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Aspen, CO.
22:59.

Calista

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Calista.

Mais vraiment, ça m'a fait du bien de me défouler là! Se gars me sortait par les trous du nez!

Je m'enlace pour essayer de me réchauffer un peu. Aspen n'est pas vraiment une ville considérée chaude. Mais j'étais tellement en colère que je suis juste sortie avec la plateau de nourriture, que j'ai bien dévoré d'ailleurs.

Je sens comme un regarde sur moi et me tourne pour voir Calum qui arrive à mon niveau. Oh non.

– Écoute je m'en fou de se que tu pense ok? Il fallait que ça sorte, et se raciste misogyne de merde le méritais. Je dis

Il arrive à ma hauteur et se contente de retirer sa veste pour la poser sur mes épaules. Il m'attrape la mâchoire avec sa main droite et pose ses lèvres sur les miennes. Se geste m'étonne tellement qu'il provoque des papillons immédiat dans le bas de mon ventre.

Je ne refuse pas le baiser et l'amplifie même en rajoutant nos langues à la danse. Il a cette manière de t'embrasser qui te montre qu'il est en puissance de force, mais qui te fais aussi te sentir désiré et en sécurité.

Ses cheveux chatouille légèrement mes yeux, se qui étrangement ne me déplaît pas. Il retire ses lèvres des miennes, et un regard ardent vient se poser sur moi. A se moment précis je sais que se geste n'avais rien avoir avec le contrat, au contraire, il exprime ses propos émotions à lui.

Je sais pas trop quoi dire. Quand il me regarde comme ça j'ai envie de lui sauter dessus et de me donner à lui mais j'ai peur que si je le laisse aller plus loin je risque de le regretter. Pas que une partie de jambe en l'air me déplairai, juste que venant de lui je prendrai ça comme un attachement, comme une corde sur la quel je peux me tenir.

– On peux rentrer si tu veux. Me dit-il en poussant une de mes tresses derrière mon épaule

– Il est hors de question que je retourne à l'intérieur. Je dis

Je prends l'initiative d'enlacer nous doigts ensemble, et il n'a pas l'air de détester.

– Ed a ramener ma voiture. Dit-il en guidant le pas

Je le suis et un silence se place entre nous. Pas le genre de silence qui met mal à l'aise, mais celui qui veut tout dire. Celui qui se place quand les mots ne peuvent pas se dirent, quand deux être sont tellement connectés qu'ils n'ont pas besoin de parler pour se comprendre.

Nous sommes tous les deux dans la chambre, en pyjamas sans vraiment trop savoir quoi se dire.

– Je l'ai virée. Dit-il en rentrant sous la couette

– Quoi? Je dis déjà dans le lit

– J'allais pas le laisser insulter ma fausse femme quand même. Dit-il

𝐅𝐚𝐤𝐞 𝐑𝐢𝐧𝐠𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant