En Partie 8, le moment où les vraies choses ont commencé

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/!\ LEMON DANS CE CHAPITRE /!\

Il y a une semaine, j'ai pris une décision. Bonne ou mauvaise, c'en est une quand même. Il y a une semaine, j'ai accepté de former Sakura. Pourquoi ? Allez savoir. J'aurais pu dire non, je vous l'accorde. Mais l'imaginer dans les bras d'un autre que moi, c'était tout simplement insupportable. Alors j'ai dit oui. Comme quoi, trois petite lettres peuvent changer le cours d'un destin. C'est comme le mariage, ou le divorce. Ça fonctionne de la même façon : si on dit oui, on verra notre vie changer à tout jamais. Eh bien là, c'est pareil. Croyez-le ou non, mais si je couche avec elle, je n'aurais plus jamais, mais alors plus jamais la même vision des choses. Parce que j'aurais pris son innocence, et que toute personne avec un tant soit peu d'humanité éprouvera une forme de pitié. Après, c'est vrai qu'elle aussi elle a accepté cette « formation ». Donc, elle aussi, elle a sa part de responsabilité. Mais comment je suis censé former une gamine, sexuellement parlant ? Alors, je vous arrête sur le champs, je ne suis plus puceau. Mais, avec mon métier, c'est pas le genre de chose qu'on fait tous les soirs, et ma dernière conquête remonte à.... il y a 8 ans. Mais il ne faut pas s'attarder sur les détails. Je peux toujours aller demander des conseils à Shikamaru, ou à Nagato, ou encore à mon frère, mais à quoi ça m'avancerai ? Ce n'est qu'une fois sur le « terrain » qu'on peut faire les choses, n'est-ce pas ?

Quoi qu'il en soit, il faut que je passe à la vitesse supérieure, comme disait mon père. Au moins ce soir, juste lui montrer un aperçu de l'évolution de la relation qu'on va avoir. J'ai toute la journée pour y réfléchir. Sakura a un rendez-vous avec Tenten et Choji, pour apprendre quelques bases. Personnellement, je suis complétement libre de mes choix quant à mes activités quotidiennes. Et aujourd'hui, je décide d'aller faire un peu de muscu. Après tout, autant que Sakura apprécie ce qu'elle verra. Même si je suis déjà assez beau. Mon égo va très bien, merci de vous inquiéter.

XX

La journée file à une vitesse incroyable, et il est déjà l'heure d'aller se coucher. Se coucher oui, mais j'ai pas dit dormir non plus, hein. Heureusement pour moi, c'est Amber et Konan qui ont fait à manger ce soir, au moins elle, on digère leurs plats. Je vais donc dans ma chambre, ou Sakura m'attends, assise sur le bord du lit. Bon, aller.

-T'en as mis du temps, lance-t-elle.

-Je reviens, tu permets ?

Je file dans la salle de bain (quoi, je tiens à mon image, moi !), me brosse les dents et me passe de l'eau sur le visage, avant de retourner dans la chambre. Je m'assois à ses côtés. C'est gênant. Très gênant. Comment on aborde ce genre de sujet, hein ?! Bon, aller, respire Sasuke, tu peux le faire !

-Alors, heu...

-On devrait accélérer le pas, conclut-elle.

-Exact. Mais je doutes que tu sois prête pour...la totale, tu vois ?

Je vois ses joues se colorer d'une adorable teinte rose, et elle hoche la tête.

- Non, c'est sûr, mais tu pourrais, tu sais, me montrer deux ou trois trucs.

Des « trucs » ? Crois-moi chérie, tu n'appelleras plus ça des « trucs », demain matin ! Oh ça va vous, je suis pas sadomaso non plus !!

-J'ai confiance, me dit Sakura en fermant les yeux.

C'est mon feu vert. Je me penche vers elle et l'embrasse tout doucement, sans utiliser ma langue. Puis, dès que je la vois décrisper ses épaules, je passe ma langue sur sa lèvre inférieure, lui quémandant l'accès à sa bouche, qu'elle me donne tout de suite. Dieu, je suis au Paradis, cette fille embrasse comme une pro ! Je passe ma main dans ses cheveux, et continu de l'embrasser. La température grimpe d'un cran, j'ai besoin de plus. De mon autre main, je l'attrape à la taille pour la tirer vers moi. En quelques secondes, je suis sur elle, un genou entre ses jambes. Je quitte ses lèvres et commence à l'embrasser dans le cou, ce qui lui fait pousser un petit gémissement qui durcit instantanément ma queue. Soudain, ses mains descendent jusqu'à l'ourlet de mon tee-shirt, et le tire. Je recule assez pour lui permettre de l'enlever, et je sens son souffle s'accélérer à la vue de mon torse. Je suce doucement la peau de son cou, avant de laisser mes lèvres descendre doucement et de tracer un chemin humide de baisers entre sa clavicule et le renflement de ses seins.
Je veux toucher chaque parcelle de son corps, découvrir ses moindres recoins, lui faire hurler mon nom de plaisir et l'entendre me supplier de la prendre. Mais mon cerveau me rappelle que je ne dois pas non plus dépasser les limites, je dois y aller doucement, à son rythme, même si je sais que cela implique que je doive me donner seul du plaisir après coup. Je reviens au moment présent, et, comme Sakura, saisit l'ourlet de son débardeur et lui fait passer par-dessus la tête. Il n'y a plus qu'un soutien-gorge comme barrière entre sa poitrine et mes lèvres. Je me recule doucement pour la regarder. Bon Dieu, qu'elle est belle. Je passe mes mains derrières son dos et dégrafe le sous-vêtement.
Elle le retient avec ses mains, et sa timidité soudaine ne fait qu'accentuer mon excitation pour elle. Je lui saisis les poignets, et les écartes de sa poitrine, laissant le bout de tissu tomber sur le lit, et sa poitrine apparaît devant mes yeux. J'en ai le souffle coupé. Ses seins sont parfaits, je n'ai jamais vu une poitrine aussi parfaite. Je ne peux pas résister, et passe mon pousse sur un de ses tétons, qui durcit au contact de mon doigt. Je vois Sakura fermer les yeux, ces sensations sont nouvelles pour elle. Je ne bouge plus mon doigts, la laissant s'habituer à mon toucher. Je l'embrasse doucement sur le front et lui murmure de se détendre, et lorsque son souffle redevient régulier, je réitère mon geste sur son autre téton. Puis, ne résistant pas, je pose mes lèvres humides dessus, l'aspirant dans ma bouche, et Sakura se cambre. Je lape son téton, le mordille, puis inflige le même traitement à son jumeau.
Doucement, je descends la main qui n'est pas sur son autre sein entre nos deux corps, et la pose sur son entre-jambe. Je fais aller et venir mes doigts sur son micro-short, et, malgré le tissu, je sens qu'elle est trempée. Je continu mes gestes, et la double stimulation de ma bouche et de mes doigts la fait se cambrer, avant qu'elle ne crie sa jouissance. Je suis dur et excité comme pas permis, mais je pense qu'elle a eu assez de sensation pour aujourd'hui. Son corps retombe mollement sur le lit, et je l'entends me murmurer un « merci », avant de sombrer dans le sommeil.

Pour ma part, mon rendez-vous quotidien avec la douche m'attend.

Black Jack Love Où les histoires vivent. Découvrez maintenant