22. 👨‍❤️‍👨 🌍

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- Ce boxer là te va parfaitement bien, pulcino mio. Ça fait ressortir ton cul... Dit Enzo en lui touchant les fesses, puis les parties intimes. Mais je te préfère sans...

Fabio décida de ne pas se laisser embrasser par le garçon, il ne l'aurait pas aussi facilement. Après tout, il avait encore à se faire pardonner. Il fit couler l'eau de la douche et se mit dedans, suivit par un Enzo bien décidé à lui faire sa fête.

- Je vais te montrer à quel point je suis désolé, Fab'... Je t'aime et tu le sais... Lui dit-il en agrippant son cou afin de l'embrasser avec fougue, sa langue se posant sur celle de son petit-ami caché.

Fabio se retourna afin de lui offrir son derrière, il était bien trop faible pour résister à cette bombe humaine et puis c'était l'occasion idéale d'oublier les soucis.

- Non, je veux voir ton visage pendant qu'on le fait, dit Enzo en crachant sur son propre pénis.

Fabio se retourna alors et agrippa ses bras autour d'Enzo ainsi que ses jambes. Ses yeux ne voyaient que le désir dans ceux du garçon, et c'était tout ce qui comptait.

Le jeune actif pénétra son ami d'un coup et le poussa contre la paroi de la douche en donnant de grands coups secs qui soulevèrent Fabio. Ces coups, il les avaient mérité, oh oui, ça lui avait tellement manqué !

Fabio, aux anges, murmura au garçon qu'il avait mal, ce qu'Enzo prit pour un compliment. Il se colla plus encore contre lui pour être certain de bien le défoncer et le beau bisexuel décida de stopper l'eau et de sortir de la douche. Il mit un essuie de bain à terre et se posa dessus.

Enzo se mit alors à quatre pattes, son anus à la merci du sexe toujours bandant de Fabio.

- Je suis à toi. Tout entier. Prends-moi pulcino mio... Murmura-t-il.

- Tu es sûr que c'est ce que tu veux ? Lui demanda doucement Fabio.

- Oui, vas-y, avant que je change d'avis.

Jamais, au grand jamais Enzo ne s'était donné de la sorte et jamais il n'aurait penser le faire. Personne n'était déjà allé explorer son derrière, même pas lui-même.

Fabio, lui, avait toujours été passif, à vrai dire, il n'avait jamais eu l'occasion d'être actif, et ça lui allait. Mais à la vue du derrière de son beau mâle, il se dit qu'il était peut-être temps de revoir son jugement. Enzo Golferi qui offre son petit trou bien serré à quelqu'un, ça n'arrive pas tous les jours !

Fabio décida de lui lécher le petit trou avant de commencer par lui mettre un doigt, puis deux. Il fallait bien commencer doucement...

- Allez, prends-moi... S'impatienta Enzo.

La voix suppliante et sensuelle de son amant lui fit perdre la tête. Il saisit le bassin d'Enzo et s'enfonça profondément en lui d'un coup sec.

Le jeune homme soupira de bonheur tant la sensation était agréable, alors qu'Enzo étouffa un juron. Dieu que ça faisait mal. Il avait envie d'hurler à Fabio d'arrêter maintenant et que ce soit lui qui le prenne sur le carrelage de la salle de bain. Mais c'était important, il devait prouver à son ami gay qu'il était tout pour lui.

Fabio resta un moment comme ça, enfoui en lui.

- Dis-moi quand c'est bon..., haleta le nouvel actif.

Habitué à la présence du pénis en lui, il lui fit un signe de la tête. Fabio commença de lents vas et viens pour ne pas faire trop mal à Enzo. Ce dernier peinait à reprendre son souffle entre deux cris de douleur mêlés de plaisirs.

Après une dizaine de minutes de ce manège sexy, Enzo exigea :

- Va plus vite.

Fabio ne se fit pas prier et se mit à marteler le cul d'Enzo avec force.
Soudain lors d'un coup plus fort que les autres, Enzo poussa un cri qui le fit basculer dans l'orgasme.

- Mais... Qu'est-ce que..., souffla Enzo qui ne se savait pas capable de pousser ce genre de cris.

Fabio, qui n'avait toujours pas joui, ralenti légèrement et caressa les cheveux de son amant :

- Ça, c'est la prostate mon amour, lui murmura-t-il à l'oreille.

- Mon amour ? J'aime que tu m'appelle comme ça pulcino mio... Recommence s'il te plaît.

Fabio s'y remit et frappa la prostate de son copain plusieurs fois d'affilées. Enzo peinait à masquer ses cris de jouissance, pourtant il se devait de rester discret. Il était au paradis.

Le corps de Fabio s'arc-bouta et il s'enfonça profondément avant de jouir et de répandre sa semence dans le cul du bel italien.

- Enzo... Je t'aime... Je t'aime, je t'aime, répéta-t-il en se laissant retomber sur le dos musclé d'Enzo.

Leur deux corps trempés de sueur étendus sur le sol de la salle de bain, Fabio etreignit Enzo, qui l'attira dans ses bras puissants.

Ils s'étaient enfin totalement donnés. Enzo avait mal aux fesses et aurait sans doute du mal à s'asseoir dans les prochains jours, mais il était heureux. Il avait ressenti un plaisir immense et se sentait comblé avec Fabio dans ses bras. Il ferma les yeux et s'imagina un monde où lui seul vivrait avec l'homme qu'il tenait contre lui. Le rêve.

- Je t'aime aussi, mon gros bébé, répondit Enzo en embrassant les cheveux de son colocataire.

Il avait envie d'envoyer Maria balader et de vivre sa plus belle histoire avec Fabio. Mais tout ça semblait tellement compliqué...

- J'ai hâte que tu t'achète de nouveaux boxers, j'aime ce genre de séances d'essayage.

Fabio rit en caressant le dos de son homme.

- La prochaine fois viens avec moi, et on baise dans les cabines.

- Il me semble que vous devenez un grand coquin, monsieur Fabio.

- C'est sans doute dû à votre compagnie, mon cher...

Enzo répondit en lui mettant une petite claque sur la fesse et Fabio glapit.

- Viens, pulcino mio, dit-il en se levant. Il faut qu'on y aille, je ne sais pas depuis quand on est dans cette salle de bain...

- Est-ce que tu vas lui dire un jour, Enzo ?

- Oui. Crois-moi. Je le ferai.

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Fabio, Enzo & Le MondeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant