sunflower | xxxtentacion [PAUSE]

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C'est la bonne.
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Moi : -imite- C'est la bonne, cancancan. Bro', ça fait que deux semaines que vous vous connaissez !

Stokeley : Et alors ? Tu veux que je te rappelle en combien de temps tu la fourrée elle ?

Geneva le regarde choquée.

Geneva : Fais comme si je n'étais pas là surtout.

Stokeley : -lève les yeux- Ouais enfin bref, j'en suis sure que c'est la bonne gros. Elle est tellement douce, gentille, bienveillante et j'en passe que j'suis piqué d'elle.

Moi : En deux semaines putain...

Stokeley : Pfff, toi de toute façon tu ne connais rien en l'amour.

J'arque un sourcil et fis un rire nerveux en entendant la réplique de Stokeley.

Moi : Ptdr, mais je rêve là.

Stokeley : Pfff, laisse tomber.

Il s'assoit sur le canapé d'en face. Il soupire.

Stokeley : Elle est super fan de tes sons en plus.

Moi : -souris- Sérieux.

Stokeley : Je te jure, elle kiffe. Elle t'appelle heroinfatherxxx, genre t'es une star des grandes scènes. Elle te surkiffe j'te jure.

Geneva : Mais faut qu'elle se calme celle-là. C'est moi la plus grande fan de Jahseh.

Stokeley : Boucles-la toi.

Je lâche un ricanement.

Moi : Bah je fais un petit concert dans une boîte de nuit pas loin d'ici vendredi 8. Tu pourras l'inviter si tu veux.

Geneva me regarde surprise.

Geneva : Boîte de nuit ?

Moi : Bah ouais.

Geneva : -rit nerveusement- Tu ne vas bouger pas d'ici mon coco.

Moi : -ris- C'est une menace ?

Geneva : Non, une promesse alors tu vas bien laisser tes fesses ici.

Stokeley rit à gorge déployée.

Moi : Geneva casse pas la tête s'il te plaît.

Geneva : T'as vu toutes les pétasses qu'il y aura là-bas ? J'en suis sûre que tu vas croiser l'autre Hariann là.

Je souffle d'agacement, j'enlève la tête de Geneva de mon épaule.

Moi : Putain, commence pas merde !

Geneva : Pourquoi tu t'enjailles là ?

Moi : Tu fais chier avec Hariann, tu veux pas la laisser tranquille ? Elle t'a fait quoi pour que tu sois aussi à fond sur elle ?! Laisse-la !

Geneva : Pourquoi tu la défends tout le temps elle ?! Tu prends sa défense comme si c'était elle qui attendait un enfant de toi !

J'ouvre grand mes yeux à la fin de phrase. Je me décontracte complètement et souris de joie.

Mon coeur palpitait, ma respiration était saccadée. J'étais tellement surpris que les papillons virent prendre place dans mon ventre.

Moi : C'est vrai ?!

Geneva : -sourit- À ton avis ?

Et je saute dans ses bras en la serrant fort dedans. J'étais tellement heureux.

Moi : Je t'aime, je t'aime, je t'aime !

Je lui fis milles bisous dans le cou avant de me diriger vers Stokeley et d'enlever les écouteurs qu'il avait dans les oreilles.