Bonheur te voilà enfin !
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J'ai dis, j'ai fais.
On a passé une semaine extraordinaire au Mexique.
Moi : viens on va au restaurant.
On est allé au restaurant de l'hôtel.
Elle : pourquoi tu as voulue venir au Mexique ?
Moi : parce qu'il fait chaud.
Elle : ouais mais pourquoi ça t'es venu en tête en premier ?
Moi : j'avais faim, je voulais des tacos.
Elle : *rire* ok.
Moi : tu voulais aller où ?
Elle : nul part je comptais même pas partir de la France, je voulais juste être avec toi.
Moi : pourquoi tu as attendu trois mois avant de revenir ?
Elle : parce que je ne me sentais pas prête et même quand je t'ai appelé, j'étais perdue, tu me manquais mais je ne savais pas si c'était le moment.
Moi : alors pourquoi tu l'as fait ?
Elle : j'ai dis à ma sœur que tu me manquais mais que j'avais peur de ta réaction et elle m'a dit que si tu m'aimais vraiment tu me comprendrais. Du coup comme je ne doute pas de tes sentiments je t'ai appelé.
Moi : ne doute jamais de mes réactions avec toi. Si ce que tu vas me dire est valable ne doute jamais, dis le moi ok ?
Elle : même si après trois mois je reviens comme une fleur ? Il y avait de quoi douter non ?
Moi : ouais. Tu as toujours honte de toi là ?
Elle : on est obligé de parler de ça ? Ici ?
Moi : oui. Je veux que quand on rentre en France on reprenne notre rythme d'avant et je ne te sens pas sûr de toi comme au début de notre relation.
Elle : Noam on m'a violé je ne peux plus être la même après tout ça.
Moi : ...
Elle : je suis toujours Anaya, je serais toujours la même personne que tu aimes, que tu as connue, je t'aime toujours de la même façons et peut être même plus encore mais après un viol, tu ne peux plus être la même personne dans le caractère et autres ou du moins il te faudra du temps.
Moi : alors pourquoi tu es revenue ?
Elle : pour pas que tu m'oublies.
Elle avait des larmes qui remontaient.
Moi : gaspille pas ton maquillage bébé.
Elle : *rire*.
Moi : *rire* même si je ne te le dis pas forcément, je suis fier de toi et je t'aimerais et te regarderais toujours comme la première fois. Ok ?
Elle a simplement hoche la tête positivement.
Moi : ok. Tu as finis ?
Elle : oui.
Moi : ok.
On a payé et on est remonté dans notre chambre.
Moi : pourquoi tu pleures ?
Elle : je ne sais pas.
Moi : viens là.
Elle est venue dans mes bras et elle a tout lâché.
