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Manhattan, NY.
14:59.

Calista

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Calista.

L'appartement est immense, il ne rigolait pas quand il parler des deux dernière étages.

Les murs du loft son peint en noir, et le sol est dans un parquet d'un bois plutôt sombre. Deux énormes lustres en or sont accrochés au plafond éclairant la pièce. De grande fenêtres donnant vue sur presque tout Manhattan, viennent aider les lustres pour la luminosité.

Le premières étages est une seule pièce comportent un énorme salon et une cuisine vers la droite.

Une énorme statue en or vient décorée le salon, suivit d'autre sculpture et de lampes. Un énorme sofa noir remplie toute la pièce et est assortie à une petite table basse en rond fait de marbre noir.

La cuisine à l'air de contenir seulement des ustensiles chères et nouveaux, comme si personne n'avais cuisiner jamais cuisiner dedans tellement elle est propre. En faite même le salon a l'air inhabité.

Les escaliers en bois noir mènent à l'étage, là où se trouve les chambres et les salles de bain.

– Ah, je viens de comprendre le "deux dernière étages". Je dis

Ed rigole et au même moment ou le téléphone de Calum sonne.

– Je dois y aller, si tu as besoin de quelques chose demande à Ed. Il dit en remontant dans l'ascenseur

Je me retrouve avec Ed, et nous nous regardons dans le blanc des yeux.

– Tu pense que je peux avoir une toile? Je sort

– Une toile? Pour faire de la peinture? Il me demande confus

– Ouais, grand format. Je dis en ouvrant ma valise pour y sortir mes pinceaux et ma peinture

Il termine son appel et les minutes qui suivent du personnel vient apporter une toile et un portant. Je les remercie et les regarde quitter le domicile.

– Si t'as besoin de quoique se soit je serais dans le bureau en haut. Sourit il

Je lui fait un signe de la tête avec un sourire en échange et me tourne directement vers la toile. Je connect mon téléphone à mon enceinte et met ma playlist en marche. Je me place devant la toile, respire un bon coup et commence à peindre.

Quant je peints une sensation étrange vient me parcourir le corps. Même si la musique continue à jouer, j'ai l'impression qu'il ne reste plus que moi, mon pinceau, mes couleurs, et la toiles. C'est comme si pendant un certain l'apse de temps mon esprit contrôlait tous mes faits et gestes. Certaines fois je peux rester là des heures sans me rendre comptes de se qu'il se passe, et certaines fois je peint que pendant quelques minutes. Ça dépends vraiment de mon inspiration et de mon environnement.

Après se qui me parait comme une bonne heure, je m'arrête et regarde la toile. Il n'y a que la background de commencer, un mélange de noir et de bleu foncer, comme les couleurs du ciel pendant une nuit étoilée. Bien sûr la toiles ne resemble que à un bout de papier recouvert de bleu et noir. Même si ce n'es que  la première fois que je peins sur une toiles aussi grande, je sens qu'elle dégage un sentiment nouveau. Similaire à celui de—

– Tu t'es enfin arrêté? Dit une voix rauque dans mon dos

Je sursaute et trouve Calum sur le canapé entrain de pianoter sur son ordinateur, lunettes sur le nez. Les étoiles se sont lever dehors accompagné par la lune, nous obligeant à allumer les lustres.

– Il est quel heure? Je demande en voyant que mon téléphone n'a plus de batterie

– 23 heure. Dit il de manière nonchalante

– Quoi? Je sors sur le ton de la surprise en laissant ma tête s'avancer un peu vers le bas

C'est la première fois que je peints aussi longtemps. C'est vrai que la toile est grande mais quand même.

– J'ai essayé de t'arrêter mais t'écoutais pas, alors j'ai laisser tomber. Dit-il sans même lever les yeux vers moi

– Kat va me tuer. Je dis en recouvrant mon visage de mes mains

Il ferme son ordi et se lève. Je me rends compte qu'il ne porte plus son costar mais un t-shirt blanc simple qui montre la forme de sa musculature, et un jogging gris nike. Ses cheveux sont arrêter dans un cerf tête qui permet de ne pas les laisser tomber sur son visage.

Cette vision de lui-même trouble un peu. Lui qui quelques heures plutôt ressemblait à un homme d'affaires, ressemble maintenant à quelqu'un de beaucoup plus décontracté et accessible.

Il s'approche de moi les mains dans les poches et admire ma peinture.

– Qu'est-ce que c'est? Dit-il l'air intrigué

– Monsieur Reynolds ne serait pas en train d'accordais de l'importance à quelques chose fait par une personne sans importance? Je dis l'air faussement surprise

Il m'observe de toute sa grandeur, et me regarde droit dans les yeux. Il les plisse légèrement et repose ses yeux sur ma toile.

– Même les choses les plus insignifiantes peuvent crée des merveilles. Dit il d'un ton froid

– Je vais essayer de le prendre comme un compliment. Je dis en rigolant

Ce gars est tellement chelou que ça en devient drôle. Il a seulement 26 ans et il se comporte comme si il en vaut 40, c'est plutôt amusant.

– Pour répondre à ta question je sais pas encore. Je sort en admirant de même la toile

– C'est toi qui peints non? Rétorque t-il

– Quelque part oui, mais c'est plus mon imagination qui a le contrôle. Généralement je laisse mon esprit me guider et me rend compte de se que je peints seulement quand je suis au milieu de la toile. Je réponds

– Une intuition?

– Toi.

– Moi? demande t-il légèrement surpris et confus

– Ouais, c'est plutôt sombre et glaciale. Je trouve que ça te ressemble assez.

– Ça a pas vraiment l'air d'un portait. Dit-il

– C'est de l'art, c'est abstrait, ça doit pas tout le temps avoir une logique. Tu peux être représenté symboliquement. Je dis en croisant mes bras sous ma poitrine

– Ouais, les chiffres et la logique on plus de sens. Sort-il en retirant ses lunettes, On a un emploie du temps charger demain alors soit debout vers 9h.

Il termine sa phrase, prend ses affaires et monte les escaliers. Il ouvre une porte à l'étage et la ferme à clef derrière lui.

Il croit que je vais le tuer dans son sommeil ou quoi?

To be continued...

𝐅𝐚𝐤𝐞 𝐑𝐢𝐧𝐠𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant