Countryhuman : Conscience

Chapitre 5 : Dialogue

Un mois et deux jours étaient passé... une très longue période pendant laquelle la crise ne c'était que aggravé. C'était la première fois qu'ils devaient gérer une crise aussi grave... sans réelle motivation ! Les manifs n'étaient qu'une excuse pour tout détruire ! Mais il y avait une amélioration : plus personne ne voulait la mort de France ou d'un de ses enfants. Eux étaient tranquille. A croire que la haine se retournait contre celui au pouvoir...

UK ne savait que faire pour sortir France de son état dépressive qui s'aggravait maintenant qu'elle avait fait tout ce qu'elle voulait faire. Maintenant ben... elle continuait de faire ce qu'elle faisait mais... elle s'emmerdait surtout ! D'après Empire de France, c'était plutôt bon signe. Quand sa soeur en aura marre, elle reprendra les reines et règlera la situation...

C'était pour rassuré tout le monde.

En vrai, il savait très bien que France ne changera pas d'avis, peu importe à quels points elle s'ennuie. Elle préférait ne rien faire que fair trop. L'oisiveté est si agréable et simple par rapport au travail qui était le siens ! Même si c'était d'un ennuie mortel... et qu'elle n'avait plus rien à faire.

Elle avait fait tout les origami dont elle avait les plan, internet compris. C'était remit à niveau en dessins, retravaillé toute les technique qu'elle connaissait et plus encore, au passage, elle avait bien fait ragé Italie. Elle c'était entrainé à tout les sports de combats qu'elle connaissait, l'escrime c'est très amusant d'ailleurs...

Mais la...

Plus rien...

« -Madame... ça fait... deux jours que... je vous...

-Reprenez votre souffle. Je vais vous éviter de gaspiller votre salive : je n'irais pas la voir. Qu'elle s'évade, c'est plus mon problème.

-Madame... c'est une question de sécurité national ! Je ne peux pas arrêter temps que...

-Soit ! Je vous suit.

-Merci... » il en pleurait presque de joie...

En même temps, devoir suivre une France qui s'ennuie et qui essaye de s'occuper, c'était impossible à suivre... surtout que, comme elle savait qu'elle était suivit, elle avait accéléré...

« -Mais... vous ne vous changez pas ?

-Pourquoi faire ? Un Jean et un chemisier c'est largement suffisant surtout pour elle.

-Madame... elle exige une tenue particulière...

-Je suis pas sa chose. Alors gardez ses exigences pour vous.

-Je vous demande pardon madame.

-Et c'est mademoiselle. »

Ils y allèrent... c'était pas si mal finalement, ça allait l'occupé un peu... en plus elle avait un jouet super.

« -France ! Meine... » la prisonnière arrêtait pas de hurler ça... mais cette fois, elle fut coupé dans sa phrase en pleins milieu.

Par quoi ? Et bien... par France qui appuya sur un bouton, commandant ainsi au collier que portait la connasse d'électrocuter la dite salope.

« -Ah la la... je sais que la torture est contre les droits de l'Homme... heureusement, pour toi, ils ne s'appliquent pas ! » subirait France en s'installant sur une chaise placé en face des barreaux.

« -J'adore... quand t'es vache... meine... » et encore un coup de foudre... littéral cette fois.

« -A chaque fois que tu m'appellera comme ça, j'augmente la puissance... jusqu'à ce que tu ne puisse plus parler d'accord ?

-S... sadique... » ronronnait presque la folle dingue en se relevant.

« -C'est ce que tu voulait me dire ?

-Non... je voulais te demander de me faire l'a... »

Et encore plus fort l'électricité. N****** resta accroché au barreaux... sinon elle se serait salement cogné la tête. Dommage pour France.

« -Si c'est tout, je te laisse.

-Non ! Pitié...

-Wow... tu supplie vite...

-Je suis soumise par... rapport à... » encore plus fort.

« -Attention, dernier avertissement.

-Déja ?

-Dit ce que tu veux et méfie toi.

-Te... voir... entendre ta belle voix mélancolique au... bord de la crise de nerf... et savoir pourquoi ?

-Tu me fais emmerder pendant deux jours pour ça ?

-S'il te plait... répond moi...

-T'es encore plus flippante quand tu es polie.

-Bitte ?

-Non. Maintenant tu arrête de faire peur aux gardes, de menacé de t'évadé ou sinon...

-Oh oui ! Dit moi ce que tu... » et encore le bouton magique !

Ah...

Si seulement France avait eut ça plus tôt...

Elle aurait moi de problème de stress ! Et moins d'ennemis aussi... un frère moins con... en fait sa vie serait beaucoup mieux ! Elle s'ennuierait moins, beaucoup moins. Mais bon, droit de l'Homme oblige, elle ne peut pas sur tout le monde... mais elle avait au moins quelqu'un sur qui le faire ! Tout le monde n'avait pas cette chance !

En plus, N***** était particulièrement résistante, elle se relevait à chaque fois... hélas et heureusement... plus hélas que heureusement mais quand même.

« -Soit obéissante.

-Je... je le suit seulement si tu as une crava... » et encore une fois, toujours plus fort.

« -Tu ne veux pas comprendre ? Et bien tu souffrira.

-J'adore... souffrir quand c'est toi.. j'aurais dû te laisser faire en 1940... au moins ça aurait été l'éclate...

-Tu es pathétique... et je pensais que tu étais homophobe ?

-Etait est le mot exact ! Je vies avec mon temps moi madame ! Et puis... à l'époque, ça ne se savait pas que tu étais PD.

-Alors, de un, ça ne se dis pas. Donc... » électrocution !

« -Et, de deux, je suis bisexuelle. » elle se leva.

« -Ca veux dire que tu aime les deux ? Et ben quand t'es dans ta face gay appel... » pas le temps de finir, en partant France utilisa une dernière fois son jouet préféré.

Cette fois, N****** resta un long moment K.O. Quand la tarée se réveilla, France était déjà de retour chez elle depuis longtemps... tranquille, enfin ! Mais aussi de retour à son ennuie... pas tout à fait.

« -Ah non ! Mais pourquoi ça tombe toujours sur moi ! Ils foutent quoi aux postes frontières !

-C'est moi qui l'es invité petite soeur.

-Et ben... voila que le monde ne tourne plus rond ! C'est vraiment une journée de merde.

-Je... je vais y aller...
-Assit UK. France, je dois t'avouer un truc et ça le concerne.

-Vraiment ?

-Vraiment. »