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Manhattan, NY.
21:59.

Calista

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Calista.

Je sais pas quoi répondre. Je vois bien qu'il est sincère, et je sais que j'ai des vrai sentiments pour lui, mais étrangement il manque un truc. Vivre dans l'espoir d'être aimée en retour c'est pas un peu compliqué?

– T'as vraiment la tête dure toi. Tu réfléchis trop. Il me dit avec un léger sourire sur le visage, plan B alors.

Plan B? Je vais me faire kidnapper?

Il se lève et me tend la main. Je la prends et une chaleur réconfortante vient envelopper ma main. Je me lève pour le suivre et nous nous avançons vers la salle suivante.

La pièce est sombre mais certains des tableaux sont illuminés par une petite lumière. Bien sûr de la où je suis je ne vois rien du tout.

– Tu va me faire une visite privée de tes peintures préféré? C'est ça ton plan B? Je ris pour me moquer de lui, T'es au courant que je suis pas si facile?

– C'est une exposition de mon peintre préféré. Il dit

– Parce que t'as un peintre préféré toi? Depuis quand? Je demande

– Quelques mois.

Il lâche ma main et me lance un 'attends là'. Il quitte la pièce et quelques secondes plus tard la totalité de la galeries d'art s'allume.

Je crois que je vais pleurer.

Toutes mes toiles sont accrochées au mur, même celle de mon grand père. De la première à la dernière. Je marche pour toutes les observer et c'est une sensation inexplicable. J'ai vraiment l'impression d'être dans un rêve.

J'ai bossée tellement dure et fort pour les récupérer et quand ils me les ont prises j'ai été anéanti, mais en les voyant la devant moi j'ai l'impression que toutes cette peine et cette haine se sont envolées à la secondes ou mes yeux se sont posés sur elle.

– Calum... Je chuchote tous en continuant de marcher dans la galerie, t'es fou..

Je l'entends légèrement rire derrière moi.

– Non sérieux, je me retourne vers lui, comment?

– Après ta semaine de l'horreur à Aspen j'ai peu être un peu fait des recherches sur toi, et part recherche je veux dire que ta copine Kat m'as expliqué l'histoire de tes tableaux vaguement. J'ai fait un appel, et il a fallu seulement quelques billets pour les convaincre.

– T'avais pas à faire ça pour moi... Je dis encore ému

– Je sais que t'aimes pas qu'on achète des choses pour toi, mais laisse moi faire ça pour toi. Il s'approche de moi, J'étais sérieux quand je disais que j'avais vraiment envie d'essayer de connaître l'amour, et pas avec n'importe qui avec toi.

𝐅𝐚𝐤𝐞 𝐑𝐢𝐧𝐠𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant