Chapitre 19- Drago

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2 semaines était passées depuis ma demande en mariage à Hermione. Tout allait pour le mieux entre nous. Nous étions le couples le plus heureux du monde. Je n'avait pas reçu de nouvelle menace, je n'avait pas revu Adélaïde depuis notre dernière conversation, et Hermione finissait de régler les dernières chose avant de quitter son travail de Ministre. Tout semblait parfait, et tous mes problèmes semblait s'être envolés.

Dehors, la tempête faisait rage. Je devais m'occuper de mettre tout le monde en sécurité. Selon les prédictions elle devait durer 2 jours. Il fallait que je trouve le moyen de faire rentrer tous mes sujets dans le château afin qu'il soit à l'abri, ainsi que protéger le bâtiment de la tempête.  

Alors que j'étais dans le hall entrain de dire à tout le monde où aller, j'apperçu Hermione faire de même. Je me dirigea vers elle.

- Tu devrais monter te mettre à l'abri en haut. Nous sommes bien assez pour gérer la situation ici. Dis-je inquiet.  

- Non ! Les gens ont besoin de mon aide Drago. Et dois-je te rappeler que j'ai accepter de d'épouser et donc par conséquent de devenir leur reine.

- Bébé... Je serai plus rassuré de te savoir là haut. Si il y un problème et que tu viens à être blessé, je ne me le pardonnerai pas. Je sais que tu veux aider, mais en restant ici tu fait le contraire.

Elle me défia du regard quelques secondes mais j ne dévia pas et maintenu le miens dans le sien jusqu'à ce qu'elle cède.

- Très bien ! Mais au moindre drame tu fais appel à moi. D'accord ?

Je souffla mais me résigna.

-Très bien.

Elle eu un sourire victorieux sur le visage. En voyant ça je ne pus m'empêcher de sourire aussi. Elle me fis un chaste baiser sur les lèvres. Et commença à partir. Mais je ne pus me retenir, et je suis claqua légèrement les fesses. Elle se retourna offusquée par mon geste, je m'esclaffa et partis en direction opposée.

Je devais rejoindre mon bureau pour récupérer des papiers importants qui allait simplifier la répartition. Alors que je marchais dans les couloirs, j'avais un mauvais pressentiment. Quelque chose me perturber, un poids étrange s'installa dans ma poitrine.

En arrivant devant mon bureau, ce poids sembla s'intensifier. Quelque chose se tramait mais je n'arriver pas à mettre le doigt dessus. J'entra dans mon bureau toujours avec ce pressentiment, je me dirigea vers le tiroir pour récupérer ce fichu papier. En relevant la tête, j'apperçu une masse sombre à cote de la cheminée.

- Qui est là ? Demandais-je.

- Je vous ai manqué Majesté. Répondit une voix féminine.

Adélaïde.

- Adélaïde ! C'est toi ?

- Que c'est mignon, vous reconnaissais ma voix... Elle sortit enfin de l'ombre et je pus l'observer.

Elle avait l'air très fatigué, ses cheveux étaient sales, son teint était blafard, ses traits étaient tirés. Elle semblait aussi avoir perdu du poids.

- Que fais-tu ici, et où était tu passée pendant ces deux dernières semaines ?

- J'étais dans partis en voyage. Dans le monde moldu. Et j'ai pus vous ramener un souvenir.

Elle mit la main dans la poche et en sortit quelque chose qui ressemblait très fortement à une arme à feu. Je réfléchissait très vite dans ma tête, pensant d'abord prendre ma baguette pour la désarmer ou me protéger. Malheureusement, je l'avais oublié dans ma chambre ce matin. Je leva mes mains en avant pour lui montrer que je ne voulais pas lui faire du mal.

-Adélaïde, ce n'est pas raisonnable, poses ça tu vas te blesser. Dis-je calment en avance tel un homme devant une proie apeurée.

- Ah! Parce que vous vous en souciez maintenant. D'aussi loin que je me souviennes, vous n'avez d'yeux que pour Hermione. Mais maintenant vous vous inquiétez pour moi !? Je sentais qu'elle commençais à s'énerver et par conséquent devenir dangereuse.

- Il faut que tu te calme, tu ne voudrais pas faire de mal à quelqu'un, toi et moi on le sais bien ça. J'essayais tant bien que mal de la calmer et la dissuader de son geste.

Elle commença a pleurer et trembler de pleure. Pensant que ce moment de faiblesse aller la distraire, je marcha plus rapidement vers elle. Mais elle leva son arme dans ma direction.

- Je suis désolée, je ne veux faire de mal à personne. Mais si je ne peux pas vous avoir, personne ne vous aura.

L'impact me percuta en pleine poitrine, la douleur était si intense que je ne voyais plus rien. Tout était flou autour de moi. Les dernières choses que j'entendis fut une porte s'ouvrant en fracas et un cri...

 


Un amour royalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant