Friends With Benefits ( Larry AU )

Epilogue

J'aime quand il fait chaud. Ma mère m'a toujours appelé traité de bébé soleil, depuis que je suis petit.

Mais c'est différent. Être dehors a St. Lucie avec Louis, et bien, c'est plus que parfait. La chose est que Louis sait apprécier de bonnes vacances. Il n'en a pas souvent, ne comptant pas les voyages d'affaires.

Il a planifié celle-ci sans que je ne sois au courant, réservant les billets et me traînant jusqu'à l'aéroport. Il a même fait ma valise pour moi. Quand je lui ai demandé s'il était sûr que j'aurais tout ce qu'il me faudrait, il a répond par ' Ouais, j'ai juste pris tout les trucs hippies. '

Je souris en y repensant, regardant le couché de soleil orange et rouge au loin. Je sais qu'il rigolait pour ne pas que je remarque qu'il avait fait quelque chose de romantique. Le fait est qu'il sait que je m'en fous de son argent. Je me débrouille pas mal maintenant, je travaille dans le domaine que j'ai étudié a l'université, sauf que maintenant, c'est moi le professeur. Je suis pas mal payé non plus. Pas autant que Louis, mais c'est déjà ça.

Je me débrouille pas mal maintenant, je travaille dans le domaine que j'ai étudié a l'université, sauf que maintenant, c'est moi le professeur. Il fait comme s'il ne payait rien, mais quand on reste dans un appartement privé, aucun vis a vis avec un balcon au-dessus d'une plage privé ? Je ne suis pas si stupide.

Nous ne sommes arrivés qu'hier et a ce qu'il s'est passé me donner chaud. Ouais, il me donne toujours chaud. Bien sûr qu'il a accepté mon offre de le remercier pour ce voyage avec ma bouche. Et comme toujours, il a fini avec son cul parfait en l'air, avec moi enfoncer à l'endroit où j'appartiens jusqu'à ce qu'on perde la tête.

La porte coulissante derrière moi s'ouvre, me sortant de mes pensées cochonne, les remplaçant avec des pires. Parce que voilà mon Louis, ne portant qu'un boxer. Et comme toujours, mon ventre se rempli de papillons.

« Pourquoi a chaque fois que je pense a ton cul, tu apparais ? » Je lui demande, me calant contre le dossier de la chaise alors que je le mate.

Louis ricane. Son visage est légèrement barbu, juste comme j'aime. Il est putain de magnifique, vous savez ça ?

« C'est bizarre. On peut parler ? » Il demande, mais sa voix ne semble pas inquiète.

« Bien sûr. » Je réponds.

Il a l'air relaxé. J'aime le voir comme ça au soleil. Il bronze si bien, ça rend sa peau si douce. Sans parler des marques de bronzage.

« Je pensais à déménager de l'appartement. » Il commence en regardant le coucher de soleil rapidement. « Tu sais, prendre quelque chose de plus grand et tout. Ça fait trop longtemps qu'on est dans celui-ci. Si tu veux ? »

Il rajoute la question, et c'est le seul signe qui montre qu'il est nerveux.

« Ouais, on pourrait faire ça. » Je réponds. « Si je peux payer ma part. »

Louis grogne, tenant la rambarde et rejette la tête en arrière.

« Si je pensais pouvoir te faire changer d'avis, je le ferais. » Il s'esclaffe et fini par s'accouder au balcon. « Et de toute façon, je n'ai pas fini, imbécile. »

Je pouffe, amusé de ses mots. Il sait vraiment quoi dire, mon Louis.

« S'il te plaît, continu. » Je lance en regardant son superbe derrière.

Il soupire bruyamment, regardant encore une fois le soleil avant de se retourner et de s'adosser. Ce qui fait qu'il remarque que je mate maintenant son entre-jambe. Il rougit légèrement quand il réalise ce que je regardais avant, et j'adore ça.