PDV Meliodas:
Cela fais quelques jours que je suis dans cet hôpital et depuis la dernière fois qu'Elisabeth est venu avec la gang, je ne l'ai pas revu. Peut être ne veut-elle pas rester au côté d'un meurtrier? Peut-être prépare t'elle mon entré en prison? Dans tous les cas, j'accepte mon sort, où j'en suis je n'ai plus rien à perdre. Une vision d'Elizabeth épelant mon nom apparus dans mon esprit, les lèvres crisper je m'assis sur le cote du lit.
Mes pieds touchèrent un sol froid pour la première fois depuis plusieurs jour. J'enlevai les aiguilles planté dans ma peau sans regarder puis me levai difficilement. Ma cuisses me fais encore un peu mal mais je peux tout de même marcher. Diane m'a dit hier que je pourrais sortir lorsque j'irai mieux, j'ai décider que c'était aujourd'hui. Je m'approche d'un sac posé sur une table et en ressort des vêtements propres, les miens. Je m'habille, me coiffe les cheveux avec mes mains et sors de ma chambre.
-M. Buster? Que faites-vous debout? Retournez dans votre chambre je vous prie, demanda une infirmière en me voyant m'éloigner de celle ci.
-Non, j'ai pas que ça à faire, répondis-je souhaitant aller voir ce qu'Elisabeth me réservais comme sentence.
-M...Mais M. Buster, votre blessure!
-Je vais bien, sûr ce.
Je m'éloignai ignorant les plaintes continu de l'infirmière me demandant de revenir. Arriver en bas, je passai à côté des secrétaires qui me zieutèrent de leur regard suspicieux. Pourtant, elle me laissèrent partir avant de continuer de parler de leur histoires et potins. Alors que je respirais enfin de l'air extérieur je réalisai ou je me trouvais. Assez loin de tout, de ma maison, de celle d'Elizabeth et du poste de police où elle travaille. Que faire?
Le choix le plus évident serais de retourner chez moi et de penser à ce que je voudrais lui dire, pourtant mes pieds était déjà en route vers sa maison. Mon cerveau dictait mes mouvement pendant que mon esprit répondait plutôt en se plaignant de savoir si elle était chez elle ou non? Pourquoi se poser tant de question, je vais juste aller chez elle et m'excuser avant de lui tendre mes bras pour qu'elle m'emmène en prison...
Après tout, une faute avoué à moitié pardonner, non?
Bien inutile dans cette situation, selon moi.
****************
Après quelque heures de longue marche, ma cuisse commença à me faire souffrir mais heureusement je pouvais apercevoir sa maison se dessiner au loin. D'un soupire de soulagement j'entrepris les dernières minute de marche jusqu'à la porte de sa demeure. Je cognai une fois, deux fois, trois fois mais alors que j'entamais ma quatrième la porte s'ouvrît.
Ce que je vis fut, de mon point de vue, une scène qui aurait pus être des plus hilarante. La maison semblait plongé dans le noir, de ce que je voyais à travers l'embrasure de la porte. Elizabeth quant à elle, semblait faire un régime de café. Son visage se caractérisait de cernes noir sous ses yeux et d'un regard fatigué. Ses cheveux, en bataille. Son linge, un vieux jogging et un vieux chandail. Elle me regarda mais semblait ailleurs.
-Elizabeth? Tout va bien? Demandais-je en m'approchant.
-Ah! Meliodas, te voilà...tu es sortis, bien...bien, je t'attendais, entre, entre, dit-elle d'un air fantomatique.-Euh...D'accord, répondis-je goute au front.
Elle ferma la porte derrière moi. Le spectacle qui s'offrit alors à moi était à couper le souffle. Des papiers divers couvrait presque toute la surface du sol et sur les murs se trouvait des papier de journaux, des photos, etc. Ce qui attira alors mon attention furent les pines de différente couleur retenant les feuilles et les fils rougeoyant qui reliait tout entre elle. De droite à gauche, de haut en bas, en diagonale, il y en avait partout! Même reliant un mur à l'autre, nous obligeant à nous pencher pour se déplacer dans la pièce.
-Waaaw! Elizabeth! C'est toi qui a fais tout ça?! M'exclamais-je en m'émerveillent devant le tout.
-Oui, oui, c'est moi, moi, répondit-elle en regardant à droite et subitement à gauche.
Soudain elle lâcha un petit soupire de surprise et se précipita vers le mur à ma droite, elle cherchait quelque chose sur le mur. Lorsqu'elle le trouva elle posa une pince rouge et prit la bobine de fil. D'un geste agile elle l'enroula autour de la pine et roula la bobine vers un autre coin de la pièce pour la relier à une image. D'un air fière, elle regarda son travaille mais continua de relier d'autre image et texte de journaux. Parfois se grattant la tête, parlant à elle même, se frustrant devant les réponses qu'elle n'arrivait pas à élucider. Que lui arrive t'elle?!
-Elizabeth tu es sur que tout va bien...?
Elle se trouva subitement vers moi et me regarda, impassible.
-Je n'ai pas dormis depuis 3 jours, oui, oui, le café me tiens éveiller! Je dois trouver la réponse!
C'est alors qu'elle accourut vers le mur où semblait tous s'acheminer les fils rouge. Un amas de fil entourait cette photo, au point qu'on avait du mal à voir de quoi il s'agissait. Elle pointa l'image.
-Lui, c'est lui la clé de tout! Mais comment...comment! Dit-elle presque en se tirant les cheveux.
Je m'approchai de l'image. Chaque pas que je faisait, elle semblait de plus en plus nerveuse. Pourquoi est-elle devenu comme ça? C'est a n'y rien comprendre. La clé de tout? Le boss? Quel rapport a t'il avec ce qu'elle cherche...Depuis trois jours...je dois vraiment aller la faire dormir. En fait, elle ne semble pas effrayer ou surprise de me voir, sûrement la fatigue qui ne lui fais pas comprendre ce qu'elle fait. Malgré mes tentatives de théorie, une partie de mon cœur restait positif sur le fait de pouvoir peut être rester libre. Qu'elle ne m'envoie pas en prison et que je reste avec elle.
-C'est lui! Je suis pas folle! Pas toi! Tu n'as rien fait! Continuais de dire Elizabeth en se tenant frottant les mains comme une hyperactive.
Lorsque mes yeux purent enfin discerner la photo, je ne compris pas. Une image du boss se trouvais là, sur son mur.
-Karen! Lui! Pas toi!
Quoi? Tout ce charabia, je n'y comprend rien.
-Oui, c'est le boss, Elizabeth, je ne comprend pas ce que tu veux me dire.
Elle lâcha un soupire de découragement, si elle ne m'explique pas, je ne comprendrai pas. D'ailleurs, elle n'a pas dormis depuis trois jours! Et Emma?!
J'accourus vers la chambre d'Emma, je la trouvai sur son lit entrain de jouer au poupée. Son visage était pâle. Lorsqu'elle m'aperçu, un regard de soulagement et de bonheur se dessina sur son visage. Elle accouru vers moi.
-Meliodas!! Tu vas mieux?! Demanda t'elle en faisant bien attention de m'agripper la jambe qui n'était pas blesser.
-Oui, je vais super! Par contre...ta mère n'a pas l'air dans son assiette, que se passe t'il? Demandais-je en lui caressant la tête.
Elle me lâcha la jambe et se risqua à sortir la tête de sa chambre pour regarder sa mère. Lorsqu'elle l'aperçu elle rentra se cacher derrière moi.
-Elle me fait peur...Elle ne mange quasiment rien mais me donne toujours une assiette de nourriture devant ma porte au heures de repas...
-Pourquoi fait-elle ça? Le sais-tu?
-Ça à commencer quand elle est revenu de dehors...en rentrant elle est aller dans sa chambre et à ressortis plein de papier qu'elle a commencer à mettre partout...
-Je comprend...tu ne sais rien de plus?
-Elle murmure toujours la même phrase...
-Laquelle...?
-« Il est innocent...Meliodas est innocent »
****************
Coucou 👋🏻
Pardon du retard! Entre l'école, mes soirées à la bibliothèque avec mes amis et mes fins de semaines à travailler, je ne trouve plus le temp. Normalement je le ferais la nuit, mais je suis étrangement fatigué 😓
Bref, j'espère que vous me pardonner et que vous aimer ca! J'espère que je ne m'éloigne pas trop de vos goût et intérêt❤️.
Bye-bye 🙌🏻
VOUS LISEZ
Un amour interdit
FanficElizabeth, jeune policière de 26 ans, marié avec un homme depuis 8 ans, ils vivent le grand amour. Mère d'une petite fille de 7 ans. Elle sera attribué à une enquête dont elle rêve de faire partis depuis longtemps. Elle fera la rencontre d'un homme...