Ryhem
______« Met toi en valeur mais n'oublie pas tes valeurs. »
Moi : T'es pas obligé de rester là Latifah.
Latifah : un mince sourire Tu sais comment ça se passe. Si il n'a pas décidé que je devais m'en aller, je n'irai nul part.
Moi : Il me dégoûte, peu importe où je serai ça sera toujours mieux que d'être ici avec lui.
Latifah : Je serai toujours inquiète pour toi.
Moi : Regarde moi Latifah, je te jure qu'un jour je viendrai te chercher et que je t'emmènerai loin de ce porc qui ne mérite ni toi ni moi.
Latifah : En souriant Ne m'oublie pas alors, je t'attendrais ici.
Moi : Je te le promet.
Latifah : On va prier ?
Moi : Je te rejoins.
On prend nos tapis de prières, on met nos foulard et on rattrape nos prières. La prière, chose que je ne lâcherai jamais, et chose qui me fais tenir. Husseïn peut tout nous enlever, nos familles, nos amis, mais il nous enlèvera jamais l'amour de Dieu. Alors prions, prions tant que nous le pouvons.
Mon front au sol j'imagine ma future vie, celle qui me sera destinée a partir du moment où je passerai le bas de la porte demain matin. Elle n'a pas l'air plus rose que celle que je mène, dans mon imagination, mais elle parait tout de même moins douloureuse.
___________Husseïn : Grouille toi pauvre conne.
Moi : Attend.
Husseïn : Me dis pas d'attendre !
Latifah : Elle prend juste son sac de cour.
Husseïn : Rire Elle pense retourner un jour à l'école, pauvre conne.
Moi : T'as vraiment décider de me gâcher la vie toi.
Husseïn : Et tu sais pas comment. Allez dépêche ils nous attendent tous là.
Moi : Rigole rigole.
Il ne m'avait pas entendu et heureusement, sinon il m'aurait fait regretter ses mots. Avant de partir je prend Latifah dans mes bras. Ça me brise le cœur de la laisse ici avec cette ordure mais si j'essaye de la prendre ils nous tuera. Mais je la sauverai un jour au l'autre, je lui en ai fait la promesse.
Moi : Je te promet de revenir.
Latifah : Sois heureuse pour moi.
Moi : N'brik, Je t'aime.
Latifah : Moi aussi.
Je me retourne, Husseïn souriait et contempler ce qu'il était entrain de briser. Et il en été plus que ravis. On descend, on monte dans sa voiture et il roule en direction de l'inconnu.
On arrive devant un café, peu fréquenté, l'endroit était effrayant à en mourir. Un homme était au loin, fumant sa cigarette, là même ordure que Husseïn je paris.

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Ryhem « Habibi »
Fiction généraleJ'ai demandé la lune, on m'a donné un diamant, que j'ai fini par épouser.