Chapitre 24

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Solène

La journée est passer assez rapidement. Aaron ma donc raccompagner chez Bianca après avoir étais dîner ensemble. Je suis à peine dans mon lit, que je reçoit un SMS de sa part :

« J'ai passais, une superbe journée. Que dis tu d'une journée tous aussi mémorable que celle ci demain ? »

Je sourit rien cas lire son message.

« J'ai moi aussi passée une super journée et je t'en remercie. N'a tu pas autres choses à faire que de rester avec moi ? »

« Ne me remercie pas, c'était avec un grand plaisir ! J'aime être avec toi ! »

« Et j'aime aussi être avec toi, Aaron. Mais, nous sommes en vacances. Profite de ta familles. Tu me voit assez au bureau ! »

« J'en ai jamais assez de te voir ma belle ! Et ma familles et habituer à ne pas beaucoup me voir. Alors, est ce que tu accepte mon invitation de demain ? »

Je réfléchis. Mais, rien que l'idée d 'être rien que tous les deux demain, me donne le sourire.

« D'accord!J'accepte ! Qu'elle heures dois-je me tenir prête ? »

« Super ! Tu ne va pas le regretter ! Je passe te chercher à 9h00, nous avons un bout de route à faire ! Mais, je ne te dirait rien de notre destination, petite curieuse ! A demain ! Je t'embrasse ! »

« A demain ! »

Je repose mon téléphone sur ma table de chevet après avoir mis mon réveille à sonner.


Le lendemain matin, je suis en pleine forme, il est huit heures trente quand je sort de la salle de bain. Comme Aaron, n'a pas préciser ou nous allions. J'ai opter pour une jeans, débardeur blanc e tchaussure compenser. J'ai pris ma paire de converse dans mon sac au cas ou. Je ne fais aucun bruit, puisque tous le monde dort encore.J'enfile ma veste en jeans assorti avec mon pantalon et sort .Je préfère attendre Aaron dehors.Bien sur, j'ai prévenue de mon absence à Bianca la veille. Je la voit encore sourire de toutes ses dents, quand je lui ai dit que je passer la journée avec son cousin.

Dix minutes plus tard, Aaron ce gare face à la maison. Je le rejoint, il m'ouvre la portière, je ne sais pas trop ce que je doit faire.Alors, je lui sourit et le remercie. Sur la route, je le voit un peu anxieux.

– Aaron ?

– Oui ?

– Tu n'a pas l'air bien !

– Pourquoi, dis tu cela ?

– Tu es anxieux !

– Anxieux ?

– Oui, tu à ton air réfléchis et te mord le coin de la lèvres, comme quand tu es anxieux.

– Je me demande si ce que j'ai prévue va te plaire !

– Tant que je suis avec toi, Aaron ! Le reste n'a aucune importance !

– Je l'espère. Répond il avec un petit sourire timide.

Un moment plus tard, il ce gare. Ce tourne vers moi et encre son regard au miens.

– Pour que ma surprise soit entière, je vais te bander les yeux !

– Euh...OK !

– Promets moi, de ne pas fuir, ou ne pas me détester après cela !

– Tu me fait peur là !

– S'il te plaît !

– D 'accord !

Il sort de sa poche arrière un bandeau noir et me le pose sur mes yeux.Je suis alors dans la pénombre. Aaron redémarre. J'essaye de me concentré sur la route, les odeurs, les bruits. Une dizaine de minutes plus tard, la voiture s'arrête. Je l'entend soupirer.

– Voilà, nous y sommes. Je viens t'ouvrir ne bouge pas !

Je reste bien sagement dans mon siège. Impatiente de découvrir ce qu'il veux me montrer. Ma portière s'ouvre il me prend la main et m'aide à sortir. Je suis alors face à lui les yeux bander, mes sensations sont décupler.

– J'aurais préférer te voir les yeux bander dans d'autres situations, mais passons.

Je souris rougissante à ses propos. Il me retourne dos à lui, je peux sentir ses muscles bouger en même temps que nous avançons. Nous stoppons, et pose ses mains sur mes hanches. Il approche sa bouche à mon oreille :

– Nous y sommes ! Promets moi de ne pas fuir...

– Aaron ! Enlève moi ce bandeau, je n'en peux plus d'attendre !

– OK !

Il soupire, et enlève le nœud derrière ma tête. Le bandeau enfin enlever, j'ouvre péniblement les yeux me réhabituant à la lumière du jour. J'ai les yeux fixer sur mes pieds, nous sommes sur une allée de gravier blanc. Je cligne plusieurs fois des yeux et relève la tête. Mon cerveau mets un moment à assimiler ce que je vois. Quand,j'ai enfin compris, mon cœur ce serre et les larmes me monte aux yeux.

Je suis devant la maison de ma grand-mère. Je me tourne vers Aaron, etle pousse violemment.

– Comment as tu pu ?

– Solène....

– Je ne peux pas...Tu ne peux pas....Dis je en laissant mes larmes couler.

– Solène...Tu étais si triste...J'ai cru bien faire...Écoute, je suis sûr que si tu va voir ta grand-mère, elle sera heureuse de te voir.

– Comment peux tu le savoir?

– Une grand-mère, n'est jamais en colère contre ses petits ! Toi même tu à dis, que tu devait tourner la page. Ne le laisse pas gagner Solène. Retrouve ta familles, fait lui voir, qu'il n'a pas réussit à te brisée entièrement.

Je le regarde en larmes. Il s'approche de moi et me prend dans ses bras.J'enfouis ma tête dans son cou et il me berce.

– Ce n'étais peux être pas le moment, j'ai cru que cela te ferait plaisir. Je peux être con parfois. Vient, je te ramène.

Je ne proteste pas, et nous redirigeons vers la voiture, quand une voix fine et rocailleuse nous interpelle. Je me fige, un instant. Aaron,pose son regard sur moi. Et me fait signe de ce retourner. Je soupire, un grand coup et me retourne. Ma grand-mère ce tiens sur le perron, nous regardant.

– Que puis-je....Solèna ?

– Abuelita!(Mamie!)

–  Soléna, mi niña.

Je me rapproche d'elle doucement. Une fois à sa hauteur, elle lève sa petite main frêle et la pose sur mon visage.

– Soléna!

– Si!

Ses larmes, ce mettent à couler et nous nous prenons dans les bras. Les bras de ma grand-mère mon tellement manquer, je laisse couler toutes ma peine et ma joie de la retrouver après tant d'années. 

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