Morceau 19

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Je suis arrivée chez moi sain et sauf, n'ayant fait aucun accidents avec Tyler

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Je suis arrivée chez moi sain et sauf, n'ayant fait aucun accidents avec Tyler. Il avait conduit sans enfreindre les limites de vitesses, avait ses deux mains sur le volant et n'avait pas fumé dans sa voiture. Je lui en étais très reconnaissante, je détestais l'odeur de la nicotine. Tout c'était passé dans le plus grand des calmes, il m'avait même passé un parapluie pour arriver jusqu'à la maison. Mais quelque chose me dérangeai.

Outre le faite qu'il est agis comme une personne dotée de gentilles, Tyler m'avait dit quelque chose juste avant que je passe le pats de la porte. Malgré le déluge qui se déroulait à l'extérieur, j'avais réussie à entendre très distinctement ses mots.

Tu me rendras mon parapluie se soir !

Sur le coup, j'avais pensé qu'une soirée chez Andrews allait avoir lieu. J'étais même allé demander à Olivia et Marcus si ils étaient au courant de quoi que soit. Aucun des deux n'étaient au courant, William m'avait même confirmé qu'il n'y avait aucune fête. Nul rendez-vous n'était programmé à l'Astad, étant fermé pour réparation.

Il n'y avait rien de prévue, alors pourquoi m'avait il parlé de se soir ?

Cette question avait trottiné dans ma tête toute l'après midi. Le temps était tellement mauvais, qu'aucune activité extérieure ne pourrait me changer les idées. J'étais resté assise devant ma fenêtre, à regarder la pluie tomber, mes écouteurs dans les oreilles. J'avais arrêté ma contemplation lorsque je sentis une vibration dans le creux de ma main. Je venais de revoir une notification, m'informant de l'arrivé d'un mail. Je n'en recevait casement jamais. Les rares fois où j'ouvrais ma boite mail, seule des messages venant de grandes enseignes apparaissaient. Je m'attendais à une de ces dernières, mais grande fut ma surpris quand je lis qui était mon émetteur.

Madame De Griffe venait de m'envoyer un e-mail. Aucun objet, aucun texte. Juste une pièce jointe sur laquelle je m'empresse de cliquer. Mon lecteur vidéo s'ouvrît tout seule et un écran noir vint remplir mon téléphone. J'attendis cinq secondes, cinq secondes durant les quelles mon cerveaux se posait des milliers de questions. Qu'est ce qu'elle m'avait bien envoyer ?

Contrairement à la question concernant Tyler, j'avais reçue une réponse immédiate à cette dernière. Mon petit frère apparut, un bavoir autour du cou et la bouche couverte d'une substance bleu. Sa main avait tourné de la même couleur et il l'a montré fièrement, son air taquin recouvrant son visage. J'apparut devant la caméra quelques secondes plus tard. Je ne m'étais pas transformé en schtroumpfs, mais mon t-shirt blanc avait subis des dégâts majeur.

Je me rappelle très bien se moment. C'était il y a environ dix ans, mon frère venait de rentrer à l'école maternelle. Notre père avait voulu nous emmener dans un champs cueillir des myrtilles, idée qui avait ravis toute l'assemblée. Madame De Griffe, qui était notre cameraman attitré, nous avait grondé mon frère et moi. Nous avions mangé tellement de myrtilles qu'on en était tomber malade le soir même.

La joueuse de violonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant