Sinners MC : Dylan

Chapitre 15 Ruby

- KNACKI  BALLS ! hurlais-je.

- ARRETE DE M'APPELER COMME ÇA  retorque-t-il.

- Il m'a contacté criais-je.

J'entends ses pas lourds dévaler l'escalier.

- On dirait une maman éléphant sur le point d'accoucher ricanais-je.

- Me cherche pas microbe repond-il, sinon t'es privé de sexe !

- Tu déconnes ? Demandais-je.

- Montre moi dit-il

- Dit moi d'abord que tu deconnais repondis-je en plissant les yeux.

- Chaton, tu sais très bien que je pourrais pas me passer de ton corps, bien sûr que je deconnais repond-il.

Il dépose un baiser sur mes lèvres et me tire vers ma chambre .

- Bien, alors voilà, votre club va se faire attaquer lui dis-je.

Il fronce les sourcils.

- Quoi ?

- Et bien le commanditaire m'a demandé de pirater tout votre système,  informatique, vidéo, système d'alarme et j'en passe.
De rester en standbye en prévision d'une attaque repondis-je.

- Tu vas trouver ce fils de pute dans combien de temps ? Demande-t-il.

- Reste polie merde ! Le rabrouais-je.

- Désolé chaton dit-il.

- Ça te coutera un orgasme repondis-je.
Et bien je dirais 1 ou 2 jours.
Par contre tu as bien une taupe et je crois savoir comment le démasquer.

- Dit moi tout.

Il s'installe sur la chaise et m'entraine sur ses genoux.

Depuis qu'il m'a sortie de mon apitoiement il y a 3 semaines, Dylan est devenu très démonstratif pour mon plus grand plaisir.
En réalité,  depuis qu'il s'est débarrassé de son ex, le Dylan libre me plaît encore plus.

- Et bien on a isolés 4 personnes lui dis-je grâce à leur comptes en banque.
Tu vas faire venir un expert en sécurité et lui dire de faire quelques travaux.
Ensuite tu donneras 4 justifications à chacun de ceux qu'on suspecte.
Le commanditaire prendra contact avec moi et on saura qui est la taupe.

- Je t'ai dit que j'adorai le fait que tu sois aussi intelligente ? Dit-il.

- Pas souvent repondis-je.

- Vraiment ? Laisse moi me faire pardonner alors.
Lève toi.

A la lueur qui brille dans ses yeux, je m'exécute sans rechigner.

- Enlève ton jean et ton string ordonne-t-il.

Au lit, aucun doute Dylan est un vrai mec !

Il ouvre sa braguette et sors sa queue.
Il fait coulisser sa main tout le long, ça m'excite tellement que j'arrache presque mes fringues.

- C'est ça que tu veux ? Dit-il,  ouais, je crois que mon petit Chaton a très envie de ma queue.

J'hoche la tête en ne quittant pas l'objet de mes désirs des yeux.

- Tu vas me sucer, ensuite je te ferais prendre ton pied dit-il.
A genoux chaton.

Je me place entre ses jambes et m'agenouille.

Il garde sa queue dans sa main.

Je pose mes mains sur ses cuisses et donne des petits coups de langue sur son gland.

- Suce !

Je ne prend que le gland en bouche et poursuis ma délicieuse torture avec ma langue.

- Merde !

Il empoigne mes cheveux et force ma tête a descendre.
J'adore quand il fait ça.

Je le suce comme il aime, la prenant presque entièrement,  elle est bien trop grosse pour des gorges profondes.

Il relâche sa queue et pose sa deuxième main sur ma tête.
Il me fait aller plus vite,  haletant encore plus fort.

- C'est trop bon putain, ta bouche est la plus baisable que j'ai connu haleta-t-il.

Je creuse les joues et la prend autant que je le peux.

- Enlève ta bouche dit-il,  je veux jouir en toi.
Chevauche moi .

J'allais le sucer jusqu'à tout avaler mais le chevaucher c'est bien mieux.

Je retire ma bouche et m'installe sur lui, il tient sa queue bien droite.
Je descends en l'avalant entièrement nous faisant gémir.

- Je tiendrais pas longtemps alors vas y fort dit-il.

Mes mains sur ses épaules,  les siennes sur mes hanches, je monte et descends.
Il me fait aller plus vite en serrant les dents, ouais il est vraiment pas loin.

J'accélère,  mes fesses claquent contre ses cuisses.
Il enlève une de ses mains et titille la pointe de mon sein, il connait trop bien mes points faible.

La jouissance est proche.

Je me déchaîne.

La chambre est emplit de nos halètements quand la porte s'ouvre à la volée .

- Rub... OH PUTAIN MERDE cria Lia en refermant la porte.

J'explose juste après suivi par Dylan.

Je m'effondre sur son torse.