Morceau 18

51 14 3
                                    

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


Je me suis réveillée en sursaut se matin, une perle perlant sur mon front et les cheveux collés au visage à cause de la sueur. J'ai fais à nouveau se cauchemar, retraçant se moment que j'avais préféré oublier mais qui m'avais causé tant de tournament ces trois derniers mois.

J'étais assise dans sa voiture, l'étui en cuir sur mes genoux. La soirée c'était très mal passé, je me rappelai parfaitement du goût amer que j'avais dans la bouche et de mon envie incessante de vouloir taper sur quelque chose. J'étais d'humeur massacrante, et le temps orageux se soir là ne faisait que l'intensifier.
Je ne voulais l'écouter, préférant être ailleurs. J'avais mis mes écouteurs, de sortes à mettre une distance entre nous, dans se petit habitacle.

Mes yeux étaient occupé à regarder le paysage campagnard, pendant que mon esprit était partit ailleurs. Je me rappelle avoir vu une vache, malgré l'obscurité de la nuit. Des arbres de plus en plus grand, défilaient à mesure qu'on avançait sur la route. Un amas de lumières se distinguaient au loin, nous prévenant de notre arrivée imminente.

Nous étions presque arrivé, mais il y eu ce coup de frein. Avant même que je comprenne ce qu'il se passait ; avant même de me retourner dans sa direction et de le voir une dernière fois, ma tête cogna violemment sur la vitre et la dernière chose que je vis, fût la lune au perché dans le ciel. C'était à se moment précis que je sortais de ma hantise, après le choc.

Je m'étais réveillé après un long coma, et lui aussi. C'était ce que je me disais à chaque fois, essayant de me rassuré. J'avais réussi à me réveiller une fois, alors pourquoi je ne me réveillerai plus ?

Je n'avais pas réussi à me rendormir se soir là, trop occupé à réfléchir à ce qui se serait passé si je n'avais pas mit mes écouteurs. Peut-être que je ne serais pas là, dans la chambre d'amis de ma tante, mais dans mon appartement à Paris.

Mon réveille avait sonné après ce que j'avais pris pour des secondes, et me je m'étais dirigé t-elle un somnambule vers la salle de bain. Je ne prit pas de siècles à me préparer, sentant l'envie de sortir s'intensifier. Je ne pouvais pas rester une minute de plus enfermé entre quatre murs, mais malheureusement, mes obligations m'en faisaient subir le contraire.

Ma tante se trouvais déjà près de la porte, tenant une bouteille isotherme dans une main et son sac à main dans l'autre. Elle me fit un grand sourire, accompagné du bonjour matinal avant d'ouvrir la porte et m'inviter à la suivre jusqu'à la voiture. Durant le trajet, je ne reçu aucune remarque sur ma tête de mort-vivant.

J'avais beau avoir fait l'effort de mettre du maquillage, j'avais la même tête de déterré. Si même la peinture pour visage de Olivia ne réussit pas à cacher se massacre, j'ai bien peur que mon cas est intraitable.

Lorsque nous arrivons devant le lycée, Tante Marie m'informa que je devrai me débrouiller pour rentrer. Ayant une réunion, elle ne pourra pas venir me chercher après et Marcus avait un entraînement spécial pout le match à venir. Quand à Olivia, ça m'étonnerai qu'elle veuille venir me chercher tôt un samedi matin au lycée, au lieu de dormir tranquillement dans son lit. J'annonce donc à ma tante que je prendrai le métro.

La joueuse de violonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant