Petits problèmes techniques...

Well... FUCK! (Genre "et bien merde", pas well fuck comme "bonne baise")

Update sur me vie, c'était bien une sinusite et une bronchite, Google avait raison

Lol j'ai écrit Ça avant de prendre Ma "pause", anyway, je suis de retour et j'ai passé l'halloween !!!

I BACK BITCHES!

Kirishima sortit en coup de vent de la classe (après avoir récupéré son cell bien sûr, il a le sens des priorités tout de même). Il voulait voir son Katsuki! Il marchait d'un bon pas vers la maison du blond quand il passa devant un dépanneur. Ding ding!! (Ouais, ça en fait c'est une idée. C'est le bruit d'une idée ouais...) Kaminari lui avait fait remarqué que Bakugo était probablement menstrué, d'où ses changements d'humeur. La crevette électrique lui avait aussi parlé d'un genre de symptôme particulier et obscur qui semble venir d'une autre dimension (genre des maux de ventre) dont Jirou (et moi en l'occurrence) était victime dans ces moments-là, mais Eijiro en bel imbécile qu'il était n'avait pas compris le message. (Eiji, mon chou, t'es vraiment con, mais gentiment)

L'adolescent entra dans le petit magasin. Donc...des réglisses, une aéro, des kitkat, des chips au ketchup, du bacon de licorne (des réglisses arc-en-ciel plates avec un espèce de petit sucre amer dessus pour les gens tristes et ignorants qui ne connaissent pas cette bénédiction d'All Might en personne), des jujubes vers de terres, des ramens instantanées (ceux qui selon moi sont faites à 50% de plastique) et des skittles.

Par-fait!

Kirishima paya ses achats le plus vite possible, sans bien sûr oublier de remercier la caissière, c'est pas viril l'impolitesse!

Il continua son chemin vers la maison de son bien-aimé d'un bon pas de marche-très-rapide-qui-est-peut-être-plus-du-jogging-ou-même-de-la-course-en-fait.

-Han... Est... ce que... han... Est-ce que je peux voir Katsuki? Demanda un Eijiro tout essoufflé au papa du blond qui venait d'ouvrir. (Ouais aussi les "han han" là c'est de la respiration de personne qui a couru, pas des cris de jouissance. Pour ceux qui se demandait)

L'adulte fit une sourire en coin. C'est beau l'amour à cet âge-là. L'amour chaste, mais l'amour quand même. (Papa poule)

-Ben... en ce moment il est malade, je sais pas s'il va mieux depuis ce matin, il a besoin de repos, fit mine d'hésiter Masaru devant la mine déconfite du pas-rouquin, mais je suis sûûûûr que t'avoir à ses côtés l'aiderait à guérir beaaaaucoup plus vite.

L'homme souriait tendrement en regardant le petit-ami de son fils, le sourire fendu jusqu'aux oreilles, aller rejoindre le blond dans sa chambre (la porte OUVERTE les enfants! Je m'en fous que tu sois malade ou que t'ais besoin d'intimité, justement t'es malade, t'as pas besoin d'intimité, la fucking porte reste ouverte! C'est ça ou ton AMI retourne chez lui). Katsuki avait vraiment une copain attentionné, Masaru espérerait que son fils le savait et qu'il faisait attention à Kirishima, parce qu'il ne trouverait pas mieux (surtout avec son caractère de marde).

Eijiro entra dans la chambre (en refermant bien sûr la porte dernière lui comme un espèce de petit Fuck boi) de son ami de cœur.

-Hey Namour! Dit-il le sourire (celui qui fait immanquablement fondre Katsuki) aux lèvres.

Katsuki était étendu sur son lit sans soutien-gorge (oui oui, c'est important de le préciser). Il avait les yeux fermés, mais Kirishima savait qu'il ne dormait pas (quand il dort il ronfle assez fort, tu le remarques). Eijiro s'assit sur le lit près de son amant. Une main étrangère se faufila dans la touffe blonde de Katsuki.

-Je suis passé au dep, chuchota presque Eijiro. Je t'ai pris 2-3 trucs pour te remonter la morale...

Katsuki ouvrit les yeux. Il nota officiellement que: Eijiro Kirishima était un être merveilleux qui mettait continuellement de la lumière dans son quotidien. Son copain était parfait. Il se redressa et colla ses lèvres à celle de son amoureux. C'était un baiser très doux. Sans intentions particulières pour Kirishima, mais plein de sens pour Bakugo. Plein de sens parce que c'était peut-être - probablement si vous voulez l'avis du blond - le dernier qu'ils partageraient. Face à cette idée, rien, même pas des réglisses arc-en-ciel ou des ramens en plastique n'arriveraient à enlever le poids que Katsuki avait sur le cœur.