Chapitre 8 Dylan

10.5K 487 16
                                    







- T'as dit quoi la ? Demande-t-elle.

- Que toi t'as besoin de baiser dis-je en approchant et moi je rêve de le faire depuis la première fois qu'on s'est vu.
Chacun en sortira gagnant.

Ok, c'est pas le truc le plus romantique qu'on puisse dire, mais ça en reste vrai.

Elle me fixe du regard, certainement pour s'assurer de mon sérieux.

- Vite, fort et brutal sinon ça ne m'apaisera pas dit-elle en retirant sa robe.

Je fais passer mon tee-shirt au-dessus de ma tête et matte ses seins nu, son string rouge dentelle.
Je me lèche les lèvres,  impatient d'y goûter.

- Je voyais pas les choses autrement repondis-je.

Je fonds sur elle comme un affamé,  la faisant tomber sur le lit.

Je pose ma bouche sur la sienne et l'entrouvre.

Putain ! J'en rêvais de cette bouche !

J'introduis ma langue et rejoins la sienne.
Je la dévore.

Mes mains parcoure son corps.

J'empoigne un sein, en pince le bout et le titille.
Elle gémit dans ma bouche.

Ses mains se glissent entre nous et s'échinent à détacher les boutons de mon jean, je soulève les hanches.

Ma queue jaillit dès qu'elle le descend.

Elle fait coulisser sa main le long de mon manche et detache sa bouche.

- Je retire ce que j'ai dit haleta-t-elle, ta queue est énorme.
A toi de me montrer que tu sais t'en servir.

- J'y compte bien repondis-je.

Ma queue douloureusement dur frotte contre sa dentelle .
Ma bouche sur son cou je lui dis de la retirer.

- Pousse toi un peu rale-t-elle.

Elle lève les fesses et fait descendre son string, plus aucun obstacle entre nous, on est enfin peau contre peau.

Je bute souvent contre sa chatte déjà moite.
J'arrête de torturer ses seins et tend la main vers le tiroir pour récupérer une capote.

J'en prends quelques unes et les pose sur le lit.

Elle en saisit une, la dechire avec les dents et me tend la capote .
Je la déroule sur ma queue bien tendue.

Elle passe ses jambes autour de ma taille, en appuie sur un coude,  de mon autre main je guide ma queue entre ses lèvres et la penetre d'un ample coup de reins.
On gémit de concert.

- Merde ! Merde ! Merde ! T'es trop serrée bordel ! Dis-je.

- Vite, fort et brutal ne l'oublie pas  dit-elle.

- Ça va te faire mal repondis-je,  je suis trop gros.

- La ferme ! Donne moi ce que je te demande !

A ses ordres !

Je donne de profond coup de reins,  butant au fond a chaque fois.
J'essaye de la préparer un minimum.

Elle enfonce ses talons sur mes fesses, je comprends le message.

J'accélère et pousse plus fort.

- Oui ! Vas y gemit-elle.

- Tu la veux profonde ? Haletais-je.

- Ouais.

- Tiens toi bien à moi lui dis-je.

Je la soulève et nous sors du lit, toujours en elle.
Je vire ce qu'il y a sur le bureau, la pose dessus et passe ses jambes sur mes épaules.

Elle s'accroche comme elle peut.

Je choisis le bon angle et la pilonne.

Mes coups de reins sont très brutaux, sûrement un peu douloureux mais à ses cris de plaisir,  je comprends que c'est ce qu'elle aime, tout comme moi.

Mes mains ancrées sur ses hanches, j'accélère,  je le pilonne de toutes mes forces,  sans relâche.

Je contrôle plus rien, ni le rythme, ni l'intensité,  ni ma respiration.

Je me retrouve vite au bord de la jouissance.

Le bureau craquelle mais ça ne m'arrête pas .

- Je vais plus tenir longtemps haletais-je.

- Pa... pareil crie-t-elle.

Je donne tout ce que j'ai,  jusqu'à ce qu'elle hurle.
Je lache prise à mon tour en poussant un long cri continuant à donner de puissant de coups de reins.

Le bureau s'effondre,  on tombe au sol, toujours emboîtés l'un dans l'autre.












Sinners MC : DylanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant