Chapitre 14 : Famille

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N**** se jeta sur France, un couteau à la main, elle essayait de la poignarder mais la française ne se laissa pas faire. Elle tenait la folle aux poignets, l'empêchant de terminer son mouvement fatal. C'était si simple pour France de se libérer... elle passa ses jambes autour de la taille de l'autre femme et la fit rouler sur le coté, inversant la situation.

« -Ah... alors... c'est tout ?

-Tu viens d'essayer de me tuer.

-Mais ça t'as plue non ?

-Tu sais ce qui me plairait plus encore ?

-Nutzen wir diese Position, um etwas anderes zu tun ?

-Pas super envie d'avoir une psychopathe dans mon lit.

-Qui a parler de lit ? Hier ist es perfekt !

-Les connards c'est pas mon truc, encore moins les salopes de ton genre.

-Mais... je veux jute un bisous, des câlins et du sexe pendant plusieurs heures ! »

France lâcha un rire sec.

« -Parce que tu te pense vraiment assez endurante ?

-Si c'est toi qui me soumet... Nur dich so zu haben... au dessus de moi... Ich will !

-Alors... comme tu ne semble pas trop bien comprendre le français, on va te la faire en allemande. Der einzige Grund, warum ich mit dir ins Bett gehen würde, ist, dass es der einzige Weg ist, dich so schmerzhaft wie möglich zu töten.

-Wow... tu parle si bien allemand... Ich will mehr. »

Celle au dessus lui mit un coup en pleine tête, juste assez pour lui faire mal. La française se releva alors, gardant l'arme à la main.

« -Comment t'es entré chez moi ?

-Par la porte.

-Et pourquoi tu es revenue ?

-Parce que tu as lancé tout le monde à mes trousses alors que je veux t'aider.

-M'aider ? Moi qui pensait que tu étais le toutou de ton frère.

-Je le suis. Je suis aussi celui de mon père... mais, au fond, je suis celui du plus puissant... et, entre eux et toi... c'est toi. Und du hast auch einen schönen kleinen Arsch. »

La cheffe d'état posa le couteau sur le meuble près d'elle, elle était face à un miroir pour se recoiffer.

« -Je ne t'es pas attendu pour le savoir tu sais ? »

N*** se redressa, s'approchant pour enlacer par derrière France.

« -Et c'est pas tout... Oh, ich bezweifle es nicht... aber weißt du was am schönsten ist ?

-Si tu me sort mes seins, je te fracasse le miroir dans la gueule.

-Tu es vraiment... » elle approcha sa main du couteau...

« -Faszinierend. » et la lame était à nouveau sous le menton de France... qui ne broncha même pas.

« -Tu veux vraiment recommencer ?

-Si c'est le seul moyen pour que tu me domine, oui. »

La plus âgée se retourna, regardant son agresseur.

« -Alors... je n'ai déjà pas envie de coucher avec toi, si en plus tu me menace...

-Et que dois-je faire pour que tu es envie ?

-Être quelqu'un d'autre.

-Moi ? T'es sur que c'est pas toi plutôt qui devrait être quelqu'un d'autre ?

Countryhuman : ConscienceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant