chapitre 30

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Point de vue d'Ari
Je penses envoyé à Constantia et à l'expression qu'une vie de déception gravé sur son visage. J'ignore ce qui se passe entre elles et ces fils. Mais j'ai l'impression que cette dernière déteste Hank parce qu'il l'empêche d'arriver à ces fins et Bernardo. Elle l'utilise en faisant semblant de l'aimer pour obtenir ce qu'elle veut. Elles les à monter l'un contre l'autre.
Le pauvre si seulement il savait. Il serais anéantie, dévasté, d'avoir une si mauvaise mère.

Je quitte le travail de très tôt cet après-midi pour me rendre a Venise. Hank m'avait dit qu'une fois devenir contesse il faut s'habiller comme telle. Donc, je crois pour moi qu'il est temps de renouveler  ma garde robe.

Moi ce dont je veux se n'est pas des nouveaux vêtements mais, que Hank me regarde comme une femme qu'il pouvait aimer et désirer. Je veux qu'il me regarde comme sa femme. Et qu'il se comporte comme tel avec moi dans tout les sens du terme. Je veux être une femme qu'il pouvait aimer comme sa femme.

Je Franchis la porte de La boutique où  m'avait enmener Hank  la dernière fois.
- Comtesse Cazlevara.
Feliciana se précipita pour l'accueillir et je souris à cette dernière.
Dans cette espace luxueux mais réduit face à cette femme qui mesurait 10 centimètres de moins que moi. Je me sens énorme, et affreusement mal à l'aise.

- Après votre appel j'ai choisis quelques pièces qui devaient vous convenir. Dit-elle en m'entrainant dans un salon privé.
- Vraiment?!
Comment pouvait-elle savoir se qui pourrait me convenir puisqu'elle m'a vu qu'une seule fois?

Après avoir passer tant d'années à éviter ce genre de boutiques, voilà que je me retrouve dans un salon à essayer des vêtements féminine, en pleine limite alors que Feliciana se tien devant moi les bras chargés de vêtements.
- D'abord la robe du soir, c'est le plus important.  Dit cette dernière toit excitée.
- Ah...  Répondis-je en contemplant la robe que j'avais remarqué lors de ma précédente visite et que Feliciana me tend.

- Idéale pour une grande soirée.
- Je ne crois pas que...
- il fait la passer. A voir les vêtements que vous portez, on dirait que vous avez honte de votre corps.
- C'est seulement que je ne suis pas...
- vous faites erreur. Ma vocation n'est pas d'aider les femmes à s'enlaidir, n'est-ce pas? Je sais ce que je fais. Et puis vous marchez les épaules rentrées et la tête baissée comme si vous teniez à vous rapetisser.
-Je ne...
- Vous êtes grande et vous avez des formes. Bien des femmes désiraient vous ressembler. Vous ne savez pas que vous êtes belle mais dans cette robe, vous ne pourrez plus en douter. Faites-moi confiance.

J'ôte mon tailleur pantalon avant de glisser dans le fourreau de  detenlle blanche.

-Un minuto...
Elle me contempla longuement, les mains sur les hanches, avant de s'approcher pour retirer la barrette qui tenait mes cheveux
-  ah.. perfetto!

Elle me fait retourner face au miroir. Et je dois avouer que je ne me reconnais pas.

- Jamais voi ne vous êtes vue ainsi n'est-ce pas?

Sous la délicate insistance de la vendeuse je me contemple dans le miroir. Ajusté comme une seconde peau, la robe soulignait parfaitement la courbe de mes hanches, la finesse de ma taille et la rondeur de mes seins. Une voile de dentelle atténuait le décolleté plongeant et la jupe m'effleurait les chevilles. Cette femme que je trouve sexy ne peux pas être moi.
- Non...
- Vous n'aimez pas ? S'étonna Feliciana .
- je n'aime pas, j'adore.
- parfait parce que j'en ai au moins six autre à vous faire essayer.

Le ténébreux ItalienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant