Beurk était une terre où le bonheur régnait depuis que dragons et vikings vivaient en parfaite harmonie, grâce à l'amitié de Valka et Jumper.
Une conciliation fragile existait entre les Peuples des Dragons et les Guerriers de Sang. Harold avait qui...
Harold s'allongea sur le dos de Krokmou, une main sous sa tête, sa main gauche caressant doucement l'aile de la Furie Nocturne. Un grognement retentit soudain dans le ciel, alors que Krokmou redressa les oreilles intrigué.
— Ha je crois que les renforts sont arrivés, dit Valka.
Harold se redressa et quelle fut sa surprise quand il vit Tornado et Ombre-Tueur en face de lui. Il eut un sourire jusqu'aux oreilles, et appela, par leur prénom Mille Tonnerre et le Gronk vert. Il songea que les bébés de Tornado étaient restés avec la compagne de ce dernier. Une ombre le cacha soudain, le garçon releva la tête.
— Torche, s'exclama-t-il en souriant d'avantage.
Le Typhonmrang baissa la tête, et regarda le jeune homme intrigué. Krokmou tira la langue tout heureux de revoir ses amis dragons. Ils étaient habitués à les croisés dans le ciel lors de leur vol quotidien, à Beurk.
— Oh mon Thor, je suis tellement heureux de vous revoir. Vous m'avez manquez. Ça me manque tellement les vols avec vous, dit Harold ému.
— Au lieu d'aller aux entraînements des jeunes combattants, lâcha Stoick.
Harold se retourna surpris vers son père et un sourire gêné se forma au coin de ses lèvres. Tornado poussa gentiment son épaule et le garçon pris la tête du dragon dans ses bras. Krokmou tira la tête et grogna agacé.
— Oh je t'en pris mon grand, ne sois pas jaloux, râla Harold, agacé de la possessivité de son dragon.
Valka rit amusée par la petite chamaillerie entre son fils et son dragon et soupira heureuse.
— Quand je suis là haut, je ne ressens même plus le froid, je me sens...
— Libre, termina Harold.
Valka tourna la tête vers son fils et lui fit un grand sourire surprise, alors que Harold lui rendait son sourire. Stoick sourit doucement aussi, son fils et sa femme étaient tellement semblables.
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Les nombreux bateaux accostèrent sur l'île Valkyria. Les vikings s'affairaient sur le pont en transportants des blessés dans des brancards ou en déchargeant du matériel. Harold se trouvait au bord de la rembarre avec Astrid et le jeune homme reconnu les parents de la jeune fille sur le port. Harold interpela Astrid et lui montra ses parents d'un signe de tête. Les yeux d'Astrid s'humidifièrent, elle n'était pas du genre à pleurer, mais ça allait faire huit mois qu'elle n'avait pas vu ses parents et qu'elle vivait avec son oncle Finn Hofferson, qui était pêcheur, sa tante Rita, et son cousin de douze ans, Robin. Astrid sauta du bateau en passant par dessus la rembarre. Elle courut entre les hommes et femmes, qui portaient du matériels et des caisses, et sauta au cou de son père.
— Oh ma petite guerrière, s'exclama son père heureux de revoir sa fille.
— Oh ma chérie, tu m'as manqué. Tu vas bien ? demanda sa mère.
