Friends With Benefits ( Larry AU )

Make Me Feel Better

Les jours suivants, c'est comme si rien ne c'était passer. Sauf que c'est arrivé, et me réveiller tous les matins me rappelle qu'il n'est pas mien.

Le sexe est toujours fantastique, je le prends où je veux, quand je veux, mais je continue à penser au moins une fois par jour à quel point il est magnifique.

Je me réveille encore une fois toute seul, et ça m'ennuie comme chaque jour depuis le début de la semaine, depuis que j'ai baisé Louis dans ma chambre.

Je suis encore épuisé après l'avoir baisé hier soir sur la table, tout ça parce qu'il est entré dans le salon, crevé de sa journée de boulot et j'ai voulu le crevé encore plus. J'ai joui en pensant qu'il était magnifique. M'ennuyant encore plus.

Je sors de ma chambre, totalement habillé en planifiant de me trouver un coup a tiré pour me prouver que je peux le faire, mais mon téléphone se met a sonner.

Maman ?

« Allô ? » Je réponds.

« Salut mon chat. » Elle me répond, la voix bizarre. « Comment tu vas ? »

Comment je vais ? Comment toi, tu vas ? Je vais dans le salon, concerné.

« J'vais bien. Qu'est-ce qu'il ne va pas ? »

Elle renifle a travers le téléphone et mon cœur se brise. Je déteste entendre ma mère pleurer. C'est horrible.

« Harry, grand-père est décédé ce matin. » Elle hoquette.

Quoi ?

« Quoi ?! » Je cri, mon cœur se serrant.

C'est impossible. Il allait parfaitement bien mercredi, rigolant et faisant des blagues. Ça doit être une blague.

Mais la manière dont elle pleure ne dit que c'est vrai. Les larmes me montent aux yeux.

« Il- Il s'est juste endormi Harry. » Elle m'explique. « Il est juste passé de l'autre coté. »

« Mais je l'ai vu la semaine dernière ! » Je sais à quel point j'ai l'air choqué. J'aimais mon grand père a en mourir. « C'était juste son heure, bébé. » Elle pleure. « Je suis désolé, mais il- Il est parti. »

Je commence à pleurer. Ça fait mal. Pourquoi ça fait si mal ? C'est comme ça mon cœur se brisais réellement.

« Putain ! » Je hurle après avoir raccroché, avant de jeter mon portable a travers la pièce. Je tire sur mes cheveux de colère, le cœur brisé alors qui je sanglote.

« Doux jésus Harry, tu vas bien ? »

Je fais volte face, ayant oublié que Louis vit ici. Il a l'air choqué en voyant mon visage, mais il reste magnifique. Pourquoi ?

« Non ! » Je cri, la voix cassée. « Il est mort. »

Il marche vers moi rapidement, le torse nu mais il porte quand même un bas de pyjama détendu.

« Qui, Harry ? » Il me demande, inquiet.

Il va pour toucher mon bras, me donnant envie de m'éloigner mais je le laisse faire. Il le caresse légèrement, essayant de me calmer doucement, me coupant le souffle.

Mais ça fait toujours mal. Pourquoi est-il mort ?

« Mon grand-père. » Je sanglote, et je peux voir ses yeux s'humidifier pour moi. « Je l'ai vu la semaine dernière. Si rapide. »

Il m'attire dans un câlin et mes draps s'entourent autour de son corps, les siens autour de mon cou. Je pleure violemment sur son épaule et il ne fait que de me tenir pendant que je le fais.

« Je suis désolé. » Il me serre un peu plus fort, la voix grave. « J'espère que ça va aller. »

Je secoue la tête contre son cou. Ça fait trop mal. Je déteste ce sentiment.

« Harry. » Il s'éloigne un peu en relevant ma tête, les yeux humides. « Ça va peut-être sonner bizarre, mais tu veux que je te fasse te sentir mieux ? Tu veux oublier pendant un moment ? »

Ma bouche s'ouvre en grand. Il ferait ça pour moi ? C'est si... Gentil. Ses yeux sont toujours un peu mouillés, montrant son empathie. J'en ai envie. Je veux oublier. J'attrape son visage en hochant la tête vigoureusement. Fait moi oublier s'il te plaît, comme seul toi sais le faire.

« Okay, assied toi. » Il dit en embrassant ma joue mouillée. « Je reviens. »

Il sort de la pièce et je m'assois en continuant de sangloter. Pourquoi est-il mort ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Il allé bien. Gemma est au courant ? Et ma grand-mère ? Elle va bien ?

« Hey. » Louis revient, la voix douce et apaisante, me donnant mal au cœur. Il monte sur mes genoux, a cheval sur moi. « Je suis là maintenant. D'accord ? »

Je lève les yeux vers lui alors qu'il a l'air d'un ange si proche de moi, le soleil derrière lui illuminant son corps. Il essuie mes joues avec ses petites mains douces, me coupant encore une fois le souffle.

« Tu veux que je te fasse te sentir mieux ? » Il embrasse doucement mon menton et j'halète. Il ferait ça s'il était mien ? J'ai quand même envie de me sentir mieux, donc je hoche la tête.

J'agrippe ses doux cheveux pour l'embrasser, mouillant son visage avec mes larmes. Les lèvres douces bougent contre les miennes et je m'en imprègne alors qu'il me laisse jouer avec sa peau sans défauts de sa taille. Il se frotte contre mes genoux, me faisant haleter contre sa bouche. Putain. C'est bon.

Il continu a le faire de temps en temps, essayant de me rendre encore plus dur a chaque fois. Il n'a pas a s'inquiète, il n'a qu'à me regarder pour m'exciter. Il descend de sur moi, enlevant son bas de pyjama avant de défaire mon jean. Je m'assois et le regarde, prêt à me mettre a genoux devant lui tellement il est magnifique.

Il revient vers moi et rattache nos lèvres ensemble dans un grognement, tout en débouchant le lubrifiant. Il fait quoi ? Il lubrifie ses propres doigts et commence a se préparer tout seul, faisant des petits gémissements et couinement. Oh. Oh, putain. C'est excitant. J'halète dans sa bouche, mes doigts s'enfonçant dans son cuir chevelu.

Je perds le cap quand il sort mon érection douloureuse de mon jean, la lubrifiant avant de me chevaucher complètement en s'asseyant dessus. Sa bouche s'ouvre en grand comme la mienne, parce que bordel de merde, je ne l'ai jamais fait dans cette position. Il est tellement serré.

Quand il est totalement enfoncé, il se relève directement, me faisant sursauté alors que j'amène mes mains à ses hanches. J'oublie tout le temps à quel point il s'ajuste vite, mais dans cette position, je suis obligé de le laisser faire, mes orteils se recroquevillant tellement c'est bon. Il se rassoit, me faisant tressauter à l'intérieur de lui à cause du plaisir. Il fait ça tellement bien que je n'ai pas envie qu'il parte, jamais.

Il enroule ses bras derrière ma tête avant de dégager mes cheveux pour mordiller gentiment mon cou, tout en continuant de bouger. On n'a jamais fait ça avant, et je m'insulte moi-même pour ça. J'aime quand il me mord et me tiens de cette façon.

Mes doigts creusent sa peau, et ma respiration se coupe quand je sens ce que font ses dents sur ma peau. Il continu sa torture, se déplaçant sur plusieurs endroits tout en me prenant à l'intérieur de lui encore et encore. Il se frotte contre moi, bougeant ses hanches légèrement et mes ongles griffent son dos. Oh.

Il répète cette action, cerclant ses hanches tout en descendant sur son sexe et j'halète en me crispant. Oh. C'est – C'est – Ouais. Il suçote mon cou, tirant mes cheveux un peu avec son autre main. Je suis submergé. Époustouflé.

Je lance de petits gémissements, m'etouffant avec l'air, haletant, tout ça à cause de lui. Il est tellement bon a ça. Tellement, tellement bon.

Je vais jouir. Je sens que ça monte rapidement, remontant le long de ma colonne vertébrale. Je respire plus rapidement, il a besoin de venir, et vite.

« Louis. » Ma voix se brise. « Je vais jouir. J'ai besoin que tu le fasses en premier. »

Il secoue la tête, se frottant encore plus contre moi, me faisant grogner.

« Je veux que tu viennes en premier. » Il lèche en dessous de mon oreille, envoyant des frissons le long de mon dos. Putain. « Je veux que tu te sentes bien, d'accord ? »
Oh mon dieu.

« Et- Et toi ? » J'ai du mal a parlé. Mes jambes tremblent.

« Je jouirais définitivement si toi, tu le fais. » Il mord mon oreille, bougeant toujours langoureusement encore et encore. « J'adore te voir jouir. »

Je ne peux pas me retenir, ma tête tombe en arrière vu la puissance de mon orgasme, criant mon plaisir. Je sens son sperme nous éclabousser, même a travers mon t-shirt, me faisant grogner. Doux jésus. C'est le meilleur coup de ma vie.

Je reste assis là, tressautant alors que je lâche tout, toujours enfoncer autour de lui. J'ai l'impression que mes jambes se transforment en gelée.

« Ça va un peu mieux maintenant ? » Il me demande, relevant mon menton pour que je le regarde. Il est tellement beau, et je pense que je suis amoureux.

Je n'arrive pas à me retenir quand j'attrape ses cheveux pour l'embrasser lentement, mais comme si ma vie en dépendait. Merci. Je vais plus que mieux, tout ça grâce a toi.

« Merci. » Je dis, m'éloignant légèrement de son visage a l'expression choqué. Bordel. Qu'est-ce que j'ai fait ?

Il sourit quand même, visiblement content que j'aille mieux. Il se relève, faisant la grimace quand je ne suis plus en lui, avant de remettre son bas de pyjama. Je ne peux pas décoller mes yeux de lui, pensant qu'il n'est pas à moi, mais il est tellement magnifique. À quel point il est toujours beau. Putain.

« Ça ira si je vais chercher à manger ? » Il me demande, m'observant alors que je remets mon jean avant d'essuyer mes yeux humide. « J'ai trop faim. »

« Bien sûr. » Je dis en souriant un peu.

Il sort de la pièce et mon cœur me fait mal. Il ne sera jamais à moi. Il a était trop brisé par son ancienne relation.

J'ai l'impression d'avoir fait quelque chose d'encore pire. J'ai était trop émotionnel avec lui, trop intime. Je me demande s'il a remarqué.

Je ne me plains pas. La façon dont il m'a chevauché était putain de génial. Mais ce baiser était différent, j'espère juste qu'il ne l'a pas remarqué.