Rien qu'un rayon de soleil (Present Mic x Oc) My Hero Academia FanFiction

Chapitre XIX - S'avoir s'adapter

Les groupe d'élèves arrivaient un par un avec les personnes qu'ils avaient eut à affronter. Le groupe de Bakugo et celui d'Izuku étaient arrivé en même temps et les premiers. Il n'était bien sûr pas utile de préciser l'énervement de Katsuki en voyant le petit nerd et son équipe de "bras cassés" avoir finis leur épreuves en même temps que lui.

Shouta lui, regardait ses élèves de son air flegmatique habituel, constatant encore les progrès qu'ils avaient à faire sans se douter de ce qu'il allait se passer. Soudain, la voix de Mineta surgit d'entre les jeunes lycéens, attirant toute l'attention.

- Hey ! Hey les gars j'ai un scoop monumental à vous dire ! Il sautait tout en disant cela, à la fois euphorique et excité.

- Et ben va-y, dis nous ce que tu as vus au lieux de jouer au kangourou. Intervint Hanta.

- Hier quand on était allé chercher de la bouffe j'ai vue deux de nos prof s'embrasser !

Aux mots du petit violet, le regard d'Aizawa était s'assombrit. Ces deux là n'avaient pas fait attention et il comptait bien leur en dire deux mots, voir plus.

- Ah ouais ? Qui ça ? Questionna Mina, aussi surprise que les autres.

Les ragots avaient toujours attirés l'attention, et Mina en raffolait plus que les autres élèves de sa classe.

- Yamada et Leeg-sensei !

C'est à ce même moment que les deux concernés était arrivé. Tous les regards se braquèrent alors sur eux qui bien entendu n'avais rien loupé de la scène.
Un blanc s'installa. Et c'est là que Mineta se rappela les parole de son professeur d'anglais si un de ses élèves venait a ébruiter leur mise en couple. Son visage vira au blanc et des gouttes de sueur perlèrent sur son visage.

- AAAAAAAH JE SUIS MORT ! Hurla Mineta qui se mordait les doigts dû à un stress extrême.

Mic posa un regard neutre sur lui, regard qui fit presque s'évanouir le plus petit des ses élèves, complètement terrifié.

Et quand on parle de regard, celui d'Aizawa sur le couple était noir.

- Je croyais pourtant avoir été clair. Trancha-t-il en s'avançant un peu vers eux.

- Nous comptions justement t'en parler. Intervint Hora avant que Mic n'éclate.

Elle le voyais bien venir et s'embrouiller entre professeur n'était pas vraiment le moment. Ils étaient en classe et il fallait rester professionnel et pédagogue.

- Écoute, on ne peut pas continuer comme ça, ça nous fait mal et nous empoissone. On a même failli se prendre la tête tout à l'heure à cause de ça. Que ça se rende public ne fera pas non plus énormément de bruit. Il y a déjà eu des héros qui se mettaient ensemble et si des vilains rapplique à cause de ça, on fera notre boulot et on les arrêtera tout simplement.

Pendant les explications de la jeune femme, l'expression de Shouta changea et ses traits se radoucirent mais il gardait tout de même les sourcils un peu froncés.

- Faites comme vous le sentez... Finit-il par dire en coupant Hora qui balançait tous ses arguments pour le faire changer d'avis.

Il se retourna et se dirigea vers le centre du camps, laissant Hora et Hizashi se rendre compte d ce qu'il avait dit. Le visage de ses deux dernier s'illumina et Hora alla se jeter dans les bras de celui qu'elle aimait. Les élèves, ayant assisté à la scène, furent heureux pour leurs deux professeurs et il y eut des exclamations de joie.

Aizawa, lui, était aller s'asseoir sur un rondins de bois et les regardai. Il soupira un peu, en espérant que le couple n'allait pas regretter cette décision. Il ne voulait pas qu'il leur arrive ce qu'il lui était arrivé il y à longtemps. Perdre la personne que l'on aime est un traumatisme qui reste à vie. Hora avait déjà vécu ça avec son jeune frère, mais Hizashi jamais. Il le connaissais depuis longtemps. Il tenait à lui même s'il ne le montrait pas. Il tenait également à la brune, mais moins bien sûr, et il ne voulait voir aucun d'eux être visé et se faire attaquer, ou enlever, ou pire. Ce qu'ils faisaient était risqué. Mais que serait la vie sans les risques ? Il ne faut pas non plus arrêter de vivre quand on est Héros. Il s'en rendait compte maintenant.