ne me laissait pas finir ma phrase et collait ses lèvres aux miennes

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