Ouverture

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Il faisait froid, terriblement froid. Les températures avaient atteint des records et seule les personnes les plus déterminées osaient s'exposer à se climat. Les habitants de se pays avaient pourtant l'habitude, mais la paresse les encourageait à rester chez eux en cette soirée.

La station de métro était occupé par tout ceux qui avaient réussit a bravé la tempête. Tous attendaient le prochain wagons, profitant de la chaleur. Sous ces vingt mètres de profondeur régnait une atmosphère détendu. Un bruit se détachait des autres, une mélodie pour être plus précis. La bas, près des escaliers se jouait une des mélodies de Paganini. Elle envoûtait les personnes présente, certain fermant les yeux se laissant porter par le son sortant de l'instrument à corde.

Un homme intimidant par sa carrure et par sa taille approcha de là où émanait le bruit. Il était habillé tout de noir, de son chapeau fedora en passant par son long mentaux et en terminant par des chaussures achetées spécialement pour la saison. Ses traits fin n'atténuaient en rien son apparence sévère, seul les éclats de blanc dispersés un peu partout sur lui le pouvait.

Par crainte tous s'écartait pour le laissé passé mais c'était bien se juger aux apparences. Mr.Rivera était là dans un but précis, il le fixa jusqu'à s'arrêter devant. Le monsieur au violon sentit la lourde présence de l'homme devant lui, mais il resta de marbre et continua à jouer de son instrument.

Mr.Rivera était subjugué, il analysa chaque mouvement des doigts de l'homme. Il avait l'impression qu'il caressait chaque corde avec une délicatesse indescriptible. Chaque son qui arrivait à son oreille était différent, l'emmenant à une extase incompréhensible. Il avait déjà ressentit ça et il pensait ne jamais le ressentir de nouveau. Alors sautant sur l'occasion qui se proposa à lui, il attendit que l'homme au violon finisse sa sonate et se mit à genoux, de sorte à être au même niveau que lui.

De là, il remarqua l'état du vieux monsieur. Il était fatigué, épuisé même, et portait sur lui le lourd fardeau d'une vie longue et tumultueuse. Ses cheveux poivre sel faisait ressortir ses yeux vert, qui lorsqu'on regardait à l'intérieur nous faisait part des choses incroyables qu'ils avaient pu être témoins. Mr.Rivera était sous le choc, tout ça renforçait sa détermination. Il reprit ses esprits, et dit d'une voix remplie d'admiration :

—Je n'ai pas de pièces à vous donner cher monsieur, et je ne peux en aucun cas vous rendre à l'identique toute les sensations que votre musique m'a procuré.

Il émit un temps d'arrêt, donnant au vieux monsieur un moment pour essayer de comprendre ce qui se passait.

—Je ne pourrai jamais vous remercier assez pour me les avoirs fait ressentir à nouveau. Si je suis ici aujourd'hui, c'est pour vous demander quelque chose.

Le vent emmené par le métro lancé à grande vitesse fit frissonner le joueur de violon. L'homme a ses côtés enleva son manteaux et le déposa sur les épaules du vieux monsieur, il le remercie étonné par se geste.

—Ne me remercier pas, pas après tout ce que vous avez fait. Je suis venue vous rencontré pour vous faire la requête suivante : devenez notre Rolla.

Les yeux du vieille homme s'ouvrir en grand, ils reprirent leurs éclats naturelle. Il allait enfin pour voir recommencer, faire se pourquoi il avait dédier toute ça vie. Il allait replongé la où il avait perdu corps et âme, et il en étant impatient.

L'homme au trait sévère s'en alla alors, à ses côté le joueur de violon portant dans sa main gauche l'objet de toute une vie.

La joueuse de violonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant