Ryhem « Habibi »

17.

Hello les filles. Avant de commencer votre lecture j'aimerai bien avoir votre avis sur l'histoire. Bisous ☺️

Ryhem

« Car dans tout ça, t'as pensé qu'à toi
M'en veux pas d'avoir pensé à moi
Et d'm'éloigner de toi »

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J'arrive près de cet homme, je le regard, prête à le détacher, il souriait ..

« Ryhem recule. »

Je me retourne en sursaute à l'entente de cette voix. Cette voix qui fait vibrer mon coeur. Je me retourne pour lui faire face et me voila face a Shaheen, un flingue à la main et pointé vers nous.

Cette imagine qui ne quittera jamais mon esprit. Ce soir là j'ai vu la haine qui habitée le corps et la tête de cet homme. Il était là devant moi, le regard haineux, une arme à la main prêt à commettre l'irréparable.

Shaheen : Sors d'ici.

Moi : Qu'est ce que tu vas faire ?

Shaheen : Sors d'ici.

Moi : En criant Qu'est ce que tu vas lui faire ?

Shaheen : Sors si tu veux pas partir avec lui.

Moi : Qu'est ce qu'il fou ici ? Pourquoi il est ici dans cet état ? Regarde comment il est, il lui faut un médecin.

Shaheen : En hurlant Je t'ai dis de sortir d'ici.

Moi : Pour te laisser le tuer en criant ? T'es un monstre ou quoi ?

Shaheen : Tu sais même pas de quoi tu parle donc sors.

Moi : Je sortirai pas. Je peux pas te laisser faire ça. Tu vas te salir les mains.

Shaheen : Elles étaient sales avant même que tu arrive.

Moi : ..

Shaheen : Sors.

Moi : ..

Shaheen : En tirant vers le plafond J'ai dis sors.

Je sursaute face au bruit de la balle transpercent le plafond. J'avais les larmes aux yeux, je me rendais compte que l'un des seuls homme qui me rassurait me fait finalement peur comme tous les autres. Je le regarde une dernière fois le suppliant du regard, mais j'avais face à moi un mur, le Shaheen qui lisait en moi et qui me laisser lire en lui était bien loin. Beaucoup trop loin ..

Je sors de cette pièce le coeur lourd, à peine ai-je mis un pied à l'extérieur que j'entend résonner le bruit d'une balle. Une balle qui était sûrement en plein milieu de la poitrine de l'homme.

Je me stop net, mes larmes coulent détruisant tout le bonheur qui rayonner depuis quelques temps dans mon coeur. Je pleure, étouffant mes cris à l'aide de mes petites mains. Je me colle au mur avant de laisser tomber mon corps en le glissant contre lui. Me voilà assise par terre, à quelques mètres d'un meurtrier, un meurtrier spéciale.