Chapitre11

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Ce matin, Annie m'appelle à prendre le thé:
Moi: papa, comment s'appelait ton ancienne fille ?

P: elle s'appelait azure, azure de Carcassonne.

Moi: alors je suis Jasmine de Carcassonne ?

P: oui, et même si t'a sœur est au ciel, je suis sûr qu'elle est heureuse, elle avait un goût pour la mer, elle voulait être libre de toute la société, je plains sa mort !! Elle me manque.
Je ne dit rien je comprend sa tristesse et sa douleur , après tout c'est sa fille.
Mais ne te dit pas que je me sens moins heureux avec toi, Jasmine je suis très fière de toi, Annie m'a appris que tu travaille avec le prince, te sens tu heureuse ?

Comment mon père peut connaître mon ressenti?! Je ne l'ai dit à personne, est-ce qu'il soupçonne quelque chose ?!

Moi: tout vas bien, pourquoi me demande tu cela ?

P: tu sais si tu n'aime pas ça tu peux me le dire on s'en iras.

Moi: je t'assure, je vais très bien.

P: si il y a quoique ce soit dit le moi, mais je te fais confiance tu me le diras.

Moi: oui ne t'en fait pas.
Je me sentais désolé, de ne pas avoir parler à mon père de mon chagrin, mais je ne veut pas qu'il soit inquiet.
Avant de partir je fais signe de la main à Annie et à papa, et je leurs explique que je ne pourrai pas passer la semaine prochaine à la maison, je n'ai pas envie de parler au prince pour une faveurs. Annie me promet que elle le ferras, je leurs fait des câlin et je pars.
Ce matin je porte une robe à volants, droite.
Je n'aime pas quand la robe monte jusqu'au cou, mais je suis obligé que ma robe descend jusqu'au pied, il n'existe pas de robe courte, mais toute de même une femme de haut rang doit savoir s'habiller à la mode car sinon elle fait scandale à la population.

Savez vous qu'il n'y a aucune loi qui nous interdise de porter de porter des choses ouverte? Mais on ne le fais pas parce que les dames de la cours risque de diffuser des rumeurs sur nous, néanmoins je décide de dégager mes épaules, l'autre j'our j'ai vu la princesse de valoir le faire alors, si elle n'est pas critiquer je pense que je ne risque rien.
Je me rend en cuisine chercher le plateau du petit déjeuner du prince, je monte à sa chambre je panique d'être toute seul à sa présence. J'ai très peur car, très peur de tomber dans son piège, oui je ressent des choses mais je sais que ce n'est pas reciproque où comme je le voudrais, je prend mon courage et je frappe il me dit d'entrée, je regarde le sol et pose le plateau sur sa table. Puis je me dirige derrière lui comme me l'a enseigné la servante en chef.
J'observe son dos, ce dos que j'ai touché et que d'autres femme sont passés par là, puis brusquement Arthur se retourne et me regarde, mais mon regard retombe au sol.

Ce rang qui nous séparent [TOME1]-la couronne ou moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant