TU M' APPARTIENTS...

Chapitre 18

-Qu'est ce que tu fais Élisa;Nous sommes en retard en plus tu n'as pas encore mise ta robe!;lui dit son amie  Kareen,qui venait d'entrée comme une furie suivie de sa cousine,qui en passant était son témoin,et de sa belle sœur,celles-ci portaient la même robe,une robe belge avec de la dentelle au niveau des épaules et le dos nu.

-Je pensais;dit elle en cachant la lettre qu'elle avait reçu ce matin,où on lui avait bien faire comprendre que sa vie était compté et qu'elle ferait de se méfier.

-C'est pas le moment,il faut qu'on y aille;la coupa-telle en allant chercher sa robe pour la lui donner;Dépêche toi Élisa,on a déjà  5 minutes de retard.

-Mais calme toi,tu la stresse voyons,et nous aussi ;la reprimanda Andrea.

-Tu as tout à faire raison,tu te calmes maintenant Kareen.

-Mais nous...

-Kareen!

-C'est bon je me calme,excuse moi Élisa,c'est juste que je stresse moi aussi.

-C'est pas grave,en plus tu as raison nous sommes en retard,je vais mettre ma robe.

Sur ces mots elle alla mettre sa robe de marier,celle-ci avait été retouché et lui allait à merveille,c'était une robe coupe sirène à décolleté en coeur et dos nu,descendant  en cascade le long d'une jupe délicatement parsemé de lignes de broderie tissée;avec une longue traine et un long voile;Élisa se sentait unique dans cette robe.

-Tu es M-a-g-n-i-f-i-q-u-e;la complimenta Kareen émerveillée en rodant autour d'elle.

-Oh non,elle est incroyablement splendide tu veux dire.

-Moi je dirais plutôt que ma belle sœur est plutôt éblouissante.

-Oh les filles arrêté avec vos jeux de mots vous allez me fait rougir si vous continuez.

-C'est pourtant la vérité.

-Alors merci;murmura Élisa en leur offrant un sourire qui se voulait joyeux car elle ressentait toujours cette peur dans la poitrine.

-Élisa qu'est-ce qui ne vas pas?lui demanda Amanda voyons que sa cousine avait un sourire de façade,mais elle l'a connaissait tellement qu'elle savait qu'elle avait peur,Élisa détourna le regard afin d'empêcher sa cousine de voir encore plus la souffrance qui avait faire domicile dans ses yeux,elle était malheureuse oui,mais sa décision était prise.

-T'inquiète pas,je suis juste épuisé de la tournure des événements.

Amanda soupira de mécontentement,Élisa avait la fâcheuse habitude de garder ses problèmes  pour elle toute seule,au lieu de se confier à quelqu'un,Mais elle ne disait jamais rien.

-Sache que je serais toujours là pour toi.

Pour toute réponse elle l'a prit dans ses bras,heureuse d'avoir au moins un membre de sa famille à ses côtés malgré cette menace.

-Excuser moi les filles de vous interrompre mais nous devons y aller.

-Je suis prête!
En son fort intérieur Élisa cherchait à savoir si il n'y avait pas eu un autre moyen au lieux qu'elle accepte ce mariage,mais elle ne pouvait pas revenir en arrière même si elle le voulait,elle avait promis de s'occuper de la bibliothèque de sa grande mère quelques soit le pris à payer,et c'est ce qu'elle allait faire.
Son seule regret dans cette histoire c'était l'absence de ses parents surtout son père car il aurait dû être la personne qui devrait l'accompagner devant l'autel et non son beau père.

                       ☆☆☆

Lorsqu'elle entra au bras de son beau père dans l'église accompagné de ses demoiselles d'honneur et de Maria  sous la musique traditionnelle du mariage, Élisa fut tout de suite impressionnée par le décor de l'église,il y'avait un tapis de cérémonie blanc parsemer de pétales de rose rouge et doré, de la même couleur que son bouquet de mariage le long de l'allée centrale avec des bougies dans des vases haut celles-ci étaient disposés de manière à créer un chemin de lumière le long des marches menant à l'autel,des compositions florales magnifique avec des guirlandes de lierre étaient  accroché aux dossiers des chaises qui bordent l'allée centrale,Élisa en était émerveillée,il fallait l'avouer Ares avait bon goût,mais elle aurait voulu aussi mettre sa touche personnelle aussi dans cette décoration,elle qui avait pensé qu'il ferait au moins un mariage simple,elle en était déçu car la moitié des personnes présentes lui était  inconnue.