MALIYAH CHAO- Donc, si je résume bien la situation. Melya la sorcière a voulu te tuer, Kylian le prince charmant s'est mit en colère pour toi et tu t'es livrée à lui, résume Amira.
- C'est ça, je rigole.
- Je crois que t'es décidément ma patiente préférée, rigole t-elle me faisant rire à mon tour.
. Flashback .
Hier, Kylian est repartie après que je me sois endormie. Nous avions passé la soirée à parler et rigoler.
Il m'a fait oublier la situation et surtout, malgré ce que je lui ai raconté, il ne m'a pas traité d'une manière différente, ce qu'a fait tout le reste de ma famille.
Je décide donc de lire un des articles sur Kylian et moi quand on toque à ma porte.
- Salut 'Liyah, me sourit-elle grandement.
Je pose mon téléphone et fronce les sourcils en la voyant.
- Attends, t'es sérieuse de te pointer après tout ce que tu m'as fait ? m'énervais-je
- Je sais... et j'en suis désolée Maliyah, me dit Melya.
- T'es désolée ? Désolée dis-tu ?
- Oui...
- Mais tu te fou de ma gueule là Melya ? Tout ce qu'il m'arrive à l'heure actuelle est à cause de toi !
- N'abuse pas non plus !
- Pardon ? Parce que c'est moi qui ai voulu aller en boîte alors que j'en ai même pas l'âge ?
- Tu as pas dis non.
- Mais parce que tu m'as forcé !
- Parce que c'est moi qui t'ai arraché tes deux reins peut-être ? me demande t-elle
- Non. Mais, moi je n'aurais jamais laissé ma meilleure amie complètement pompette, en boîte avec cinq gars qui ont trois fois son âge.
- Je...
- Ce n'est pas moi qui ai admiré la décomposition de ma meilleure amie en souriant et en racontant ma petite soit disant parfaite, la coupais-je.
- Tu...
- Ce n'est pas moi qui ai volé le crush de ma meilleure amie, et qui suis venue raconter mes ébats avec lui à ma meilleure amie hospitalisé.
- Mais...
- Et surtout, ce n'est pas moi qui ai voulue tuer ma meilleure amie.
- Je... elle se tait et se mord la lèvre.
- Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter une meilleure amie pareil ? Que t-ai-je fait pour mériter tout cela Melya ?
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Quatre-vingt mille euros || Kylian Mbappé
Fanfic« Il me manque une partie de moi ! » lui avais-je dis en pleurant « Je peux te la remettre si tu veux. » m'avait-il répondu « Tu as près de quatre vingt mille euros ? » Il avait rit. Sûrement dû à ma réaction ou à ma question. « Oui, avait-il comm...