MALIYAH CHAO- La semaine d'après....
. Flashback .
Je prends le cocktail de fruits que me propose l'hôtesse de l'air en la remerciant, puis pars m'assoir dans l'un de ces fauteuils trop confortable du jet privé.
- Maliyah, je kiffe ton gars, me dit Melya.
Je rigole.
- C'est pas mon gars, lui rappelais-je.
- Pas encore. Non mais sérieux, s'il te demande d'être sa meuf, t'accepte direct hein ! Téma tout le fric qu'il a, dit-elle en s'asseyant en face de moi.
- T'es trop bête, rigolais-je légèrement.
- Bonjour, appelez moi Fallon Carrington je vous pris, imite t-elle un accent bourge.
- Tu m'épuise, secouais-je ma tête.
- Les chocolats coûtent sûrement plus chers que mes chaussures, dit-elle en en prenant un. Putain, les chocolats des riches n'ont pas le même goût que les autres. Tu penses qu'il mettent de l'or ou un truc du genre dedans ?
- Sûrement, avec un peu de diamants pour le goût.
On rigole.
de Mballet :
Bien installée ?à Mballet :
Tu rigoles ? Les fauteuils sont plus confortables que mon lit !Et puis, bien joué le coup du Bora Bora.
de Mballet :
😂😂😂T'inquiètes 😉
à Mballet :
Range ton clien d'œil aussi làde Mballet :
Dans ma poche gauche ou droite ?à Mballet :
Dans ton cul !de Mballet :
C'est méchant ça !Je rigole.
- Oh Maliyah ! claque t-elle des doigts
-... Mh ? sortais-je de ma rêverie
- Et bah dis donc, ce Kylian te fait perdre la tête. J'espère que c'est un gars bien.
- Crois moi, ça l'est.
...
Je remets correctement mon écharpe avant d'avancer vers la voiture qui nous attend. Celle-ci nous emmène jusqu'au stade dans lequel nous entrons sans grande difficulté avant de se rendre à nos places.
- Il faut à tout prix que je prenne un snap, regarde comment on est bien placé, s'excite Melya.
Je rigole avant d'envoyer un message d'encouragement à Kylian, puis je me reconcentre sur le terrain lorsque le speaker annonce l'entrée des joueurs sur celui-ci.
...
- Melya ? Sérieusement ? Melya ? C'est elle la personne que tu as choisi pour t'accompagner ? s'énerve Kylian alors que nous sommes dans les couloirs du Stade
- Oula, bonjour d'abord. Ça va ? Moi aussi t'inquiètes. Je trouve que t'as fait un excellent match ! Enfin... j'peux pas trop te le dire, mais vu comment les spectateurs criaient ton nom, t'as dû être excellent.
- J'suis sérieux là Maliyah, crache t-il sèchement.
- C'est ma meilleure amie Kylian, soufflais-je.
- T'as pas de frère et sœur ? Ou fallait venir seule. On est mieux seul que mal accompagné à c'qu'on dit.
- T'es sérieux là ? J'prends la peine de faire le déplacement de Paris jusqu'ici et toi tout ce que tu trouves à faire, c'est de me faire la moral ?
Il se gratte le sourcil droit, gêné.
-... Pardon... je... Désolé. T'as raison, je devrais être content que tu sois là avec moi et pas m'énerver après toi. Mais... c'est le fait que t'es pardonné Melya après tout ce qu'elle t'a fait aussi... ça m'énerve.
- Comme je te l'ai dit, c'est ma meilleure amie Kylian, répétais-je.
- Et alors ? Donc sous prétexte que ça soit ta meilleure amie tu dois lui pardonner toutes les pires crasses qu'elle te fait ? J'ai l'impression que t'es sous son emprise Maliyah. Et que du coup, au moindre truc tu vas le lui pardonner.
- Bon, et bien le match est fini. Alors... je pense que je vais rentrer chez moi, dis-je déçue.
Je lui tourne le dos avant de partir en croisant mes bras sous ma poitrine. Ce qu'il m'a dit m'a plus déçu qu'énervé. Surtout venant de sa part...
- Non ! Attends Maliyah ! me rattrape t-il
- Quoi ? Qu'est-ce que tu me veux Kylian ?
- Je suis désolé.
- T'es toujours désolé, levais-je les yeux au ciel.
- Je... Accepte de venir manger au restaurant avec moi, pour me faire pardonner. S'te plait.
- Je...
- Laisse moi quinze minutes, me coupe t-il. Le temps que je prennes ma douche.
. Retour au présent .
- Comme d'habitude quand je suis en compagnie de Kylian, j'ai passé ma soirée à rire et à sourire. C'est dingue... j'ai l'impression que... Que Kylian est une sorte de boîte à bonheur et que j'y plonge la tête la première.
- Il est ta boîte à bonheur, appuie Amira.
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Quatre-vingt mille euros || Kylian Mbappé
Fanfic« Il me manque une partie de moi ! » lui avais-je dis en pleurant « Je peux te la remettre si tu veux. » m'avait-il répondu « Tu as près de quatre vingt mille euros ? » Il avait rit. Sûrement dû à ma réaction ou à ma question. « Oui, avait-il comm...