Kidnapper par choix

9- Est ce que tu m'aime?

Allan:

Je ne sais vraiment pas pourquoi mais je me sens bien mieux depuis que j'ai pu recoûter à a ses lèvres pleines cette fille me rend fou. Une fois arriver dans le salon mon père nous regarde tour à tour son regard s'arrête sur nos mains enlacés. Lola elle affiche juste un sourire comme si elle était fier de moi même si cette femme n'est pas à mère je la considère tout comme je l'aime mais je ne lui et jamais dit elle ses occuper de moi depuis mes 15 ans. Mon père à l'air pommé.

- Ecoute Allan mon fils je suis désoler de...

Je le coupe.

- Non ces moi qui m'excuse de mettre énerver papa je n'aurais pas du on peut oublier maintenant car ses la première et dernière fois que je m'excuse de ma vie devant vous tous enfin sauf toi beauté.

- Bien si je suis la c'est pour qu'on essaye de trouver un plan, malheureusement comme on ne sait toujours pas qui est la taupe on ne peut pas s'infiltrer dans leur gang en tend que gangster.

- Tu pense à quoi?

- Et bien si ont trouver une fille à qui on pourrais lui mettre un implant GPS ont pourrais faire en sorte qu'il la kidnappe et attendre qu'il l'emmène au boss et on intervient.

- Ces un plan risquer et tordu mais ça pourrais marcher, il nous reste plus qu'a trouver une fille qui serait d'accord de le faire.

- Oui mais le souci ses que aucune des filles du gang ne peux le faire la taupe la reconnaitrait.

- Alors comment faire?

Pendant que je commence à réfléchir une voix nous fait relever la tête.

- Moi je peux le faire personne ne me connais je viens juste d'arriver en ville.

Pas besoin de me retourner pour voir que ces Marla qui as parler.

- Putain hors de question que tu face ça plutôt mourir que t'envoyer là bas jamais de mon vivant.

- Mais....

Mon père la coupe.

- Elle n'a pas tord ça serait la candidate idéale, nouvelle en ville du coup il y verrons que du feu et ....

Je pète les plonds.

- Putain j'ai dit non jamais ok jamais.

- Mais pourquoi tu ne veux pas laisser y aller?

Marla hurle aussi maintenant, je vois mon père et Lola nous regarder ne savant pas quoi faire. Marla reprend son discourt :

- Je vais le faire ses à moi de prendre cette décision pas à toi Allan.

- Ah oui? Ta déjà oublié se qui ses passer avec ce pervers et bien la il pourrais t'arriver pire si on n'arrive pas à temps.

- Je serai prête à le faire pour sauver toute ses filles innocente.

- J'ai dit non putain.

- Désolé mais j'ai prit ma décision j'ai vais.

- NON! j'ai hurler et tout le monde ces figer mais je vois dans son regard qu'elle ne va pas lâcher.

- Mais merde à la fin je fais se que je veux. Pourquoi tu ne veux pas me laisser faire.

- Parce que.

Et merde que faire que dire je vois rouge je vais tuer quelqu'un je le sens.

- Ce n'est pas une réponse.

Et la ses la phrase qui me fait sortir toute ma haine. Je me retourne m'approche d'elle mais elle recule et je lâche ma haine.

- Putain mais tu comprend rien je croyais que dans la cuisine tu avait compris tu ne vois rien tes conne ou quoi?

- Voir quoi? elle hurle autant que moi.

- Je but le pervers qui voulais te violer, je tes prit dans mes bras , j'ai dormis avec toi, je tes emmener au resto , je tes embrasser dans la cuisine je te donne la main et je refuse que tu te mette en danger tu capte toujours pas putain?!

Elle ne répond rien ses larmes coules je sais pas pourquoi je m'en prends à elle mais ça dois sortir.

- Non je comprend pas désoler d'être trop conne pour toi!

- Mais putain elle me rend fou ses pas possible j'ai pas dit que tu étais conne j'ai juste dit que tu comprend rien enfin merde quoi.

- Bein éclaire moi puisque tu sait tout je suis pas toi je lis pas dans les pensée.

Je balayer tout se qui se trouve sur la table avec ma main et hurle a plein poumons mes joues en larmes.

- Je ....

-Tu quoi mon fils?

- Je l'aime putain.

Plus personne ne parle seul les larme de Marla et les mienne coule et Lola s'y met aussi et je vois que mon père en reste sens vois. Je me tourne de nouveau vers Marla sa bouche et grande ouverte ses cheveux lui tombe sur les épaules et ses yeux bleu sont grand ouvert. Il faut que je lui redise en face. Je baisse d'un ton pour nr pas lui faire peur, j'arrête de cacher mes larmes.

- Marla je... regarde moi s'il te plaît. je lui relève le mentons pour que nos regard se croise. Je t'aime beauté.

Mais elle regard Lola et mon père, mon père dois lire ma détresse car il prend la parole.

- Mon fils Allan est ce que tu viens vraiment de dire que tu l'aime? Non pas que je doute de tes sentiments loin de là mais ces la toute première fois de toute ta vie que je t'entend dire que tu aime une personne.

- Oui papa je l'aime je sais que ses fou je la connais depuis 24h mais elle réveille en moi tout se que personne na jamais réussit à réveillée, et non ses faux ses n'est pas parce que je ne le dit pas que je ne le pense pas mais toi aussi papa je tes aimer depuis le jours ou tu ma emmener loin de ma génitrice et toi aussi Loa je t'aime tu me le disait tout les jours et je suis désoler de ne te l'avoir jamais dit mais je vous aime. Avant je ne le savais pas, enfin pas avant hier notre discutions Lola ses grâce à Marla que j'ai compris se que voulais dire aimer.

Lola et la première à se jeter sur moi.

- Tu n'est peut être pas mon fils mais je t'aime comme une mère aimerais sont enfant, ne pleure pas mon grand.

Et mon père prend la place de Lola.

- Je t'aime aussi fils depuis le jours ou j'ai posée les yeux sur toi ces pour ça que j'ai toujours supporter tes conneries.

Il s'avance pour me prendre dans ses bras mais je le stoppe, j'suis pas pd non plus!

- Pitié pas de câlins de toi aussi quand même j'suis pas pd.

Une petite voix enroué prend la parole.

- Ce que je ressent pour toi me fait peur mais pour la première fois d ma vie je me sens en sécurité à tes côtes et je te fais confiance et si on en crois les conseils de Lola ça s'appel l'amour, alors je ne peut pas le nier à présent mais oui je...

- Tu quoi Marla? lui demande mon père, mais il peut pas fermer sa gueule lui?

- Je t'aime aussi Allan.

Je pousse mon père pour attraper Marla, je la soulève de terre la fait tourner. Elle glousse, je la repose au sol. Dans un geste inattendue elle essuie mes larmes en me regardant dans les yeux, d'un coup comme pour la dernière fois dans la ruelle elle se jette sur moi pour m'embrasser.