Le son de la cloche fit un écho dans sa tête. Il s'efforçait de gardait la tête haute et de ne pas montrer son visage manger par l'effroi. Asuma en était sur, le plan avait raté; la malédiction est vraie. Devant la porte de sa salle, il entendit ses élèves chahutaient, dans plus au moins en bonne ambiance. Le professeur inspira un grand coup et fit éruption.
-Bonjour, belle journée n'es-ce pas?
Il se mordit la langue, c'était bien là, l'un de ses plus gros mensonges.
-Temari, Shikamaru j'ai as vous parler, de votre retenu d'hier, venaient avec moi dans le couloir.
Les deux élèves le suivaient sans broncher. Ils avaient tous deux compris la réel intention de leur professeur.
M.Sarutobi voyait la mine fatiguée et accablée de Temari. Son visage sérieux avait laissé place à un air maussade et funèbre. Shikamaru tenait sa main sur son épaule. Depuis la mort du petit Choji, ses deux la s'étaient grandement rapprochés, et ici encore, un nouveau point communs les rassemblés: cette peine immense du à la perte d'un être cher.
-Je suis désolé, vous êtes au courant...
-Oui nous le sommes, et nous avons la suite. On est peut être accablé mais on reste fort.
Le brun coupa son professeur, déterminé il reprit de plus belle.
-On vas leur annoncer, les mettre en garde.
-On as déjà d'autres pistes, il existe un moyen de l'arrêter.
La blonde s'était enfin exprimée, malgré les larmes retenu dans ses yeux, elle tenait sa promesse: rester forte.
-Vous ne penser pas que c'est trop tôt pour leurs annoncer, il vont paniquer et...
-Trois morts dans la même semaine c'est un peu gros. Le jeune garçon lui avait de nouveau volé la parole. Et de plus, Rock et Tenten ont étaient témoins.
-Bien, c'est à vous de gérer ça, pas moi.
Asuma voulait à tous prix se débarrasser de tous ça. Il profita alors que les deux jeunes soit « responsables du plan » pour leurs donner la tâche d'informer leurs camarades.
-Je vais vous laisser un instant. Je reviens d'ici vingt minutes.
Le professeur fis volte-face laissant les deux adolescents dans le couloir. Il marchais vite, pris par une nausée de dégoût et de peur, la seul chose qu'il voulait était de fuir.-Les gars, la blonde tapa du poings sur le bureau, attirants ainsi l'intention de tous, On doit vous dire un truc.
Shikamaru pris l'une des craies et se mis à marquer au tableau:
Choji Akimichi
Shino Aburame
Kankuro No Sabaku
Écrire ces noms étais pour lui une torture, surtout celui de son défunt meilleur ami.
-Voici les trois première victimes de la malédiction.
Ces simples mots suffisent pour abasourdir la classe entière. Certains criaient, d'autres pleuraient, quelqu'uns avaient simplement les yeux écarquillés ou étaient restés de marbre. Chaque réaction fus différentes.
-Calmez vous! On as déjà des solutions. Temari et moi avons un plan B. On nous as communiqué qu'il y a un moyen de stoppé la malédiction.
-Balivernes, c'est des coïncidences voilà tout. Shino en avait marre d'être seul, donc il s'est suicidé comme ton frère blondasse, il subissait du harcèlement surtout à cause de son maquillage de tapette.
La blonde serra le poing et voulu se diriger vers Kimimaro mais Shikamaru lui en empêcha, en lui tenant fermement le poignet.
-Hé! Il cherche à te déstabiliser, ne l'écoute pas.
Il lui murmura ces mots à l'oreille. Elle baissa la tête et se rangea derrière lui.
-Faites attention à vous et soyez plus prudent, c'est...
-Pourquoi ta pas dis ça au gros alors?
La voix de Sakon lui avait fait naître une rage folle, il s'avança dangereusement vers celui-ci, déterminé à lui en mettre une. Même Temari n'avait pas réussi à le retenir et ce n'est que grâce à l'intervention de Neji, que le brun se stoppa.
-Tous nos nerfs sont en ébullition, ignore ses propos et ne t'abaisse pas à son niveau.
Dans la classe, régner une ambiance lugubre et tendu. Une fille à long cheveux blond cassa ce silence malsain.
-Shikamaru et Temari ont parlé du plan B, il y a une solution, c'est plutôt un bon signe. Pas vrai?
Elle même ne paraissait pas convaincu par ce qu'elle venait de dire mais elle essayait de redonner espoir à ses camarades désorientés.
-Elle as raison, et cette fois-ci on va pas vous laisser tous seuls, on va vous aidez! Dit la rose en soutient à son amie.
-Oui qu'est-ce qu'on peut faire! Lança le blond déterminé.
Temari leur parla des indices cacher dans le lycée et presque tous c'était mis d'accord pour aller les chercher. Ils se devaient de les trouver.
-Enfin de la cohésion. Souffla kiba avec un léger sourire anxieux.La discussion avait durée toute l'heure du cours de M.Sarutobi, et il n'avait même pas daigner se repointer. Lorsque la sonnerie retenti, tous quittèrent la pièce en direction de celle de leurs prochain cours. Seuls Sasuke et Temari était restée.
-Tu as dis que tu devais me dire un truc. Je t'écoute. Lança Sasuke avec un ton agacé.
-Si je me souviens bien, tu as un cousin au nom de Shisui non?
-Oui, en même temps tu devrais te souvenir de lui.
-Je m'en souviens, c'était l'année dernière quand même.
-Qu'es-ce que tu lui veux?
-J'ai besoin de lui parler.
-Lui aussi d'ailleurs. Et moi aussi.
La blonde laissa un long silence.
-Tu dois arrêter de fuir comme ça! C'est vraiment chiant.
Le jeune garçon au cheveux noir jais avait haussé le ton. Il l'attrapa par le bras pour enfoncer son regard dans le sien.
-J'ai bien droit à des explications. Et d'ailleurs tant que tu n'aura pas répondu à ma question, je te mènerai pas à lui.
Temari réponda à sa provocation et le fixa que plus intensément.
-Avec toi, je n'avait plus aucune confiance en moi. Tu croyais que je ne te voyais le regarder h24. Tu me prends pour qui hein? C'est toi le fautif pas moi.
-Mais c'est toi qui y a mis fin...
-Pff tu cache ta vrai nature, j'étais juste ta couverture.
Temari se détacha de lui, elle s'apprêta a quitter la pièce, quand Sasuke s'écria:
-Mais je t'aimais vraiment moi.
-Mensonges! Tu l'as eu ta réponse, maintenant amène moi à lui.
Déterminée, elle le laissa béa et sortit de la classe.
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FanfictionLa classe 1-6, Dites maudite. En 1998 une élève de cette fameuse classe trouva la mort dans un incendie: Rin Nohara. Admirée de tous ses camarades, en plein déni, ces derniers décidèrent d'agir comme si elle était toujours parmi eux. Aujourd'hui ce...