American love

Chapitre 11 : Coup et sang

Hayden et sortis de nul part et c'est précipité sur le gars qui m'a lancé cette phrase grossière.

Il enchaîne les coups qui devienne de plus en plus violant et malgré le fait que j'ai très mal pris le : hey madame t'est fraîche t'aurai pas un 06.  il ne mérite pas de ce faire fracassé la geule ainsi.

Je me précipite alors vers Hayden et lui ordonne d'arrêter mais rien n'a faire, c'est comme si il ne m'écouter pas, on pourrai limite croire qu'il et possédé tellement c'est coup son violent.

Prise de panique car je ne veut pas assister à un meurtre, pas une nouvelle mort sur la conscience je saute sur Hayden et lui décroche une droite bien placée dans les côtes ce qui a pour effet de le stopper dans son élan d'agressivité.

Il me regarde alors puis regarde le gars qu'il a bien amoché avant de porter c'est yeux vers c'est mains imprégné de sang.

Je me suis reculé légèrement avec des jambes tremblante avant de m'écraser sur le sol, Hayden a voulue s'approcher mais les pompiers et les professeurs sont alors arriver en même temps dans un raffut pas possible.

- Qu'est-ce qu'il sais passer Hayden ! Hurla un professeur complètement abuser de la situation

Un autre et alors venue vers moi pour me demander ce qu'il sais passer et pour voir si j'allais bien mais je n'est rien répondue.

Je regarde par terre la victime au sol imprégné de sang partout.

du sang, du sang, du sang répétais-je dans ma tête avant de sombrer dans un trou noir.

****

- Vous pensez qu'elle va bien ? Demande une voix qui m'est inconnue

J'essaye d'ouvrir les yeux mais la lumière du jour me fait mal ainsi que ma tête.

Qu'est-ce qui m'est arriver nom de dieu !

Je pense que mon passer a resurgi... en voyant tous ce sang et les pompiers.

Du coup je me suis sûrement évanouie.

C'est fou comme les fantômes de mon passer me hante chaque jour !

- Mademoiselle Willfrod vous allez bien ? Demande une voix féminine que je ne connais pas

J'ouvre à contre cœur mes yeux et m'adapte à la luminosité ce qui m'a pris pas mal de temps.

- Ou suis-je ? Demandais-je même si je connais déjà la réponse

- A l'hôpital mademoiselle, vous avez fait un malaise hier soir. Me répondit une infirmière d'une vingtaine d'années avec la peau extrêmement blanche, à croire que c'est plutôt elle la malade et non moi.

- Ok.

L'infirmière parts voyant que je ne suis pas d'humeur à parler en me laissant seule avec un professeur.

- Vous penser être en mesure de continuer le tournoie ? Ou voulez vous que je vous renvoie chez vous vous reposer ? Me demande t'il gentiment

- Je vais continuer ce tournoie et le gagner Monsieur. Dis-je sur de moi

Hors de question que j'abandonne, puis j'aime bien le concept de ce jeux organiser par l'état, pour une fois ils font un truc bien cela !