SANG PUR [TERMINÉ]

Chapitre 12.

Un grondement de plaisir remonta de sa cage thoracique, et immédiatement il me plaqua contre le lit, son érection déjà dure contre mon entre jambe.

Seigneur je ne l'avais jamais fais, je n'allais pas le faire avec lui tout de suite! Surtout pas à côté d'un vampire à moitié mort !

Je paniquai totalement tandis que sa tête partie dans mon cou, pour me mordiller la peau doucement et que, malgré moi, je frissonnais de plaisir, comme si mon corps le voulait lui, et personne d'autre. Il descendit petit à petit, de mon cou jusqu'à ma poitrine, et d'un coup de main, déchira mon t-shirt, afin de me dénuder. J'émis un cri de surprise, et me cachai tant bien que mal le corps avec mes mains, gênée, mais il les enleva d'un geste brutal, comme énervé que je sois gênée devant lui.

​- Tu es ma femelle Téa, à moi, personne d'autre ne te verra nue, et je n'aime pas que tu te cache de moi comme ça, dit-il, en coinçant mes deux bras au dessus de moi à l'aide d'une seule main.

​- Je... désolée mais... je l'ai jamais... bégayai-je en évitant son regard de braise.
​
Il parut surprit.

​- Tu es... vierge ? murmura t-il presque choqué.

Je hochai la tête, à la limite de pleurer; mais ses traits se radoucir, et il replongea la tête dans mon cou pour me lécher. Quand il eu fini, il replongea son regard dans le mien et me dit :

​- Je croyais que non.

Il me caressa la joue tendrement de sa main libre, et sa tête descendis directement vers mon bas ventre.

Attention passage sensible :)

​- Seb ! Qu'est-ce que tu... qu'est-ce que tu fais ?
​- Chut... tais toi et profites, chuchote t-il en posant sa main sur un de mes seins après avoir écarter mes jambes pour que sa tête puisse passée.

Quand sa bouche se posa sur mon entre jambe, je lâchai un long soupire, et mon corps fut secouer par un grand frisson. Je sentis sa langue sortir de sa bouche et venir littéralement me lécher, et je gémis, pendant que sa seconde main venait se poser sur ma cuisse et la maintenir écartée.

Il me dévorait entièrement, faisait des cercles avec sa langue, aspirait ma chaire et je me tortillais pour essayer de me libérer de cette chose inconnue qui naissait dans mon bas ventre. Je brûlai de l'intérieur, mes joues chauffaient, j'avais des fourmis dans les jambes et soudain, sans que je m'y attende, il enleva ses lèvres de mon intimité, ses bras de mon corps, baissa son pantalon, se fraya un chemin entre mes cuisses et me pénétra, centimètre par centimètre, pendant que je libérai une longue plainte, entre la douleur et le plaisir, jusqu'à ce qu'il tape au fond. La douleur que j'avais ressentie tout le long de la pénétration se volatilisa lorsqu'il commença à bouger en moi. Doucement il commença à bouger son bassin, puis de plus en plus vite, et me tenait fermement les hanches d'une main, et un sein de l'autre. 

Putain, elle était énorme. Oui je parlais de sa bite.

Le claquement de son bassin contre le mien se fit plus bruyant, et de sa peau commençait à perler des gouttes de sueurs. Des gémissement sortirent de sa bouche quand il accéléra encore la cadence, et moi, je me maintenais à la couverture tant bien que mal.
Le plaisir montait de plus en plus dans mon bas ventre, et avant que je puisse me soucier du fait qu'il n'avait pas mit de capote, il lâcha un râle puissant et se déversa en moi, pendant que moi aussi je tombais dans l'extase et je me contractais autour de lui, emportée dans la jouissance.

Nos respirations haletantes se calmèrent peu à peu, et il tomba doucement sur moi, et mis sa tête, contre mon sein.
Je rabattis mon bras contre sa tête pour lui gratter doucement avec mes ongles, et il soupira d'aise.

Après quelques minutes comme ça, il redressa la tête et mis son menton entre mes seins, et me regarda de ses yeux luisant.

​- Tess... j'ai faim.

Je me rendis compte de ce que cela signifiait, et j'essayais de le repousser, mais il était plus fort. Sa tête repartie en bas, vers mon entre jambe, et il mordit violemment à l'intérieur de ma cuisse, en me regardant droit dans les yeux, arrogant.
Il arrêta un instant et me murmura :

​- Ce qui est à moi est à moi, je prend toujours ce qui m'appartiens et je fais ce que je veux avec.

Il reprit là ou il avait arrêter, et malgré moi, une vague de chaleur arriva droit à mon clitoris, et plus il aspirait, plus mon bas ventre prenait du plaisir. Ma respiration se fit erratique, et je partis une deuxième fois dans la jouissance, en regardant droit dans les yeux l'auteur de mes orgasmes, qui lui, était fier de ce qu'il avait accomplit.

Fin du passage :)

Andreas entre temps s'était réveillé, et admirait littéralement la scène, les yeux brillant de désir. Je le fixait en essayant de refermer les jambes sur la tête de Seb, et celui-ci comprit que le vampire s'était réveillé.
Seb se leva, en m'ayant fait un dernier bisous sur mon entrejambe, et se dirigea, bite dressée, vers Andreas, visiblement effrayé.

​- T'as oser regarder fils de pute ? siffla Seb en montrant du doigt le lit, c'est ma femelle ! Personne n'a le droit de la mater à part moi ! hurla t-il, tandis que sa colère se déversait dans l'air ambiant.

​- Ouais, elle est trop bonne Seb, dit Andreas, qui le faisait presque exprès de faire enragé mon âme soeur.

Le vampire se releva, s'avança vers moi avec sa vitesse vampirique, et me montra les dents. Je me relevai aussi vite que je pus, et Seb attrapa Andreas par les cheveux et le plaqua à terre.

​- Je vais te tuer, dit simplement Seb.

C'était le moment pour moi de partir ! J'étais totalement effrayée par ce qui venait de se passer. Je courus hors de la chambre en ayant enfilé au passage mes sous vêtements et un t-shirt, et je traversai le salon à la hâte, pour me précipiter vers une fenêtre.

Je l'ouvris et je sautai, mais je tombai directement sur le sol, c'était une maison plein pied à la limite d'un petit village. Je ne reconnu aucuns bâtiments à ma gauche, alors je me dirigeai vers la forêt à ma droite.

J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir.

​- REVIENS TESS ! TON SANG EST SI DELICIEUX ! JE SUIS DESOLE JE N'AI PAS PU RESISTER !

Andreas espèce de porc !