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Calista.
– TOUS LE MONDE A GENOUX! Sort un brun au cheveux court
Je commence à me mettre à genoux voyant leurs armes tourner vers nous. Calum lui ne bouge pas, au contraire il a l'air de vouloir leur rentrée dedans. Ses yeux son plein de haine, et ses poings sont serrés autant que sa mâchoire.
– J'ai dit à genoux. Dit le blond du groupe en menaçant Calum
Calum ne bouge pas, il se contente de le fusiller du regard.
Mais putain il se passe quoi dans sa tête pour qu'il soit comme ça!
– J'AI DIT À GENOUX. Répète le blond en pointant son arme sur Calum
Un coup de panique me prend et je tire Calum par son manteau pour qu'il se mette à genoux.
– Calum je t'en supplie fait se qu'il dit. Je dis les larmes au yeux
Il me regarde et son regard passe d'une colère intensive, à de l'inquiétude. Comme si il sentait ma peur, il décide de s'agenouiller à côté de moi.
J'ai une peur bleu des armes, j'irais pas jusqu'à dire une phobie, mais assez pour me mettre dans une situation de choque. Je sais vraiment pas pourquoi mais à chaque fois que je j'en vois une, vrai ou fausse, il faut que mon corps se mette sur la défensive. Cette situation me fait tellement peur que j'en perd tous mes moyens. Un seul mouvement et ses gars pourrait nous tirer dessus, dans le pire des cas nous tuer.
J'aperçois la mère de Calum plus loin et elle aussi a l'air pétrifiée. Elle se tien à son mari fortement tout en gardant un œil sur la situation. Eloïse elle c'est placé devant Anastasia pour la protéger au cas où. Même si je sens dans son regard qu'elle est inquiète, Eloïse garde la tête froide.
– Qu'est-ce que vous voulez? Demande papa Reynolds
– Très bonne question papi. On est venu pour la magnifique pierre précieuse qu'elle, Dit le blond en me pointant avec son arme, à au doigt.
Il s'avance vers moi le fusil en ma direction.
– Montre moi tes mains ma jolie. Me dit-il en me tirant par le col
– EH! Crit Calum, Enlève t'es sale pâtes d'elle. Dit-il la voix remplie de colère
Des larmes commence à couler sur mes joues.
– La ferme ou je lui tire dessus. Dit-il en posant son arme sur mon front
Son visage arbore un air satisfait et diabolique. Le pistolet est tellement froid que son toucher me donne des frissons glaciale tout le long du dos.
