Chapitre 37

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Point de vue extérieur
Quelques heures plus tard...

Ari resta un moment sur le palier de l'étage à observer son mari qui l'attendait dans le hall, vêtu d'un superbe costume de soie grise. Sa belle assurance avec la vendeuse de robe avait disparu et elle n'avait plus envie de rire. Et si Hank n'appreciait pas son changement? Ou pire s'il ne le remarquait même pas? ...

-Ari? Appela-t-il d'une voix impatiente. Tu es prête? Les invités vont arriver.
-Je suis prête. Repondit-elle d'une voix qui tremblait un peu.

Hank l'entendit descendre les marches mais il ne se retourna pas. Il apprehendait de découvrir à quoi elle ressemblait. Il a beau dire a Ari que son corps est parfait mais il n'aimait pas pour autant la facon qu'elle s'habillait. Sa robe de mariahe en ait la preuve. Après tout, ce n'est pas pour son élégance qu'il l'avait épouser.

Pourquoi il l'avait épouser alors? Quand sa mère évoqué ses possobles héritiers, son esprit s'était fixé sur la nécessité de choisir une femme. Il l'avait fait comme il choisisait une voiture, selon les critère précis et objectifs.

Ana etait une personne, sa femme bien-aimée, qu'il devait proteger et chérir entre toutes, mais avec qui il se sentait pas trop capable de communiquer.

Et puis en percevant cette lueur de fragilité dans les yeux d'Ari, il avait découvert l'affection et la tendresse qu'elle lui apportait et qu'elle ressant envers lui. Perçus de la puissance du désir qu'il lui inspirait.

Alors cette fois il avait compris, émotionnellement et intellectuellement qu'une femme n'était pas une voiture, pas un objet.
En sa présence il serrant quelques chose qu'il n'avait ressenti a l'égard d'aucune autre femme. De la tendresse, de l'affection ou l'amour peut être.

Non il serait honte d'avouer ou de démontrer quoi que se soit car il dit toujours que les sentiments principalement l'amour rend les gens trop faibles et les conduit à leurs perte.

Oui mais il avait compris la principale chose qu'il est intrigué par cette femme, sa femme.

Pourtant il n'aimait pas Ari. Était-il même capable d'éprouver un tel sentiment? Jamais il n'etait amoureux. Ça lui arrive qu'il ressent de l'affection pour une de ces compagne provisoire parce sue la liste était longue mais délicat.

Ari Pourtant avec sa façon de parler un peu rude, la douceur de ses yeux gris, sa feine assurance et sa reelle vulnérabilité, sa silhouette épanoui et son odeur de terre... insensiblement, elle s'était insinué dans son coeur en dépit des défenses qu'il avait élevées pour se protéger. Lui qui s'était toujours targué d'être logique et rationnel.

Il l'avait pourtant prévenue qu'il ne l'aimerait jamais. L'amour était destructeur. Il le savait. Et celui qu'Ari éprouvait pour lui , il le percevait et ça lui faisait peur. Il craignait confusément qu'il ne la détruise et ne ruine peur mariage...
-Hank
Il sentit la main de sa femme se poser sur son bras. Cela devrait faire un moment qu'il la faisait attendre. Il se tourna vers elle.
- Bons...
Il s'arrêta net, les yeux écarquillés.
Face a lui, une femme superbe, Vêtu de dentelle blanche, lui souriait d'un air a la fois fier et gêné. Une femme bien relle d'une stupéfaite beauté. Sa femme.
- Tu es...
Soudain il vit le visage d'Ari se décomposer et ses épaules s'affaisser en une fraction de seconde. Il la prit par la taille. Jamais il ne s'était encore rendu compte qu'elle étaitsi bien proportionné. Pas étonnant vue les fringues qu'elld a l'habitude de porter.
C'était comme si cette robe avait le pouvoir magique de révéler sa fémenité, soulignantses hanches, ses seins, ses courbes voluptueuses. Dire qu'il avait trouvé Ari masculine avec les anciens fringues...

Tu es extraordinaire, la complimenta-t-il d'une voix rauque.
Elle sourit de nouveau, d'un adorable sourire qui faisait danser des étincelles dans son regard.

Extraordinaire. Sa femme était extraordinaire.
-Merci, murmura-t-ellr d'un ton tout aussi passionné. Il l'attira a lui et l'embrassa. Les formes généreuses d'Ari semmblaient faites pour s'adapter à son propre corps, tout comme sa taille s'accordait à la sienne.

Ses lèvres étaient douces et tièdes, sensuelles, si tendre. Hank avait eu l'intention d'y déposer un baiser léger mais dès qu'il les eut effleurées, il ne put plus s'en déprendre. Au moment où, agrippée a ses épaules, elle se lovait contre lui, un toussotement ostensible se fit entendre derrier lui.

-Excusez-moi d'interrompre ces touchantes effusion, déclara Bernardo., mais les invités commencent à arriver.
-Très bien, répondit Hank en s'écartant, sqns pour autant lâcher Ari.
Son frère fixa la jeune femme d'un regard stupéfait.
-Quel look d'enfer!
-Bernardo, intervient sèchement Hank, n'oublie pas que tu t'adresse à ma femme , la comtesse de Cazlevara.
Il s'abstient de répondre; il ne voulait pas gacher la soirée en entame t une dispute avec son jeune frère.
- Excuse-moi, Ari reprit celui-ci en s'inclinant. Je ne voulais pas être désagréable. Je te trouve très belle.

Hank leva les yeux aux ciel. C'etait bien de Bernardo de souffler ainsi le chaud et le froid pour mieux neutraliser de l'adversaire.
- Je n'y ai vu aucune offense, répond Ari en souriant.

Bernardo lui rend son sourire et un clin d'oeil de complicité. Hank leve les yeux au ciel.
-Bon allons-y! Il est temps de déclencher cette bombe.


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Bisous(😙) mes amours je vous aimes.

Le ténébreux ItalienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant