Et si Harry avait enfin une vraie figure paternelle? Et si Harry venait à rencontrer des gens qu'il pensait en train de reposer en paix?
Il entre en sixième année à Poudlard. L'été a été dur, Sirius est parti, est seul, ses amis ne lui parle pas vra...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Harry était dans son lit. La répartition des premières années avait été faite. Le banquet s'était terminé. Et maintenant, à la veille de leur première journée d'école, Harry n'arrivait plus à dormir.
Harry médita. Il avait lu un jour que méditer réduisait le stress. Il avait lu aussi que c'était grâce à la méditation que les gens réussissait à se transformer en animagi, et non pas dû à une potion quelconque.
Harry méditait alors depuis la mort de Sirius. Tout les soirs avant de dormir, ou presque. Il n'avait pas encore vu une quelconque forme, pour ainsi dire. Il n'avait aucune idée de ce qu'il faisait à part avoir les yeux fermés. Par contre, il se sentait moins stressé et c'était un fait.
Deux heures après le couvre-feu, soit aux alentours de minuit, Harry ouvra les yeux.
Rien n'y faisait. Alors le jeune brun à lunettes se leva, fouilla dans sa valise et trouva la carte de son père.
Prononçant l'incantation et l'encre jaillissant sur le parchemin, Harry chercha le nom de son père.
Son père ne bougeait pas. Il devait dormir. Harry était quelqu'un de très conciliant et renfermé.
Harry referma la carte avec un sort et la rangea dans sa valise. Refermant les rideaux autour de son lit, il s'asseye en tailleur et ferma la yeux.
N'ayant aucune information sur comment trouver sa forme animale en méditant, Harry attendit. Et au bout de trois quart d'heure, Harry s'endormit.
Cela finissait toujours de la même manière.
Le lendemain matin, Harry se réveilla aux aurores il s'étira. Les jambes encore ankylosées, le jeune homme se dirigea vers la salle de bain. Se brossa les dents, se déshabilla et se doucha, pour ensuite mettre l'uniforme, Harry retourna dans le dortoir pour voir les autres garçons de sa maison entrain de dormir.
Harry sorti le parchemin qui avait son horaire de la semaine. Le jeune griffondor commençait en sortilèges, pour ensuite aller en potion pendant deux heures.
Les potions. Harry ne l'avouera jamais devant personne, mais c'était sa matière préféré. Mais avec Rogue qui s'acharnait sur lui et ses mauvaises notes on donné presque raison de sa passion, au point de ne pas vouloir choisir cette option pour ses ASPIC.
Mais James lui a montré le contraire. S'il voulait devenir Auror, il fallait avoir un Effort Exceptionnel comme note à ses ASPIC. Harry n'était plus sûr de vouloir suivre cette voie. Auror était un métier dangereux. Harry aimait bien la tranquillité.
Harry avait remarqué le métier de médicomagie. Faire pousser des os était exceptionnel! Harry avait grandit dans le monde moldu. Et de ce qu'il avait entendu, c'était que même si tu est dans le monde de la magie, une maladie reste une maladie. Même que les sorciers était plus à risque de contracter une maladie à cause de leur magie! En effet, il existait des maladie magique que seul les sorciers pouvaient avoir.
Harry se demandait alors, si l'on combinait magie et technologie moldue, à quels résultats cela pouvait donner?
Au bout de quelques temps, Ronald se réveilla comme le reste du dortoir.
Finalement, Harry trouvait l'idée de devenir médicomage plus attrayante que de devenir Auror.
C'est en remarquant que Ronald, Seamus et Dean ne les suivaient pas, lui et Hermione, au cours de potion, que McGonagall les avertis.
Tout les cinq entrèrent dans la salle de potion et Ron, Seamus et Dean se chamaillèrent pour avoir un exemplaire du livre de potion.
C'est avec un regard non surprit, qu'Harry commença sa potion. Ne sachant pas trop ce qu'il faisait, Harry essayait tant bien que mal de réaliser la potion qui était au programme. Au final, Hermione l'eut parfaitement, Drago Malfoy, ce n'était pas surprenant et Ron aussi.
Ronald avait réalisé une potion parfaite.
Harry n'en tenu pas vraiment compte et sortit de la salle de classe avec un regard sceptique envers son meilleur ami. Enfin, si on pouvait appeler ça un meilleur ami, quelqu'un qui ne répond pas à tes lettres tout l'été et qui recommence seulement à peine à te parler lorsque ton père revient à la vie. Et Hermione s'était pareil. Harry n'avait pas compris ce qu'il s'était passé.
Harry n'avait pas vraiment parlé à ses deux meilleurs amis. En fait, il ne parlait à pas grand monde. Même Dumbledore ne lui parlait pas. C'est seulement avec son père, qu'il entretenait une relation normale.
En fait, Drago Malfoy aussi l'ignorait. Ne le regardant même pas dans les couloirs, ne lui faisant aucunes piques ou commentaire, Harry commençait à croire réellement à un problème venant du jeune homme blond.
Au fil des jours, Harry remarqua la progression des cernes sur le visage du blond. Harry n'arrivait pas à parler de ses doutes à qui que ce soit. Son père beaucoup trop occupé avec ses cours. Harry avait peur de déranger.
Harry s'assit, seul, à la table des rouge et or.
Harry était seul. Harry ne voulait pas déranger.
Harry ne voulait pas être isolé. Harry voulait plaire.
