Ohayo,
Je raconte l'histoire de Brother conflict à ma manière j'espère que vous aller aimés. Je suis désolé des fautes. Les personnages ne m'impartiennent pas seul l'histoire m'appartient.
Voila une petite partie. Désoler mais faut que je m'y remettre donc il y aurais une deuxième partie. Ma partie a été corriger par AyanoJaggerjack merci beaucoup à elle, elle écrit des fanfictions alors si sa vous intéresse aller regarder. Je vous souhaite une bonne lecture !
PDV Ema
Je me réveille le matin vers 10 heure, je me mets en short et en t-shirt noir. Je me maquille légèrement et vais pour manger car j'ai très très très très faim. Je me prépare un bon petit-déjeuner, un donuts au chocolat, un verre de jus multifruits, une pomme, des gaufres avec du chocolat et pour finir des céréales au chocolat dans du lait chaud.
Ukio : Ohayo, ça va bien ?
Moi: Oui, très et toi ?
Ukio : Oui, t'as un appétit d'ogre dis donc !, dit-il avec un petit sourire au coin.
Moi : J'ai une grosse journée aujourd'hui, je vous dirai tout vous inquiétez pas !
Une fois finis mon mince petit – déjeuner, je mets cette tenue.
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Il est midi et je pars au QG, j'avais piqué une tenue avec le pantalon, le haut, le gilet par balle, un petit pistolet hier. Je vois les camions être remplis, je remarque qu'il y a un camion de nourriture. Je me faufile entre les caisses puis monte dans le camion, je me cache entre deux caisses. J'éteins mon téléphone, et attend que le trajet se finisse. Petit à petit je ferme mes yeux et le noir est complet.
**** 3 heure plus tard ****
Une lumière me réveille et me brûle les yeux. Je les referme et je les ouvre petit à petit. Je remarque qu'on s'est arrêté. J'essaye de ne pas bouger et j'entends des voix se rapprocher du camion. Je tend l'oreille mais j'entends rien du tout, juste des syllabes. Il reste je ne sais pas combien de temps mais je sens mon cœur battre de plus en plus fort et mon souffle se faire plus rapide. Je les entends repartir et je me calme petit à petit jusqu'à que je sens, qu'on repart avec des secousses violentes. Puis on roule, on roule, on roule j'ai envie de sortir mais il ne le faut pas sinon t'es morte ma fille. Une fois qu'on sera arriver je vais aller leur dire bonjour et dire que je vais participer aussi mais on improvisera suivant les réactions aussi... Et je crois que je vais me faire tuer et crier dessus, mais bon ils ont pas le choix ! Ils s'arrêtent une fois pour toutes et la bâche commence à se lever et ....
