chapitre 32

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Point de vue de Ari

Je me réveille en sursaut au milieu de la nuit par le bruit du vent qui agitent les branches des arbres.
- Ne t'inquiète pas, je suis là. Et je compte pas partir.

C'est la que je le rend compte que j'ai dormi dans cette position dans ses bras. Et je regarde dans l'horloge il n'est que (2h)deux heures du mat.
- Attend, je vais fermer les fenêtres, comme ça tu entendras moins de bruit et on pourra dormir tranquillement.

Je secoue la tête de haut en bas et il m'ecarte légèrement à lui en se levant et partir en direction de la fenêtre en face du lit. Celui qui a une magnifique vue dès le matin et au couché du soleil.

Je Me demande si c'est le même homme qu'autre fois avec un caractère durcit et un regard dur. Mais maintenant il est si tendre avec moi. Et j'avoue que ça me plaît.

- Que t'as dit Paola, quand t'as décroché mon téléphone, ton expression m'a paru très étonné.
- Ah!  Ce serait mieux si tu l'apprendra par toi même.
-C'est si grave que ça.
- Pas vraiment mais je suis mal placé pour te dire ce genre de choses. C'est des choses de filles.
- oh! Ok. Dis-je en me levant.
- mais où tu va?
-Je vais boire un verre d'eau j'ai soif un peu soif.
-Laisse je vais t'en chercher.
- Je connais très bien la maison je peux y aller moi même.
- Je sais mais il y a eu une coupure de courant dû au soudain mauvais temps. Je veux pas que tu cognes dans quelques choses en allant. Donc je vais t'en chercher.
-D'accord.

J'ai allumé quelques bougies parce que je supporte pas trop le noir.

Il revient avec un petit pot rempli d'eau et un verre à la main. Il remplit le verre et me le tent.
-Merci.
- il y a bien d'autres façons de remercier son mari que par des mots tu sais.

Je rougis en entendant cette phrase.
- Je sais.
- Alors pourquoi tu le fais pas.
Dit-il avec un sourire taquin, ces cheveux en bataille, en regard malicieux . Son pigama est détaché des deux premiers boutons laissant voir son torse super musclé.

Je sais vraiment pas ce qui me prend mais je dépose le verre et lui saute au coup pour l'embrasser. Il m'attrape au vol par les
fesses et me tiens fermement. Je passes mes pieds autour de sa taille, mes bras autour de son coup. Je l'embrasse et il répond à mon baiser sans se faire prier. Il s'autorise toute seule à lettre sa langue dans ma bouche. Nos langues se moules l'un contre l'autre. Mon Dieu, jamais j'aurais su qu'un baiser me fait tant d'effets.

Il marche avec moi autour de la chambre, il me dépose pas sur le lit mais plutôt sur  la petite table sans pourtant laisser mes lèvres une seconde. Je passes mes mains dans ces cheveux très épais et il grogne de plaisir. Dit donc monsieur aime ça ou quoi. Puis il se détache à moi et me regarde.

- Je crois que je t'ai donner assez de temps Rondinella. Il est pour nous de consommé notre nuit de noce. Tu crois pas?
Me dit-il en passant ses mains dans mes cheveux.
- J'ai cru que ce moment n'arrivera jamais.

Il me sourit et m'embrasse de nouveau.  je ressens aucune gêne. Je reponds à son baiser. Il se colle beaucoupplus à moi et là je sens son érection. Je passe mes mains dans son dos super musclé et  je le sens tressaillit de désir.

- Jamais j'aurais cru que tu me ferais tant d'effets Ari.
Me dit-il entre deux baisers. Cette phrase me donne chaud au cœur. Je passe mes mains sur ses larges épaules puis déboutonne le haut de son pigama et le laisse tomber à terre sans hésiter. Ensuite il se baisse et enlève son pantalon tout seul. Et je peux remarquer son érection encore plus énorme qu'avant. Ce qui me fit frissonner. Ensuite il se redresse et me regarde puis continue à m'embrasser. Il me tiens les cheveux d'une main et de l'autre main il caresse mes seins et il tire légèrement sur mes cheveux. Il quitte ma bouche et s'attaque à mon coup. Il me donne des baisers tendre sur le coup. Ce qui me fait donner des gémissements.

De sa langue il me caresse la lobe de l'oreille. J'ai sentit des milliards de frissons de parcourir le long du corps. Il me lâche les cheveux et le sein, puis enlève ma nuisette et le jette au sol sans ménagement.
il me contemple quelques secondes puis m'embrasse encore plus dure qu'avant. Il descend dans mon coup mais ne tarde pas.  Il suce mes seins tour à tour et un cri de désir s'échappe dans mes lèvres. Ensuite il me porte et me dépose délicatement sur le lit.
Je suis maintenant vertu d'une simple string et il me contempla de nouveau.
- Tu es magnifique Ari. T'as un corps de rêve et n'en doute jamais.
Je souris timidement face à sa déclaration.
- T'es encore plus magnifique quand tu rougis.

Il monte à son tour sur le lit plus excactement sur moi, en faisant attention de ne pas m'écraser. Et maintenant  sa bouche promène partout sur mon corps. Et je sens que je vais finir par devenir folle. C'est la première fois que je ressens cette sensation. Une sensation unique je n'ai jamais ressenti au part avant. Il enlève ensuite mon string et Hume l'odeur ce geste me fait rire légèrement.
Il a un corps magnifique et le reflet des bougies le rend encore plus spectaculaire.
Puis il enlève son caleçon , et  m'avance au milieu du lit avec délicatesse. De ses genoux, il écarte mes jambes et me regarde, comme si il attendait mon consentement. Et je secoue la tête de haut en bas. C'est Alors qu'il s'allonge sur moi et, il me pénétra avec  douceur que je ressens une douleur au bas de mon ventre , qui fais maintenant place à une douceur éternelle. Je gémis de désir et il grogne en faisant des vas et viens  lentement en me faisant goûter a la douceur de cette agréable acte, son souffle chaud me caresse le coup et mes gémissements lui ecxite beaucoup plus.
Il accélère un peu son mouvement et je hurle de désir. Je me demande comment ai-je pu passer tout ce temps sans faire l'amour, C'est trop bon.
Il me tiens la tête et m'embrasse avec fourgue. Tout en accélérant son rithme et je sens un tremblement le long du corps et je vois Hank trenbler à son tour signe qu'il vient d'éjaculer. J'ai comme une sensation comme si j'avais pisser dans le lit. Il me suce le coup mais cette fois il pèse un peu ses et ensuite me lâche.

Il se bascule sur le côté en m'entrainant avec lui. Je dépose ma tête sur son torse. Nos pieds se mêlèrent. Il passe son bras musclé autour de ma taille et c'est ainsi que nous sombrons dans le sommeil...

Le ténébreux ItalienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant