chapitre 11

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Élisa en eut le souffle coupé. Elle resta quelques secondes immobile,hypnotisée par ses yeux verts.il avait une de c'est manière de la déstabilisée avec des mots ,elle recula et essaya de se se ressaisir .

-Pardon?

-Tu est une très belle femme,et crois moi la plus belle de toutes;lui dit il en relâchant sa main pour pouvoir les posées sur ses épaules.
Bon Dieu! son cœur se mit soudainement à se réchauffer,les battements résonnait dans tout son corps ,que lui arrivais t-il?,pourquoi son corps réagissait à nouveau à se contact;non non non ce n'était pas lui ,il devait prendre sur lui ,et feindre l'indifférence quelques soit la tentation à ces côté .

Elle étouffa un rire sans joie et essaya de se libérer  de son emprise. En vain. La tête renversée en arrière,elle le foudroya du regard,s'il pensait qu'elle était d'humeur à rire il se fourait les doigts dans l'oeil,sa mère avait assez fait comme ça donc il pouvait attendre.

-À quel jeu joues-tu?

-Qui?moi?;dit il en feignant l'innocence ;voyant Élisa pense tu que je jouerai à  ce sujet?je ne joue pas comme tu peux le constater,je te dis juste ce que je pense.

Elle eut un petit rire plein d'amertume.

-Oh non!jamais tu pourras faire ça !t'abaisser à tenter de jouer  sur quelques choses qui te tiens à cœur. Ou à mentir sur ces genres de choses .Imagine un peu!

Comme elle était blessante!pourtant,il préférait ne rien répondre.Non bien sûr,il n'avait en aucun cas mentir sur le faire qu' il la trouvait belle.il savait respecter les femmes.ses doigts se resserrèrent sur ses épaules et ,à son tour,il la foudroya du regard,blessé dans son égo.

Avec un soupir,Élisa essaya une nouvelle fois de se dégager,et répéta d'un ton presque suppliant :

-Laisse moi partir,Ares.

-Pour allez où?

Elle le fusilla du regard avant de lui répondre :

-Je veux juste allez prendre une douche,cette journée à été assez pénible comme ça.

-Ah d'accord,sinon nous pouvons la prendre tout les deux dans la même pièce ,cette douche.

Il la regarda,se délectant de la rougeur qui colorait ses joues,du soupir qui s'échappait de ses lèvres entrouverte.Elle rouvrit les yeux,le fixa un long moment dure au choque ce qui le fit sourire,puis elle secoua la tête.

-Je pensais la même chose,Ares.

Il tressaillit!une décharge électrique le secoua,le laissant ahuri.il la devisagea un long moment,Elle le défiait du regard.
Elle ne savait pas à quoi elle jouait,ce qu'elle oubliait c'est que son caractère compétitif à lui ne le permettait pas d'envisager l'idée même d'une défaite. 

-Vraiment?

Il pencha la tête de côté et inhala son doux parfum fleuri.
La gorge sèche,Élisa déglutit.La sensation qu'elle ressentit fut aussi brutal et stupéfiante comme si elle venait d'être renversée par un cheval.

Il la rapprocha plus de son torse,voulant enfin goûté à ces lèvres qui le faisait perdre ces moyens.
D'un coup de bottines,Élisa lui ecrasa les orteils.

-Aïe!

De surprise,il fit un bond en arrière.
Celle-ci en profita pour courir vers la dernière porte du fond de la chambre,il n'essaya pas de la rattraper et elle arriva. heureusement que c'était la salle de bain;se dit elle;elle ne se voyait pas retourner dans cette chambre pour trouver la salle de bain.

-Ne pense pas que j'en ais fini avec toi!criait il à travers la porte en gémissant de douleur.
Élisa posa une main sur sa poitrine pour calmer les battements de son cœur qui résonnait à  une vitesse folle.
À quoi jouait il?,cette homme était il bipolaire?,bon sang!,elle détestait le pouvoir qu'il avait sur elle mais malgré elle,elle souriait.

                           ☆☆☆

-Alors maman;tu m'expliques!

-Tu sais Ares ,tu dois savoir d'abord que je n'était pas au courant du contrat que ton père à faire avec Juan;lui dit sa mère assise dans la chaise en feuilletant son magasine .

-Tu n'as rien à craindre la dessus,papa m'a bien faire comprendre qu'ils étaient les uniques créateur de ce contrat.

Il repensa à cette conversation qui avait tracé son destin ,son père n'avait pas été clément avec lui ,ni même passé pas quatre chemin il lui avait balancer en plein visage,sans lui demander son propre avis.

-Je suis désolé mon fils ton père peut être un idiot parfois,il ne sait pas qu'il vient de gâcher ta vie...

-Maman !ne pense même pas à changer de sujet ,vois tu je me suis réveillé avec un mal de pieds atroce.

'Et ça tu la bien chercher ',lui dit sa conscience,oh que oui il l'avait bien chercher,il avait voulu jouer donc il l'avait bien mérité cependant,et d'une manière qu'il n'arrivait pas à comprendre ni à expliquer il avait adorer ce rapprochement , il avait ressentir un sentiment étrange,oh qu'elle sentait bon,il avait un instant voulu l'em...

-Mais pourquoi tu rougis Ares,pas la peine de te mettre en colère je compte bien te le dis;lui dit sa mère Suzanna en le dévisageant.

Lui?rougir?Bon Dieu que lui arrivait il? ,pourquoi il n'arrivait pas à contrôler ses émotions ?,cette femme le rendait-il fragile à ce point?.

-Tu te rappelles le jour de mon voyage à Londres n'est ce pas ?

Bien sûr qu'il s'en rappelait,c'était il y a 2ans, trois jours après sa mort...,cela avait suscité une embrouille entre elle et Andrea qui n'était pas du même avis,pour cette dernière c'était lâche de prendre des congés après ces funérailles.

-Et bien ,comme il faisait beau j'ai décidé de visiter la ville,c'était une ville magnifique qui regorge pleins de surprise de ma....

-Vient donc au fait maman;la coupa Ares impatient.

Elle se leva et fit les cent pas en continuant à parlé avec sérieux cette fois ci :

-J'avais demandé à Pablo s'il pouvait accélérer puisque je devais me rendre  à un rendez vous avec un médium très réputé et qui avait faire escale à Londres;pablo était le chauffeur personnel de sa mère;et sans qu'on ne s'y attentent une fille  traversait la route sans même avoir pris la peine de regarder..

Suzanna s'interrompit,voyant le soudain silence de son fils et son visage inquiet,et c'était étrange pour elle car le connaissant il ne laissait jamais ses émotions prendre le dessus  même depuis son enfance,c'est pourquoi les journalistes le qualifiait de statue de mabre,Élisa en était responsable?.

-Tu vas bien mon fils ?

Non ça ne va pas!;aurait il voulu crié ,cette histoire le rappelait trop de mauvais souvenir,c'était difficile de feindre l'ignorance.

-Je vais bien,tu peux continuer ne t'inquiète pas maman.

Son visage s'adoucit à cette remarque et ,il se dirigea vers la fenêtre afin d'éviter de perdre le contrôle de ses sentiments,ce qui était une mauvaise idée puisque Élisa se trouvait dans le jardin avec Andrea entrain de prendre le déjeuné tout en souriant sûrement à cause d'une blague de cette dernière ,la soirée d'hier lui revint en mémoire et malgré lui il sourire,"Qu'es que tu es entrain de me faire Élisa" .

-Si tu le dit,donc elle n'avait même pas faire attention avant de traverser la route,heureusement que Pablo à freiner assez vite sinon je ne saurais t'expliquer,je n'était pas dans mon état normal à cause..de..sa mort.

Suzanna se rappela du jour de cette mort,elle avait dû passé 1ans de dépression avant de faire son deuil,ce jour avait été désastreux,malgré que cela faisait 2ans rien que dit penser cela la tourmentait.

-Je le sais;dit il toujours les yeux rivé sur la belle brune qui rougissait sous ses yeux,elle était magnifique.

-Je disais donc quand je suis sortie de la voiture je lui ais asséné une bonne  gifle,encore et encore.
jusqu'à ce que Pablo me retienne pour que je cesse mes coups,et s'en que je m'y attend elle m'a gifler,tu t'en rends compte Ares cette peste ma giflée moi Suzanna Barberá fille héritière d'Enrico Manches,une fille de rien du tout ose me giflée.

-Pardon!

TU M' APPARTIENTS...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant