𝐀𝐮𝐫𝐨𝐫𝐚 ࿐ 𝐶𝘩𝑜𝑖 𝑆𝑎𝑛 ᵃᵗᵉᵉᶻ

°•. Chapitre 25 .•°

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Le regard fixé sur son téléphone, il essuie du revers de sa main les quelques larmes de tristesses qui coulaient le long de ses joues lisses avant de reporter son attention vers l'hublot de l'avion, depuis lequel on pouvait apercevoir la ville de Séoul à travers les nuages, en étant submergé par une vague de souvenir.

La main du leader situé à sa gauche ce pose sur son épaule avec un air de compation. San était resté fixé une bonne dizaine de minutes sur l'écran  de son portable qui affichait une photo vielle de plusieurs mois. Dessus il se revoyait entourer les épaules de la jeune Sun-He, tout les deux souriant.

San_Elle me manque...

Hong-Joong_Elle nous manque à tous San.

San_Tu crois qu'elle a tourné la page depuis ?

Hong-Joong_Il sourit, Sûrement pas. Sa mère t'as garanti qu'elle était triste sans toi et qu'elle attendait de te revoir avec impatience.

San_Mais peut-être que se sont des paroles en l'aire.

Hong-Joong_Hè, on parle de Sun-He là. La fille la plus franche que l'on connaisse.

San allait répliquer lorsqu'une annonce qui affirmait l'arrivé à l'aéroport de Séoul dans moin de cinq minutes se faisa entendre dans tout l'appareil.

AteeZ revenait dans leur pays natal après avoir fait deux mois à l'étranger en enchaînant les concerts et les émissions show dans tout les États-Unis. Après cette période intense ils allaient enfin avoir deux bonnes semaines de tranquillité.

Hong-Joong_Tu pourrais aller la voir pendant les congés ?

San_Si je le pouvais je l'aurais fait il y a bien plus longtemps Hong.

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PDV Sun-He-

Mi-Cha_Allé là plus vite que ça ! Si on rate l'avion à cause de toi je te fais mon esclave pendant tout le reste de l'année, fit-elle en continuant de marcher.

Moi_Je soupire une énième fois, Ouais ouais c'est ça. Ça ce voit que c'est pas toi qui porte une valise de dix tonnes. Nan mais sérieusement t'as mis quoi dedans !?

Mi-Cha_Tout le nécessaire au cas où y'a un beau mec dans l'hôtel où on va aller.

Ce qu'elle me fatigue... Heureusement pour elle que y'a les parents pas loin sinon je lui aussi fait manger mon pied dans sa grande gueul de beurette là.

En plus elle ose me dire d'aller plus vite alors que c'est SA valise que je porte ! Si elle est pas contente elle a qu'à la prendre mais vu qu'elle sait qu'elle est bien trop lourde et bah résultat ceste moi qui me la coltine.
Super ! Et vu que madame est la chouchoute des ses dames et ses messieurs si j'ai le malheureusement de la contredire je me fais engueuler, encore.

Le pire je crois c'est que c'est moi qui porte son fucking bagage alors que je suis bien la seule de cette putain de famille de merde à ne pas partir en vacances. Mais au final ça m'arrange plus qu'autre chose qu'ils aient, askip, pas la monaie monaie pour m'emmener avec eux. Parce que des vacances avec cette famille de prout prout c'est plus un cauchemar qu'un moment de détente.

Bref du coup je dois les accompagner à l'aéroport puis après à moi la belle vie ! Je vais pouvoir aller revoir ma mère, même si mon père veut pas que je m'éloigne de la maison et du café.
Mais bon ça ballec et puis de toute façon il le sera jamais.

Au départ je m'étais dit que je pourrais aller revoir les garçons mais ils ont leur U.S.A tournée donc ça m'est malheureusement impossible...
Aish, au moin je vais pouvoir revoir les filles, Na-Young et Ae-Sook.
J'ai réussi à garder contact avec elles heureusement.

Ils passent à l'enregistrement des bagages et je peux enfin me débarrasser de sa valise de mes deux qui me bousille les bras depuis plusieurs longues minutes.
Ensuite direction la zone d'embarquement pour eux.

Appa_Si j'apprends que tu m'as désobéie je blblblbla blblaaablaabla blaabla.

Voilà ce que j'entends. Ça fait deux semaines qu'il me répète le même discours alors à force je le connais par coeur et sur le bout des doigts.
Je fais semblant se l'écouter et quand il a enfin fini sa longue tirade d'interdiction que je vais enfreindre bien évidement ils me disent au revoir et se barrent en direction de l'avion.

Ahlelouyah les frères et soeurs je peux enfin respirer depuis des affreux mois à être sans cesse avec eux ! Débarrassé pour trois semaines, ça va me faire le plus grand bien.

Je marche ensuite tranquillement dans le halle de l'aéroport, les mains dans les poches, quand un groupe de plusieurs personnes à capuches et masques m'interpelle.
J'en regarde un parmis tous mais reste figé quand mon regard rencontra le sien.

Mon dieu...
C'est quand ils partent que je le recroise après tant de temps loin de lui et des autres...
La chatte que j'ai...

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(800 mots)